Enquêtes criminelles
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Marie-Hélène Audoye : la disparue de la Côte d’Azur (2/2)

Nathalie Renoux vous propose de vivre ou de revivre de grandes affaires criminelles qui font ou qui ont fait l'actualité. Qu'elles soient connues ou qu'elles le soient moins, les histoires que vous verrez racontent à chaque fois comment la vie de gens ordinaires peut, du jour au lendemain, basculer... © C PRODUCTIONS

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Magazine | Crime |

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  • Viols de Mazan : j’ai épousé un monstre (2/2)
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    Viols de Mazan : j’ai épousé un monstre (2/2)
    52:15Il y a 5 jours
    Magazine | CrimeMardi 17 septembre 2024. À l’intérieur du tribunal d’Avignon (Vaucluse), une femme d’une soixantaine d’années est acclamée par la foule. Telle une héroïne, une icône, une haie d’honneur lui est même réservée. La scène est étonnante, rarissime dans une enceinte judiciaire. Gisèle Pelicot était encore inconnue du grand public quelques jours plus tôt. Mais l’horreur des viols dont elle a été victime et son courage au moment d’affronter le procès de son bourreau ont propulsé son nom et son visage à la une des médias, et bouleversé la France entière. Car l’homme dans le box des accusés n’est pas n’importe qui : Dominique Pelicot, le mari de Gisèle. Pendant près de dix ans, de juillet 2011 à octobre 2020, Dominique Pelicot aurait invité des hommes à son domicile à l’insu de son épouse. Selon les enquêteurs, Gisèle aurait subi une centaine d’abus sexuels de la part d’inconnus sans se douter de rien. Pour s’assurer qu’elle se prêterait sans sourciller aux jeux pervers de son époux, ce dernier lui administrait de puissants anxiolytiques qu’il écrasait dans son dîner. Comment cet homme au-dessus de tout soupçon, mari aimant et grand-père sympathique, aurait-il pu imaginer et mettre à exécution un stratagème aussi démoniaque ? C’est la découverte de vidéos filmées et soigneusement répertoriées par Dominique Pelicot qui a révélé l’ampleur de l’affaire. Sur les images, 92 viols sont recensés par la police, et autant d’auteurs présumés. 51 d’entre eux ont été formellement identifiés : des hommes de tous âges, de tous milieux sociaux et de toutes professions. Ils sont actuellement jugés aux côtés de Dominique Pelicot devant la cour criminelle du Vaucluse. Parmi ces co-accusés, des cas à part, des « disciples » à qui Dominique Pélicot aurait indiqué la marche à suivre pour droguer à leur tour leurs épouses. Pire encore, l’ombre de Dominique Pelicot plane aussi sur une tentative de viol et un meurtre précédé de viol commis dans les années 1990 en région parisienne. Les victimes travaillaient dans des agences immobilières et auraient été approchées selon un scénario identique. Le mari de Gisèle Pelicot est-il vraiment l’auteur des faits ? Et pourrait-il être impliqué dans d’autres affaires ? À la suite, « Enquêtes criminelles » reviendra sur le terrible incendie qui a failli coûter la vie à Aurélie Mignot le 28 avril 2019 à La Flèche, près du Mans (Sarthe). Transférée à l’hôpital dans un état grave, le corps brûlé à 60 %, la mère de famille s’en sort comme par miracle après quatre mois en soins intensifs. En réalité, il s’agit d’une tentative de meurtre. En effet, le corps d’Aurélie a été aspergé d’essence pendant son sommeil, avant d’être embrasé au chalumeau ! Qui pouvait en vouloir à la mère de famille au point de la brûler vive ? Aurélie ne peut s’empêcher de repenser au comportement plus que troublant de Stéphane, son compagnon, le père de ses enfants. La nuit de l’incendie, il s’est précipité dehors, soi-disant pour appeler les secours, laissant sa compagne et leurs deux fils en proie aux flammes…
  • Viols de Mazan : j’ai épousé un monstre (1/2)
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    Viols de Mazan : j’ai épousé un monstre (1/2)
    53:51Il y a 5 jours
    Magazine | CrimeMardi 17 septembre 2024. À l’intérieur du tribunal d’Avignon (Vaucluse), une femme d’une soixantaine d’années est acclamée par la foule. Telle une héroïne, une icône, une haie d’honneur lui est même réservée. La scène est étonnante, rarissime dans une enceinte judiciaire. Gisèle Pelicot était encore inconnue du grand public quelques jours plus tôt. Mais l’horreur des viols dont elle a été victime et son courage au moment d’affronter le procès de son bourreau ont propulsé son nom et son visage à la une des médias, et bouleversé la France entière. Car l’homme dans le box des accusés n’est pas n’importe qui : Dominique Pelicot, le mari de Gisèle. Pendant près de dix ans, de juillet 2011 à octobre 2020, Dominique Pelicot aurait invité des hommes à son domicile à l’insu de son épouse. Selon les enquêteurs, Gisèle aurait subi une centaine d’abus sexuels de la part d’inconnus sans se douter de rien. Pour s’assurer qu’elle se prêterait sans sourciller aux jeux pervers de son époux, ce dernier lui administrait de puissants anxiolytiques qu’il écrasait dans son dîner. Comment cet homme au-dessus de tout soupçon, mari aimant et grand-père sympathique, aurait-il pu imaginer et mettre à exécution un stratagème aussi démoniaque ? C’est la découverte de vidéos filmées et soigneusement répertoriées par Dominique Pelicot qui a révélé l’ampleur de l’affaire. Sur les images, 92 viols sont recensés par la police, et autant d’auteurs présumés. 51 d’entre eux ont été formellement identifiés : des hommes de tous âges, de tous milieux sociaux et de toutes professions. Ils sont actuellement jugés aux côtés de Dominique Pelicot devant la cour criminelle du Vaucluse. Parmi ces co-accusés, des cas à part, des « disciples » à qui Dominique Pélicot aurait indiqué la marche à suivre pour droguer à leur tour leurs épouses. Pire encore, l’ombre de Dominique Pelicot plane aussi sur une tentative de viol et un meurtre précédé de viol commis dans les années 1990 en région parisienne. Les victimes travaillaient dans des agences immobilières et auraient été approchées selon un scénario identique. Le mari de Gisèle Pelicot est-il vraiment l’auteur des faits ? Et pourrait-il être impliqué dans d’autres affaires ? À la suite, « Enquêtes criminelles » reviendra sur le terrible incendie qui a failli coûter la vie à Aurélie Mignot le 28 avril 2019 à La Flèche, près du Mans (Sarthe). Transférée à l’hôpital dans un état grave, le corps brûlé à 60 %, la mère de famille s’en sort comme par miracle après quatre mois en soins intensifs. En réalité, il s’agit d’une tentative de meurtre. En effet, le corps d’Aurélie a été aspergé d’essence pendant son sommeil, avant d’être embrasé au chalumeau ! Qui pouvait en vouloir à la mère de famille au point de la brûler vive ? Aurélie ne peut s’empêcher de repenser au comportement plus que troublant de Stéphane, son compagnon, le père de ses enfants. La nuit de l’incendie, il s’est précipité dehors, soi-disant pour appeler les secours, laissant sa compagne et leurs deux fils en proie aux flammes…
  • Laure Zacchello : une nouvelle affaire Jubillar ? (2/2)
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    Laure Zacchello : une nouvelle affaire Jubillar ? (2/2)
    48:26Il y a 5 jours
    Magazine | CrimeLaure Zacchello, une mère de famille de 43 ans originaire d’Urrugne (Pyrénées-Atlantiques), n’a plus donné signe de vie depuis le 21 juin dernier. Cette inquiétante disparition cacherait-elle un féminicide ? C’est l’intime conviction des enquêteurs. Le mari de Laure, Alexis Juret, est actuellement en détention provisoire pour meurtre sur conjoint. À première vue pourtant, tout semble écarter la piste du mari. Le jour de la disparition de sa femme, il avait été retrouvé dans le jardin du domicile familial, inconscient et ensanglanté, un parpaing à côté de la tête. Seulement, pour les enquêteurs, il s’agirait d’une mise en scène pour camoufler son crime. En effet, depuis plusieurs mois, Laure aurait confié à ses proches avoir peur pour sa vie. Ne supportant plus les éclats de colère et les crises de jalousie de son mari, elle avait demandé le divorce. Mais Alexis, lui, n’aurait pas accepté la rupture et, en représailles, aurait fait vivre à sa femme un enfer. Laure était tellement apeurée qu’elle mettait une chaise derrière la porte ou entourait d’objets le canapé sur lequel elle dormait pour s’assurer d’entendre son mari arriver. Et ce n’est pas tout : l’homme a un profil pour le moins inquiétant. Survivaliste, il posséderait plusieurs caches dans la montagne et disposait chez lui d’un véritable arsenal de guerre : deux armoires remplies d’armes à feu. Et dans le lot, plusieurs pistolets mitrailleurs et automatiques ont disparu. Alors, qu’est-il vraiment arrivé à Laure Zacchello ? Son mari, qui nie toute implication et jure être atteint d’amnésie, dit-il vraiment toute la vérité ? À la suite, « Enquêtes criminelles » reviendra sur la mort de Raynald Barguet le 14 février 2016 dans le camp des gens du voyage de Maldormir, près de Marseillan (Hérault). Vers 3 heures du matin, un portable se met à sonner. Le jeune homme de 23 ans, qui dormait tranquillement dans sa caravane, décroche : une voix lui demande de sortir sur le champ. Raynald s’exécute sans se méfier. À peine dehors, une balle à la poitrine, puis une autre à l’épaule. Il ne survivra pas à ses blessures. L’affaire pourrait ressembler à un règlement de comptes. En réalité, l’enquête va révéler que c’est une rivalité sentimentale qui serait à l’origine de l’assassinat. En remontant le passé amoureux de la victime, les gendarmes ne tardent pas à soupçonner Alexandre Petremann, l’homme qui est aujourd’hui en couple avec l’ex-compagne de Raynald. Et le tireur présumé de raconter l’incroyable piège qu’il aurait préparé avec la complicité de deux membres de sa belle-famille pourtant au-dessus de tout soupçon…
  • Laure Zacchello : une nouvelle affaire Jubillar ? (1/2)
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    Laure Zacchello : une nouvelle affaire Jubillar ? (1/2)
    54:02Il y a 6 jours
    Magazine | CrimeLaure Zacchello, une mère de famille de 43 ans originaire d’Urrugne (Pyrénées-Atlantiques), n’a plus donné signe de vie depuis le 21 juin dernier. Cette inquiétante disparition cacherait-elle un féminicide ? C’est l’intime conviction des enquêteurs. Le mari de Laure, Alexis Juret, est actuellement en détention provisoire pour meurtre sur conjoint. À première vue pourtant, tout semble écarter la piste du mari. Le jour de la disparition de sa femme, il avait été retrouvé dans le jardin du domicile familial, inconscient et ensanglanté, un parpaing à côté de la tête. Seulement, pour les enquêteurs, il s’agirait d’une mise en scène pour camoufler son crime. En effet, depuis plusieurs mois, Laure aurait confié à ses proches avoir peur pour sa vie. Ne supportant plus les éclats de colère et les crises de jalousie de son mari, elle avait demandé le divorce. Mais Alexis, lui, n’aurait pas accepté la rupture et, en représailles, aurait fait vivre à sa femme un enfer. Laure était tellement apeurée qu’elle mettait une chaise derrière la porte ou entourait d’objets le canapé sur lequel elle dormait pour s’assurer d’entendre son mari arriver. Et ce n’est pas tout : l’homme a un profil pour le moins inquiétant. Survivaliste, il posséderait plusieurs caches dans la montagne et disposait chez lui d’un véritable arsenal de guerre : deux armoires remplies d’armes à feu. Et dans le lot, plusieurs pistolets mitrailleurs et automatiques ont disparu. Alors, qu’est-il vraiment arrivé à Laure Zacchello ? Son mari, qui nie toute implication et jure être atteint d’amnésie, dit-il vraiment toute la vérité ? À la suite, « Enquêtes criminelles » reviendra sur la mort de Raynald Barguet le 14 février 2016 dans le camp des gens du voyage de Maldormir, près de Marseillan (Hérault). Vers 3 heures du matin, un portable se met à sonner. Le jeune homme de 23 ans, qui dormait tranquillement dans sa caravane, décroche : une voix lui demande de sortir sur le champ. Raynald s’exécute sans se méfier. À peine dehors, une balle à la poitrine, puis une autre à l’épaule. Il ne survivra pas à ses blessures. L’affaire pourrait ressembler à un règlement de comptes. En réalité, l’enquête va révéler que c’est une rivalité sentimentale qui serait à l’origine de l’assassinat. En remontant le passé amoureux de la victime, les gendarmes ne tardent pas à soupçonner Alexandre Petremann, l’homme qui est aujourd’hui en couple avec l’ex-compagne de Raynald. Et le tireur présumé de raconter l’incroyable piège qu’il aurait préparé avec la complicité de deux membres de sa belle-famille pourtant au-dessus de tout soupçon…
  • Elle accuse son père d’avoir tué sa mère (2/2)
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    Elle accuse son père d’avoir tué sa mère (2/2)
    49:38Il y a 6 jours
    Magazine | CrimeLa dernière fois que Céline Gaborieau a vu sa mère, elle avait 18 ans. Depuis le 10 juin 1999, Michèle Gaborieau, 56 ans, n’est jamais réapparue, ni elle, ni la citadine de couleur blanche qu’elle conduisait. Mais alors que les policiers imaginent au mieux un départ volontaire, au pire un suicide, Céline est convaincue que sa mère a en réalité été tuée. Au fil des années, avec l’aide d’enquêteurs privés, elle a amassé les témoignages et les indices. Et tout convergerait vers un seul homme : Jean-Michel, l’époux de Michèle et surtout… son propre père ! Dans l’espoir que la justice entende enfin son appel à rouvrir le dossier, Céline a accepté de livrer dans « Enquêtes criminelles » ses terribles soupçons. Mais pourquoi ce libraire a priori sans histoire est-il dans le viseur de sa fille ? D’abord parce qu’il est le dernier à l’avoir vue vivante. Le soir de sa disparition, Michèle Gaborieau a dîné dans le 13e arrondissement de Paris avec son époux Jean-Michel, dont elle était séparée depuis quelques mois. La mère de famille, toujours amoureuse, espérait recoller les morceaux avec ce mari pourtant volage, joueur et porté sur la boisson. Certes, ces défauts ne font pas de Jean-Michel Gaborieau un meurtrier. Mais son attitude alors que sa femme demeurait introuvable a de quoi surprendre : l’homme ne semble pas vraiment inquiet et surtout il va tout de suite lorgner sur la fortune personnelle de Michèle quitte à entrer en conflit avec ses enfants… À la suite, « Enquêtes criminelles » s’intéressera à la mort d’Alexandre Dubrunfaut, 29 ans, retrouvé carbonisé dans les restes d’une voiture incendiée le 7 décembre 2016 non loin de Valenciennes (Nord). Un mois plus tard, son frère David, 32 ans, est interpellé. L’homme a beau nier toute implication, il est pourtant le seul à avoir un mobile convaincant : depuis des mois, sa femme Julie le trompe avec son frère Alexandre ! Une double trahison que la police le soupçonne de ne pas avoir supporté.
  • Elle accuse son père d’avoir tué sa mère (1/2)
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    Elle accuse son père d’avoir tué sa mère (1/2)
    53:29Il y a 6 jours
    Magazine | CrimeLa dernière fois que Céline Gaborieau a vu sa mère, elle avait 18 ans. Depuis le 10 juin 1999, Michèle Gaborieau, 56 ans, n’est jamais réapparue, ni elle, ni la citadine de couleur blanche qu’elle conduisait. Mais alors que les policiers imaginent au mieux un départ volontaire, au pire un suicide, Céline est convaincue que sa mère a en réalité été tuée. Au fil des années, avec l’aide d’enquêteurs privés, elle a amassé les témoignages et les indices. Et tout convergerait vers un seul homme : Jean-Michel, l’époux de Michèle et surtout… son propre père ! Dans l’espoir que la justice entende enfin son appel à rouvrir le dossier, Céline a accepté de livrer dans « Enquêtes criminelles » ses terribles soupçons. Mais pourquoi ce libraire a priori sans histoire est-il dans le viseur de sa fille ? D’abord parce qu’il est le dernier à l’avoir vue vivante. Le soir de sa disparition, Michèle Gaborieau a dîné dans le 13e arrondissement de Paris avec son époux Jean-Michel, dont elle était séparée depuis quelques mois. La mère de famille, toujours amoureuse, espérait recoller les morceaux avec ce mari pourtant volage, joueur et porté sur la boisson. Certes, ces défauts ne font pas de Jean-Michel Gaborieau un meurtrier. Mais son attitude alors que sa femme demeurait introuvable a de quoi surprendre : l’homme ne semble pas vraiment inquiet et surtout il va tout de suite lorgner sur la fortune personnelle de Michèle quitte à entrer en conflit avec ses enfants… À la suite, « Enquêtes criminelles » s’intéressera à la mort d’Alexandre Dubrunfaut, 29 ans, retrouvé carbonisé dans les restes d’une voiture incendiée le 7 décembre 2016 non loin de Valenciennes (Nord). Un mois plus tard, son frère David, 32 ans, est interpellé. L’homme a beau nier toute implication, il est pourtant le seul à avoir un mobile convaincant : depuis des mois, sa femme Julie le trompe avec son frère Alexandre ! Une double trahison que la police le soupçonne de ne pas avoir supporté.

En quête de vérité

  • Grégory : le scénario du drame comme on ne vous l’a jamais raconté (1/2)
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    Grégory : le scénario du drame comme on ne vous l’a jamais raconté (1/2)
    1:00:14Il y a un mois
    Magazine | CrimeMercredi 16 octobre 2024, à l’occasion des 40 ans de l’affaire Grégory, « Enquêtes criminelles » propose un regard inédit sur ce fait divers qui a marqué l’histoire judiciaire française : le scénario du drame comme on ne l’a jamais raconté. Même si aucune preuve ne permet aujourd’hui encore d’affirmer avec certitude ce qu’il se serait passé le jour où le fils de Jean-Marie et Christine Villemin a été retrouvé flottant pieds et mains liés dans la Vologne, à quelques kilomètres de son domicile de Lépanges (Vosges), nombre d’experts et de protagonistes du dossier ont une intime conviction sur la façon dont l’enfant de 4 ans a trouvé la mort. Un scénario machiavélique que nous allons reconstituer dans ses moindres détails. L’ex-commandant de gendarmerie Étienne Sesmat, le premier directeur d’enquête dépêché sur les lieux, a accepté exceptionnellement d’être le narrateur de ce documentaire.
  • Grégory : le scénario du drame comme on ne vous l’a jamais raconté (2/2)
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    Grégory : le scénario du drame comme on ne vous l’a jamais raconté (2/2)
    30:18Il y a un mois
    Magazine | CrimeMercredi 16 octobre 2024, à l’occasion des 40 ans de l’affaire Grégory, « Enquêtes criminelles » propose un regard inédit sur ce fait divers qui a marqué l’histoire judiciaire française : le scénario du drame comme on ne l’a jamais raconté. Même si aucune preuve ne permet aujourd’hui encore d’affirmer avec certitude ce qu’il se serait passé le jour où le fils de Jean-Marie et Christine Villemin a été retrouvé flottant pieds et mains liés dans la Vologne, à quelques kilomètres de son domicile de Lépanges (Vosges), nombre d’experts et de protagonistes du dossier ont une intime conviction sur la façon dont l’enfant de 4 ans a trouvé la mort. Un scénario machiavélique que nous allons reconstituer dans ses moindres détails. L’ex-commandant de gendarmerie Étienne Sesmat, le premier directeur d’enquête dépêché sur les lieux, a accepté exceptionnellement d’être le narrateur de ce documentaire.
  • Samantha : les funestes secrets de la jeune disparue
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    Samantha : les funestes secrets de la jeune disparue
    1:51:24Il y a 9 mois
    Magazine | CrimeLe 23 novembre 2017, une grand-mère inquiète pousse les portes d’un commissariat de la banlieue de Genève (Suisse). Irène vient déclarer la disparition de Samantha, sa petite-fille de 19 ans qui réside parfois chez elle.

L'habit ne fait pas le moine

  • Les inconnus du lac (1/2)
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    Les inconnus du lac (1/2)
    48:20Hier
    Magazine | CrimeMontreux, sur les rives du lac Léman. Le 24 mars 2022, au petit matin, un ballet d’ambulances et de véhicules de police toutes sirènes hurlantes sort brutalement le centre-ville de sa quiétude habituelle. Quelques minutes plus tôt, cinq membres d’une même famille française sont tombés du 7e étage d’un immeuble cossu. Éric David, 40 ans, son épouse de 41 ans et leur fille âgée de 8 ans meurent, ainsi que la sœur jumelle de la mère de famille. Seul l’aîné, âgé de 15 ans, a miraculeusement survécu à la chute. Que s’est-il passé dans le lumineux cinq pièces, offrant une vue imprenable sur le lac ? S’agit-il vraiment d’un accident ? Le balcon est intact… Auraient-ils été poussés ? Pourtant, personne n’est rentré dans l’appartement avant le drame. Pour les policiers, c’est un mystère. C’est en interrogeant les voisins qu’une autre hypothèse apparaît, et elle fait froid dans le dos : un « suicide collectif ». Le couple, très discret depuis qu’il s’était installé en Suisse, vivait comme coupé du reste du monde. Surtout Éric : ingénieur sorti de Polytechnique, introverti et effacé, il est perçu comme un homme « bizarre ». Le père de famille, étant le dernier à tomber, se serait lancé lui-même dans le vide après, à la manière de Xavier Dupont de Ligonnès, avoir « sacrifié » toute sa famille en la jetant du balcon ? Mais il y a dans cette famille un profil bien plus troublant : Nasrine, l’épouse d’Éric. Depuis 7 ans, cette chirurgienne-dentiste n’avait plus le droit de pratiquer et s’était reconvertie dans les romans apocalyptiques. Curieuse coïncidence : la famille stockait dans son appartement d’importantes quantités de nourriture, médicaments et produits d’hygiène, du sol au plafond… Comme pour se préparer au pire. Mais pourquoi la mère de famille aurait-elle brusquement décidé d’en finir précisément ce jour de mars 2022 ? Et comment aurait-elle convaincu le reste de la famille de se jeter volontairement dans le vide ? « Enquêtes criminelles » reviendra ensuite sur la disparition en novembre 2017 de Samantha, une jeune femme de 19 ans originaire de la banlieue de Genève (Suisse). Le soir de sa disparition, elle a pris le train pour Cheyres, sur les bords du lac de Neuchâtel, à 100 kilomètres de chez elle. Elle avait rendez-vous avec Richard, un copain d’enfance. Le jeune homme de 21 ans confirme la rencontre. Il est donc le dernier à avoir vu son amie vivante mais il jure qu’il l’a bien raccompagnée à la gare pour qu’elle puisse prendre le dernier train. Alors, si, comme l’estiment les enquêteurs, Richard « n’a pas le profil », que cachait Samantha ? Et où est-elle ? Il y a dans son entourage quelqu’un qui connaît la réponse…
  • Les inconnus du lac (2/2)
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    Les inconnus du lac (2/2)
    53:19Hier
    Magazine | CrimeMontreux, sur les rives du lac Léman. Le 24 mars 2022, au petit matin, un ballet d’ambulances et de véhicules de police toutes sirènes hurlantes sort brutalement le centre-ville de sa quiétude habituelle. Quelques minutes plus tôt, cinq membres d’une même famille française sont tombés du 7e étage d’un immeuble cossu. Éric David, 40 ans, son épouse de 41 ans et leur fille âgée de 8 ans meurent, ainsi que la sœur jumelle de la mère de famille. Seul l’aîné, âgé de 15 ans, a miraculeusement survécu à la chute. Que s’est-il passé dans le lumineux cinq pièces, offrant une vue imprenable sur le lac ? S’agit-il vraiment d’un accident ? Le balcon est intact… Auraient-ils été poussés ? Pourtant, personne n’est rentré dans l’appartement avant le drame. Pour les policiers, c’est un mystère. C’est en interrogeant les voisins qu’une autre hypothèse apparaît, et elle fait froid dans le dos : un « suicide collectif ». Le couple, très discret depuis qu’il s’était installé en Suisse, vivait comme coupé du reste du monde. Surtout Éric : ingénieur sorti de Polytechnique, introverti et effacé, il est perçu comme un homme « bizarre ». Le père de famille, étant le dernier à tomber, se serait lancé lui-même dans le vide après, à la manière de Xavier Dupont de Ligonnès, avoir « sacrifié » toute sa famille en la jetant du balcon ? Mais il y a dans cette famille un profil bien plus troublant : Nasrine, l’épouse d’Éric. Depuis 7 ans, cette chirurgienne-dentiste n’avait plus le droit de pratiquer et s’était reconvertie dans les romans apocalyptiques. Curieuse coïncidence : la famille stockait dans son appartement d’importantes quantités de nourriture, médicaments et produits d’hygiène, du sol au plafond… Comme pour se préparer au pire. Mais pourquoi la mère de famille aurait-elle brusquement décidé d’en finir précisément ce jour de mars 2022 ? Et comment aurait-elle convaincu le reste de la famille de se jeter volontairement dans le vide ? « Enquêtes criminelles » reviendra ensuite sur la disparition en novembre 2017 de Samantha, une jeune femme de 19 ans originaire de la banlieue de Genève (Suisse). Le soir de sa disparition, elle a pris le train pour Cheyres, sur les bords du lac de Neuchâtel, à 100 kilomètres de chez elle. Elle avait rendez-vous avec Richard, un copain d’enfance. Le jeune homme de 21 ans confirme la rencontre. Il est donc le dernier à avoir vu son amie vivante mais il jure qu’il l’a bien raccompagnée à la gare pour qu’elle puisse prendre le dernier train. Alors, si, comme l’estiment les enquêteurs, Richard « n’a pas le profil », que cachait Samantha ? Et où est-elle ? Il y a dans son entourage quelqu’un qui connaît la réponse…
  • Meurtre des époux Muller : le suspect habitait juste en face (1/2)
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    Meurtre des époux Muller : le suspect habitait juste en face (1/2)
    52:24Il y a un mois
    Magazine | CrimeRien ne pouvait préparer les filles de Sylviane et Jean-Claude Muller à ce qu’elles allaient vivre. Le 15 décembre 2019, Margaux, 24 ans, se rend chez ses parents à Izon, une banlieue pavillonnaire à une vingtaine de kilomètres de Bordeaux (Gironde). À son arrivée, la jeune femme découvre les corps suppliciés de ses parents dans leur chambre à coucher. Jean-Claude, 58 ans, et Sylviane, 50 ans, ont été tués de plusieurs coups de couteau. Et comble de l’horreur : la mère de famille porte aussi tous les stigmates d’une agression sexuelle. Pendant près de quatre ans, Margaux et sa sœur de 28 ans, Natacha, vont devoir endurer le calvaire d’une enquête qui s’enlise. Crime crapuleux, règlement de compte… les gendarmes explorent toutes les pistes. Sauf qu’en fait, il ne fallait pas chercher bien loin. En novembre 2023, trahi par son ADN retrouvé sous les ongles de Sylviane Muller, David Daouphars passe aux aveux. L’homme de 53 ans n’est pas un inconnu : il était sous le nez des enquêteurs depuis le début, de l’autre côté de la route départementale. Tel un voisin prévenant, il avait même proposé à Natacha d’utiliser sa salle de bain, le jour de la terrible découverte, pour qu’elle reprenne ses esprits. Pour brouiller les pistes, il avait même répondu face caméra aux questions d’un journaliste de la télévision régionale ! Pourquoi ce père de famille a priori au-dessus de tout soupçon aurait-il commis un crime aussi atroce ? Le suspect, qui reconnaît le double meurtre, affirme qu’il entretenait une relation sentimentale avec Sylviane Muller. Une liaison découverte ce soir-là par son mari Jean-Claude, provoquant une bagarre qui aurait dégénéré. Mais dit-il vraiment toute la vérité ? À la suite de ce document, retour sur la mort de Véronique Duchesne, en octobre 2010 sur une plage au nord de Saint-Quay-Portrieux (Côtes-d’Armor). Alors qu'après sa disparition, deux jours plus tôt, Thierry Meunier, son mari, évoque un probable suicide, l’autopsie va déterminer qu’en réalité, la victime âgée de 47 ans a été frappée et étranglée. Alors, l’époux a-t-il tout simplement tiré des conclusions hâtives ? Ou aurait-il cherché à orienter les enquêteurs sur une fausse piste ? Avant sa mise en examen et son placement en détention provisoire en décembre dernier, Thierry Meunier clamait son innocence devant les caméras d’« Enquêtes criminelles ».
  • Meurtre des époux Muller : le suspect habitait juste en face (2/2)
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    Meurtre des époux Muller : le suspect habitait juste en face (2/2)
    49:48Il y a un mois
    Magazine | CrimeRien ne pouvait préparer les filles de Sylviane et Jean-Claude Muller à ce qu’elles allaient vivre. Le 15 décembre 2019, Margaux, 24 ans, se rend chez ses parents à Izon, une banlieue pavillonnaire à une vingtaine de kilomètres de Bordeaux (Gironde). À son arrivée, la jeune femme découvre les corps suppliciés de ses parents dans leur chambre à coucher. Jean-Claude, 58 ans, et Sylviane, 50 ans, ont été tués de plusieurs coups de couteau. Et comble de l’horreur : la mère de famille porte aussi tous les stigmates d’une agression sexuelle. Pendant près de quatre ans, Margaux et sa sœur de 28 ans, Natacha, vont devoir endurer le calvaire d’une enquête qui s’enlise. Crime crapuleux, règlement de compte… les gendarmes explorent toutes les pistes. Sauf qu’en fait, il ne fallait pas chercher bien loin. En novembre 2023, trahi par son ADN retrouvé sous les ongles de Sylviane Muller, David Daouphars passe aux aveux. L’homme de 53 ans n’est pas un inconnu : il était sous le nez des enquêteurs depuis le début, de l’autre côté de la route départementale. Tel un voisin prévenant, il avait même proposé à Natacha d’utiliser sa salle de bain, le jour de la terrible découverte, pour qu’elle reprenne ses esprits. Pour brouiller les pistes, il avait même répondu face caméra aux questions d’un journaliste de la télévision régionale ! Pourquoi ce père de famille a priori au-dessus de tout soupçon aurait-il commis un crime aussi atroce ? Le suspect, qui reconnaît le double meurtre, affirme qu’il entretenait une relation sentimentale avec Sylviane Muller. Une liaison découverte ce soir-là par son mari Jean-Claude, provoquant une bagarre qui aurait dégénéré. Mais dit-il vraiment toute la vérité ? À la suite de ce document, retour sur la mort de Véronique Duchesne, en octobre 2010 sur une plage au nord de Saint-Quay-Portrieux (Côtes-d’Armor). Alors qu'après sa disparition, deux jours plus tôt, Thierry Meunier, son mari, évoque un probable suicide, l’autopsie va déterminer qu’en réalité, la victime âgée de 47 ans a été frappée et étranglée. Alors, l’époux a-t-il tout simplement tiré des conclusions hâtives ? Ou aurait-il cherché à orienter les enquêteurs sur une fausse piste ? Avant sa mise en examen et son placement en détention provisoire en décembre dernier, Thierry Meunier clamait son innocence devant les caméras d’« Enquêtes criminelles ».
  • Le Grêlé : un tueur au-dessus de tout soupçon (2/2)
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    Le Grêlé : un tueur au-dessus de tout soupçon (2/2)
    54:40Il y a 2 mois
    Magazine | CrimeLe 13 mai 2019, un homme a priori au-dessus de tout soupçon participe à l’un des jeux télévisés les plus regardés de France. Sur le plateau de « Tout le monde veut prendre sa place » Nagui accueille François Vérove, ancien policier et membre de la garde républicaine. Devant leur écran les téléspectateurs sont loin d’imaginer que le souriant retraité, qui s’affiche en totale décontraction à la télévision, est en fait l’un des tueurs en série les plus recherchés de France ! C’est l’une des plus grandes énigmes criminelles françaises de ces 40 dernières années. Une traque qui commence à Paris en 1986, par la découverte du corps sans vie d’une fillette de 11 ans, Cécile Bloch. Le sort de cette enfant, abusée sexuellement avant d’être assassinée, émeut autant qu’il terrifie… Et ce n’est que le début : en 10 ans, le tueur commet quatre meurtres et au moins six viols. Surnommé « le Grêlé » en raison d’importantes marques d’acné sur le visage, il ne sera identifié que 35 ans plus tard, en 2021. Lorsque son identité est enfin connue, « le Grêlé » mène une vie paisible à La Grand-Motte (Hérault). Mari aimant, père et grand-père modèle, ancien gendarme serviable et dévoué : François Vérove n’a pas vraiment le profil attendu. Pourtant, juste avant d’être interpellé, l’homme laisse une brève lettre d’aveux et se donne la mort. Qui était vraiment François Vérove ? Comment, tel un « Docteur Jekyll et Mister Hyde » a-t-il réussi à tromper tout son monde aussi longtemps ? Pourrait-il être l’auteur d’autres crimes jusqu’ici non résolus ? À travers des vidéos personnelles et des témoignages inédits, enquêteurs, victimes, voisins et collègues ont accepté de nous dévoiler le double visage du tueur en série… À la suite, retour sur la disparition d’Estelle Veneut. Une nuit de février 2018, cette jeune femme de 34 ans devait passer la nuit chez sa mère mais elle n’est jamais arrivée… Les proches de la disparue soupçonnent son compagnon, Badr Smati, car en privé, il serait tyrannique, d’une jalousie maladive. Estelle avait confié à ses collègues qu’il lui faisait vivre un enfer : il la géolocalisait grâce à une application sur son téléphone et l'enfermait à clef quand il s’absentait. Trois semaines plus tôt, Estelle avait décidé de rompre et la situation avait encore empiré. Alors, malgré des appels à l’aide déchirants sur les réseaux sociaux, le compagnon jaloux aurait-il fait disparaître Estelle ? Les gendarmes vont pouvoir compter sur un témoignage providentiel accablant : celui de la propre fille du couple, qui aurait tout vu de ce qui se serait passé ce soir-là…
  • Le Grêlé : un tueur au-dessus de tout soupçon (1/2)
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    Le Grêlé : un tueur au-dessus de tout soupçon (1/2)
    49:37Il y a 2 mois
    Magazine | CrimeLe 13 mai 2019, un homme a priori au-dessus de tout soupçon participe à l’un des jeux télévisés les plus regardés de France. Sur le plateau de « Tout le monde veut prendre sa place » Nagui accueille François Vérove, ancien policier et membre de la garde républicaine. Devant leur écran les téléspectateurs sont loin d’imaginer que le souriant retraité, qui s’affiche en totale décontraction à la télévision, est en fait l’un des tueurs en série les plus recherchés de France ! C’est l’une des plus grandes énigmes criminelles françaises de ces 40 dernières années. Une traque qui commence à Paris en 1986, par la découverte du corps sans vie d’une fillette de 11 ans, Cécile Bloch. Le sort de cette enfant, abusée sexuellement avant d’être assassinée, émeut autant qu’il terrifie… Et ce n’est que le début : en 10 ans, le tueur commet quatre meurtres et au moins six viols. Surnommé « le Grêlé » en raison d’importantes marques d’acné sur le visage, il ne sera identifié que 35 ans plus tard, en 2021. Lorsque son identité est enfin connue, « le Grêlé » mène une vie paisible à La Grand-Motte (Hérault). Mari aimant, père et grand-père modèle, ancien gendarme serviable et dévoué : François Vérove n’a pas vraiment le profil attendu. Pourtant, juste avant d’être interpellé, l’homme laisse une brève lettre d’aveux et se donne la mort. Qui était vraiment François Vérove ? Comment, tel un « Docteur Jekyll et Mister Hyde » a-t-il réussi à tromper tout son monde aussi longtemps ? Pourrait-il être l’auteur d’autres crimes jusqu’ici non résolus ? À travers des vidéos personnelles et des témoignages inédits, enquêteurs, victimes, voisins et collègues ont accepté de nous dévoiler le double visage du tueur en série… À la suite, retour sur la disparition d’Estelle Veneut. Une nuit de février 2018, cette jeune femme de 34 ans devait passer la nuit chez sa mère mais elle n’est jamais arrivée… Les proches de la disparue soupçonnent son compagnon, Badr Smati, car en privé, il serait tyrannique, d’une jalousie maladive. Estelle avait confié à ses collègues qu’il lui faisait vivre un enfer : il la géolocalisait grâce à une application sur son téléphone et l'enfermait à clef quand il s’absentait. Trois semaines plus tôt, Estelle avait décidé de rompre et la situation avait encore empiré. Alors, malgré des appels à l’aide déchirants sur les réseaux sociaux, le compagnon jaloux aurait-il fait disparaître Estelle ? Les gendarmes vont pouvoir compter sur un témoignage providentiel accablant : celui de la propre fille du couple, qui aurait tout vu de ce qui se serait passé ce soir-là…