Alexandre Astier devient Jean-Sébastien Bach. Le compositeur donne enfin une master class. Mais il peut déraper. Dans Que ma joie demeure !, hommage savoureux et déglingué à Bach, Alexandre Astier décortique gaiement la musique du compositeur comme on ouvre un capot de bagnole pour comprendre un moteur, mêle théâtre et musique, classe de maître et portrait intime. NBC UNIVERSAL
Divertissement | Spectacle