À la veille d’une étape judiciaire décisive dans l’affaire Dany Leprince, W9 propose le documentaire-événement où l’homme que la presse a surnommé le « boucher de la Sarthe » raconte comment il aurait été accusé à tort d’un quadruple meurtre. Sa version des faits, l’acharnement des journalistes, les éléments du dossier qui pèsent sur lui, et même ses doutes quant à l’identité du véritable meurtrier : il s’exprime sans tabou sur l’un des dossiers criminels les plus médiatisés de ces 30 dernières années. Thorigné-sur-Dué (Sarthe), le 5 septembre 1994. Christian Leprince, sa femme Brigitte et deux de leurs filles sont retrouvés à leur domicile, massacrés à l’arme blanche. Seule la benjamine de la famille, Solène, âgée de deux ans et demi, a été épargnée. Très vite, Dany, le propre frère et voisin de Christian, fait office de suspect idéal. À la suite de la découverte d’une reconnaissance de dette signée de sa main (10 000 francs, l’équivalent de 2300 euros à l’époque), les gendarmes l’imaginent tuant son frère cadet dont il jalousait la réussite professionnelle et financière. Pour Dany Leprince, c’est le début de la descente aux enfers, d’autant qu’il est aussi mis en cause par sa fille Célia, son épouse Martine ainsi que Solène, la petite rescapée. Placé en garde à vue quelques jours après le drame, Dany Leprince passe aux aveux. Des aveux qu’il estime aujourd’hui avoir été extorqués et sur lesquels il reviendra une semaine plus tard, sans que personne ne l’écoute. En décembre 1997, il est condamné à la prison à perpétuité assortie d’une période de sûreté de 22 ans. Une décision de justice aujourd’hui, près de 30 ans après, sous le coup d’une demande de révision… Alors, Dany Leprince aurait-il vraiment été condamné sans réelles preuves matérielles et scientifiques, comme il le prétend ? Et s’il était la victime d’une des plus grandes erreurs judiciaires que la France ait connue ? Accompagné des meilleurs spécialistes de l’affaire, il revient lui-même sur les étapes marquantes et les zones d’ombre de ce feuilleton judiciaire aux multiples rebondissements. Saura-t-il vous convaincre de son innocence ?
Son temps libre, Badr Smati le passe sur les routes du Maine-et-Loire à pédaler : l’homme de 33 ans est un coureur cycliste chevronné. Comment imaginer que cet entraînement de champion ait pu lui servir à dissimuler un meurtre ?
Le 7 décembre 2016, Alexandre Dubrunfaut, 29 ans, est retrouvé mort carbonisé dans les restes d’une voiture incendiée non loin de Valenciennes (Nord). Un mois plus tard, son frère David, 32 ans, est interpellé.
Notre-Dame de Fontgombault, une abbaye traditionaliste de l’Indre. Un cadre bien inhabituel pour un interrogatoire de police… Pourtant, le 27 novembre 2020, des enquêteurs y débarquent dans l’espoir de résoudre un mystère qui les hante depuis plus de 10 ans : où est Xavier Dupont de Ligonnès ? Ce père de famille est l’homme le plus recherché de France. Il est suspecté d’avoir méthodiquement assassiné à Nantes en avril 2011 son épouse Agnès et leurs quatre enfants Arthur, Thomas, Anne et Benoît, avant de disparaître. Depuis sa dernière trace de vie, captée à l’autre bout de la France par la caméra de vidéosurveillance d’un hôtel du Var, les rumeurs les plus folles circulent à son sujet. A-t-il mis fin à ses jours ? Est-il toujours en vie ? Dans ce cas… où se cache-t-il ? Depuis qu’il s’est évanoui dans la nature, les enquêteurs ont reçu près de 1 800 signalements. Dans le lot, un témoin évoque la possible présence de Xavier Dupont de Ligonnès dans un lieu religieux situé entre Poitiers et Châteauroux, Notre-Dame de Fontgombault. C’est au sein de cette communauté monastique qu’est installé depuis 2019 un pensionnaire sulfureux : un certain Jean-Claude Romand. Condamné à la perpétuité en 1996 pour les meurtres de son épouse, de leurs deux enfants et de ses parents, ce faux médecin est désormais en libération conditionnelle. Jean-Claude Romand aurait-il pu aider Xavier Dupont de Ligonnès dans sa fuite ? La piste semble incroyable… Seulement, du mensonge à leur famille, à leur fuite, en passant par la préparation des assassinats, les points communs entre les deux hommes sont nombreux et troublants, à tel point qu’on pourrait imaginer que Xavier Dupont de Ligonnès aurait pu s’inspirer de l’histoire de Jean-Claude Romand, voire le solliciter pour échapper au mandat d’arrêt lancé contre lui. C’est en tout cas ce qui a trotté dans la tête des enquêteurs… À la suite, « Enquêtes criminelles » reviendra sur les soupçons qui pèsent actuellement sur Marie-Thérèse Garcia dans l’enquête sur la mort de Corinne Di Dio, une mère de famille de 37 ans, dont le corps démembré a été retrouvé dans une valise flottant sur la Seine en 1995. À l’époque, les deux femmes se connaissaient bien : elles partageaient la vie de deux frères et elles auraient eu un différend amoureux… Depuis son placement en détention provisoire, la famille de Marie-Thérèse Garcia se déchire. D’un côté, Nancy, la fille cadette est persuadée de la culpabilité de sa mère. Face à elle, Kathy, l’aînée, défend bec et ongles l’honneur de sa mère.
Notre-Dame de Fontgombault, une abbaye traditionaliste de l’Indre. Un cadre bien inhabituel pour un interrogatoire de police… Pourtant, le 27 novembre 2020, des enquêteurs y débarquent dans l’espoir de résoudre un mystère qui les hante depuis plus de 10 ans : où est Xavier Dupont de Ligonnès ? Ce père de famille est l’homme le plus recherché de France. Il est suspecté d’avoir méthodiquement assassiné à Nantes en avril 2011 son épouse Agnès et leurs quatre enfants Arthur, Thomas, Anne et Benoît, avant de disparaître. Depuis sa dernière trace de vie, captée à l’autre bout de la France par la caméra de vidéosurveillance d’un hôtel du Var, les rumeurs les plus folles circulent à son sujet. A-t-il mis fin à ses jours ? Est-il toujours en vie ? Dans ce cas… où se cache-t-il ? Depuis qu’il s’est évanoui dans la nature, les enquêteurs ont reçu près de 1 800 signalements. Dans le lot, un témoin évoque la possible présence de Xavier Dupont de Ligonnès dans un lieu religieux situé entre Poitiers et Châteauroux, Notre-Dame de Fontgombault. C’est au sein de cette communauté monastique qu’est installé depuis 2019 un pensionnaire sulfureux : un certain Jean-Claude Romand. Condamné à la perpétuité en 1996 pour les meurtres de son épouse, de leurs deux enfants et de ses parents, ce faux médecin est désormais en libération conditionnelle. Jean-Claude Romand aurait-il pu aider Xavier Dupont de Ligonnès dans sa fuite ? La piste semble incroyable… Seulement, du mensonge à leur famille, à leur fuite, en passant par la préparation des assassinats, les points communs entre les deux hommes sont nombreux et troublants, à tel point qu’on pourrait imaginer que Xavier Dupont de Ligonnès aurait pu s’inspirer de l’histoire de Jean-Claude Romand, voire le solliciter pour échapper au mandat d’arrêt lancé contre lui. C’est en tout cas ce qui a trotté dans la tête des enquêteurs… À la suite, « Enquêtes criminelles » reviendra sur les soupçons qui pèsent actuellement sur Marie-Thérèse Garcia dans l’enquête sur la mort de Corinne Di Dio, une mère de famille de 37 ans, dont le corps démembré a été retrouvé dans une valise flottant sur la Seine en 1995. À l’époque, les deux femmes se connaissaient bien : elles partageaient la vie de deux frères et elles auraient eu un différend amoureux… Depuis son placement en détention provisoire, la famille de Marie-Thérèse Garcia se déchire. D’un côté, Nancy, la fille cadette est persuadée de la culpabilité de sa mère. Face à elle, Kathy, l’aînée, défend bec et ongles l’honneur de sa mère.
Lorsque le 12 janvier 2018, Joséphine Bernard, 27 ans, est retrouvée morte dans son appartement de Bailly-Romainvilliers (Seine-et-Marne), les enquêteurs concluent sans nul doute au suicide. Pourtant, Sylvie, sa mère, est quant à elle convaincue qu’il s’agit d’un meurtre… Pour « Enquêtes criminelles », et pour la première fois, Sylvie Bernard raconte son combat pour la vérité. Pendant des mois, épaulée par son mari Richard, elle a enquêté sur la mort de sa fille et découvert que les investigations sont truffées d’incohérences, voire, pire, de négligences. L’ordinateur et le téléphone de Joséphine n’ont pas été étudiés, pas plus qu’un podomètre qui indiquerait pourtant que la victime avait reçu de la visite le soir du drame. Et, plus effarant encore, deux couteaux saisis sur les lieux ont mystérieusement disparu… Une somme d’erreurs aujourd’hui reconnue par la justice. Cinq ans après le décès de Joséphine Bernard, l’affaire, classée en suicide, est désormais rouverte pour homicide. Il faut dire que la position dans laquelle elle a été retrouvée pose question : Joséphine était pendue à une patère murale à 1 mètre 50 seulement du sol, en position semi-assise. Et puis professionnellement tout allait bien pour la jeune femme : à Disneyland Paris où elle travaillait, elle était épanouie. En revanche, sa relation sentimentale avec un homme marié et père de famille inquiétait ses proches… et aurait été découverte par l’épouse bafouée. Alors, le couple serait-il mêlé à la mort de la jeune femme ? Fait troublant : dans le téléphone de l’homme à la double vie, tous les échanges avec sa femme et sa maîtresse ont été effacés… Simple coïncidence ? En seconde partie d’émission, « Enquêtes criminelles » reviendra sur la dernière soirée de Laëtitia Hemery, une mère de famille de 31 ans tuée le 1er janvier 2020 à Toulon (Var). Quelques heures plus tôt, la jeune femme a dit à tout le monde qu’elle était sortie avec des amies. En réalité, elle a rejoint son ancien compagnon, Mickaël Reynaud, qu’elle fréquente depuis trois ans. Trois ans de menaces et de violences… Laëtitia Hemery sera la première femme de l’année 2020 à décéder sous les coups de son conjoint. Et fait rare : l’intégralité de la soirée a été filmée par des caméras de vidéosurveillance ! Des enregistrements accablants pour Mickaël Reynaud…
C’est une disparition dont le tragique épilogue a ému la France. En avril 2018, lorsque la jeune Angélique Six, 13 ans, est retrouvée morte après trois jours d’angoisse, le retentissement est immense. Même le footballeur Neymar, l’idole de la fillette, va écrire à la famille pour lui apporter son soutien dans cette épreuve douloureuse à plus d’un titre. Car non seulement les proches d’Angélique ont perdu leur fille, mais en plus ils connaissent le meurtrier… un homme qui, tout le monde l’ignorait, a déjà fait de la prison 22 ans plus tôt. Tout commence le 25 avril 2018, à Wambrechies (Nord). Alors que la nuit vient de tomber, Angélique Six n’est pas rentrée chez elle. Elle a laissé un mot à ses parents pour les prévenir qu’elle allait rejoindre des copines, mais aucune d’elles ne l’a vue. C’est le témoignage d’un garçon de 10 ans qui va faire basculer l’enquête. L’enfant déclare avoir vu Angélique le jour de sa disparition : elle a été approchée par un homme dans le parc situé tout près de son domicile. Les policiers remontent la piste d’un certain David Ramault, un chauffeur de bus de 45 ans qui a longtemps habité le même immeuble que la famille Six. Problème : l’homme est décrit comme un mari aimant et un papa modèle. Et puis les enquêteurs ont beau fouiller son domicile, ils ne trouvent aucune trace de l’enfant. Seulement, il cache un lourd secret : en 1996, il a été condamné à 9 ans de prison pour le viol d’une enfant de 13 ans. Un crime pour lequel il a été libéré au bout de 4 ans, sans aucune obligation de soins... « Enquêtes criminelles » reviendra ensuite sur la disparition du petit Habib, 13 mois, en janvier 2014. Depuis que sa mère, Jennifer Dana, l’a confié à son ex-compagnon Mehdi, elle n’a plus revu son enfant. Dernier signe de vie du père de l’enfant : un petit village des Pyrénées, près d’un poste-frontière avec la principauté d’Andorre. Mehdi aurait-il pu fuir à l’étranger avec son fils ? Malgré l’immobilisme de la police et l’hostilité à peine dissimulée de sa belle-famille, Jennifer Dana va remuer ciel et terre, et même au plus haut sommet de l’État, pour obtenir des réponses…
Agnetz (Oise), le 4 novembre 2019. Le corps sans vie de Roger Matassoli, un curé à la retraite, est découvert un crucifix enfoncé dans la gorge.
15 janvier 2014, banlieue de Toulouse. Jennifer Dana a rendez-vous avec Mehdi, son ex-compagnon.
Lorsque Sébastien Megraud disparaît en mai 2013, son ex-compagne Vanessa a tout de suite compris que c’était grave. Jamais ce père de famille n’aurait abandonné ses deux filles, alors âgées de 8 et 10 ans.
Son temps libre, Badr Smati le passe sur les routes du Maine-et-Loire à pédaler : l’homme de 33 ans est un coureur cycliste chevronné. Comment imaginer que cet entraînement de champion ait pu lui servir à dissimuler un meurtre ?
Nathalie Renoux vous propose de vivre ou de revivre de grandes affaires criminelles qui font ou qui ont fait l'actualité. Qu'elles soient connues ou qu'elles le soient moins, les histoires que vous verrez racontent à chaque fois comment la vie de gens ordinaires peut, du jour au lendemain, basculer...
Rien ne pouvait préparer les filles de Sylviane et Jean-Claude Muller à ce qu’elles allaient vivre. Le 15 décembre 2019, Margaux, 24 ans, se rend chez ses parents à Izon, une banlieue pavillonnaire à une vingtaine de kilomètres de Bordeaux (Gironde). À son arrivée, la jeune femme découvre les corps suppliciés de ses parents dans leur chambre à coucher. Jean-Claude, 58 ans, et Sylviane, 50 ans, ont été tués de plusieurs coups de couteau. Et comble de l’horreur : la mère de famille porte aussi tous les stigmates d’une agression sexuelle. Pendant près de quatre ans, Margaux et sa sœur de 28 ans, Natacha, vont devoir endurer le calvaire d’une enquête qui s’enlise. Crime crapuleux, règlement de compte… les gendarmes explorent toutes les pistes. Sauf qu’en fait, il ne fallait pas chercher bien loin. En novembre 2023, trahi par son ADN retrouvé sous les ongles de Sylviane Muller, David Daouphars passe aux aveux. L’homme de 53 ans n’est pas un inconnu : il était sous le nez des enquêteurs depuis le début, de l’autre côté de la route départementale. Tel un voisin prévenant, il avait même proposé à Natacha d’utiliser sa salle de bain, le jour de la terrible découverte, pour qu’elle reprenne ses esprits. Pour brouiller les pistes, il avait même répondu face caméra aux questions d’un journaliste de la télévision régionale ! Pourquoi ce père de famille a priori au-dessus de tout soupçon aurait-il commis un crime aussi atroce ? Le suspect, qui reconnaît le double meurtre, affirme qu’il entretenait une relation sentimentale avec Sylviane Muller. Une liaison découverte ce soir-là par son mari Jean-Claude, provoquant une bagarre qui aurait dégénéré. Mais dit-il vraiment toute la vérité ? À la suite de ce document, retour sur la mort de Véronique Duchesne, en octobre 2010 sur une plage au nord de Saint-Quay-Portrieux (Côtes-d’Armor). Alors qu'après sa disparition, deux jours plus tôt, Thierry Meunier, son mari, évoque un probable suicide, l’autopsie va déterminer qu’en réalité, la victime âgée de 47 ans a été frappée et étranglée. Alors, l’époux a-t-il tout simplement tiré des conclusions hâtives ? Ou aurait-il cherché à orienter les enquêteurs sur une fausse piste ? Avant sa mise en examen et son placement en détention provisoire en décembre dernier, Thierry Meunier clamait son innocence devant les caméras d’« Enquêtes criminelles ».
Rien ne pouvait préparer les filles de Sylviane et Jean-Claude Muller à ce qu’elles allaient vivre. Le 15 décembre 2019, Margaux, 24 ans, se rend chez ses parents à Izon, une banlieue pavillonnaire à une vingtaine de kilomètres de Bordeaux (Gironde). À son arrivée, la jeune femme découvre les corps suppliciés de ses parents dans leur chambre à coucher. Jean-Claude, 58 ans, et Sylviane, 50 ans, ont été tués de plusieurs coups de couteau. Et comble de l’horreur : la mère de famille porte aussi tous les stigmates d’une agression sexuelle. Pendant près de quatre ans, Margaux et sa sœur de 28 ans, Natacha, vont devoir endurer le calvaire d’une enquête qui s’enlise. Crime crapuleux, règlement de compte… les gendarmes explorent toutes les pistes. Sauf qu’en fait, il ne fallait pas chercher bien loin. En novembre 2023, trahi par son ADN retrouvé sous les ongles de Sylviane Muller, David Daouphars passe aux aveux. L’homme de 53 ans n’est pas un inconnu : il était sous le nez des enquêteurs depuis le début, de l’autre côté de la route départementale. Tel un voisin prévenant, il avait même proposé à Natacha d’utiliser sa salle de bain, le jour de la terrible découverte, pour qu’elle reprenne ses esprits. Pour brouiller les pistes, il avait même répondu face caméra aux questions d’un journaliste de la télévision régionale ! Pourquoi ce père de famille a priori au-dessus de tout soupçon aurait-il commis un crime aussi atroce ? Le suspect, qui reconnaît le double meurtre, affirme qu’il entretenait une relation sentimentale avec Sylviane Muller. Une liaison découverte ce soir-là par son mari Jean-Claude, provoquant une bagarre qui aurait dégénéré. Mais dit-il vraiment toute la vérité ? À la suite de ce document, retour sur la mort de Véronique Duchesne, en octobre 2010 sur une plage au nord de Saint-Quay-Portrieux (Côtes-d’Armor). Alors qu'après sa disparition, deux jours plus tôt, Thierry Meunier, son mari, évoque un probable suicide, l’autopsie va déterminer qu’en réalité, la victime âgée de 47 ans a été frappée et étranglée. Alors, l’époux a-t-il tout simplement tiré des conclusions hâtives ? Ou aurait-il cherché à orienter les enquêteurs sur une fausse piste ? Avant sa mise en examen et son placement en détention provisoire en décembre dernier, Thierry Meunier clamait son innocence devant les caméras d’« Enquêtes criminelles ».
Le 29 mars 2023, la baronne Myriam Ullens est criblée de balles au volant de sa voiture alors qu’elle quittait sa luxueuse propriété des environs de Bruxelles (Belgique). À ses côtés, son mari Guy, un riche entrepreneur retiré des affaires, assiste impuissant au meurtre. L’affaire fait grand bruit dans toute l’aristocratie européenne. Car, grâce à leur fortune estimée à plusieurs centaines de millions d’euros, Guy et Myriam Ullens reçoivent le gotha et même des têtes couronnées, à l’occasion de soirées mondaines, d’excursions sur leur yacht ou de séjours dans leur chalet en Suisse. Alors, qui a voulu briser cette image de bonheur et de réussite ? Comment la prestigieuse famille Ullens a-t-elle fini à la une de la rubrique « faits divers » ? Contre toute attente, cette exécution sommaire aurait été perpétrée par le propre fils de Guy, le beau-fils de la victime ! Depuis que son père s’est remarié, Nicolas Ullens, 57 ans, semble nourrir une haine féroce à l’encontre de sa belle-mère. Selon lui, Myriam serait une femme diabolique qui l’aurait humilié et privé de l’affection de son père. Mais pire encore, la baronne serait une arriviste machiavélique qui dilapiderait la fortune familiale. Mais ces déclarations reflètent-elles la réalité ou ne sont-elles que pur fantasme ? Dans la seconde partie de l’émission, retour sur le meurtre de Lionel Véronèse. Le 30 avril 2012, le corps sans vie de ce Savoyard de 39 ans est découvert à 300 kilomètres de chez lui, à Carry-le-Rouet (Bouches-du-Rhône). Il a été exécuté d’une balle en pleine tête. Célibataire et sportif accompli, Lionel Véronèse collectionnait les conquêtes… Parmi ses relations récentes : une femme mariée, l’épouse d’un riche viticulteur. Et, troublante coïncidence, le mari bafoué est justement filmé sur une autoroute en direction du sud de la France la veille de la découverte du corps… Aurait-il découvert l’infidélité de sa femme et décidé d’éliminer son rival ?
Le 29 mars 2023, la baronne Myriam Ullens est criblée de balles au volant de sa voiture alors qu’elle quittait sa luxueuse propriété des environs de Bruxelles (Belgique). À ses côtés, son mari Guy, un riche entrepreneur retiré des affaires, assiste impuissant au meurtre. L’affaire fait grand bruit dans toute l’aristocratie européenne. Car, grâce à leur fortune estimée à plusieurs centaines de millions d’euros, Guy et Myriam Ullens reçoivent le gotha et même des têtes couronnées, à l’occasion de soirées mondaines, d’excursions sur leur yacht ou de séjours dans leur chalet en Suisse. Alors, qui a voulu briser cette image de bonheur et de réussite ? Comment la prestigieuse famille Ullens a-t-elle fini à la une de la rubrique « faits divers » ? Contre toute attente, cette exécution sommaire aurait été perpétrée par le propre fils de Guy, le beau-fils de la victime ! Depuis que son père s’est remarié, Nicolas Ullens, 57 ans, semble nourrir une haine féroce à l’encontre de sa belle-mère. Selon lui, Myriam serait une femme diabolique qui l’aurait humilié et privé de l’affection de son père. Mais pire encore, la baronne serait une arriviste machiavélique qui dilapiderait la fortune familiale. Mais ces déclarations reflètent-elles la réalité ou ne sont-elles que pur fantasme ? Dans la seconde partie de l’émission, retour sur le meurtre de Lionel Véronèse. Le 30 avril 2012, le corps sans vie de ce Savoyard de 39 ans est découvert à 300 kilomètres de chez lui, à Carry-le-Rouet (Bouches-du-Rhône). Il a été exécuté d’une balle en pleine tête. Célibataire et sportif accompli, Lionel Véronèse collectionnait les conquêtes… Parmi ses relations récentes : une femme mariée, l’épouse d’un riche viticulteur. Et, troublante coïncidence, le mari bafoué est justement filmé sur une autoroute en direction du sud de la France la veille de la découverte du corps… Aurait-il découvert l’infidélité de sa femme et décidé d’éliminer son rival ?