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  • 23:45

    Enquêtes criminelles

    De Ligonnès / Romand : quand deux faits divers s'entremêlent (1/2)

    Notre-Dame de Fontgombault, une abbaye traditionaliste de l’Indre. Un cadre bien inhabituel pour un interrogatoire de police… Pourtant, le 27 novembre 2020, des enquêteurs y débarquent dans l’espoir de résoudre un mystère qui les hante depuis plus de 10 ans : où est Xavier Dupont de Ligonnès ? Ce père de famille est l’homme le plus recherché de France. Il est suspecté d’avoir méthodiquement assassiné à Nantes en avril 2011 son épouse Agnès et leurs quatre enfants Arthur, Thomas, Anne et Benoît, avant de disparaître. Depuis sa dernière trace de vie, captée à l’autre bout de la France par la caméra de vidéosurveillance d’un hôtel du Var, les rumeurs les plus folles circulent à son sujet. A-t-il mis fin à ses jours ? Est-il toujours en vie ? Dans ce cas… où se cache-t-il ? Depuis qu’il s’est évanoui dans la nature, les enquêteurs ont reçu près de 1 800 signalements. Dans le lot, un témoin évoque la possible présence de Xavier Dupont de Ligonnès dans un lieu religieux situé entre Poitiers et Châteauroux, Notre-Dame de Fontgombault. C’est au sein de cette communauté monastique qu’est installé depuis 2019 un pensionnaire sulfureux : un certain Jean-Claude Romand. Condamné à la perpétuité en 1996 pour les meurtres de son épouse, de leurs deux enfants et de ses parents, ce faux médecin est désormais en libération conditionnelle. Jean-Claude Romand aurait-il pu aider Xavier Dupont de Ligonnès dans sa fuite ? La piste semble incroyable… Seulement, du mensonge à leur famille, à leur fuite, en passant par la préparation des assassinats, les points communs entre les deux hommes sont nombreux et troublants, à tel point qu’on pourrait imaginer que Xavier Dupont de Ligonnès aurait pu s’inspirer de l’histoire de Jean-Claude Romand, voire le solliciter pour échapper au mandat d’arrêt lancé contre lui. C’est en tout cas ce qui a trotté dans la tête des enquêteurs… À la suite, « Enquêtes criminelles » reviendra sur les soupçons qui pèsent actuellement sur Marie-Thérèse Garcia dans l’enquête sur la mort de Corinne Di Dio, une mère de famille de 37 ans, dont le corps démembré a été retrouvé dans une valise flottant sur la Seine en 1995. À l’époque, les deux femmes se connaissaient bien : elles partageaient la vie de deux frères et elles auraient eu un différend amoureux… Depuis son placement en détention provisoire, la famille de Marie-Thérèse Garcia se déchire. D’un côté, Nancy, la fille cadette est persuadée de la culpabilité de sa mère. Face à elle, Kathy, l’aînée, défend bec et ongles l’honneur de sa mère.

  • 00:40

    Enquêtes criminelles

    De Ligonnès / Romand : quand deux faits divers s'entremêlent (2/2)

    Notre-Dame de Fontgombault, une abbaye traditionaliste de l’Indre. Un cadre bien inhabituel pour un interrogatoire de police… Pourtant, le 27 novembre 2020, des enquêteurs y débarquent dans l’espoir de résoudre un mystère qui les hante depuis plus de 10 ans : où est Xavier Dupont de Ligonnès ? Ce père de famille est l’homme le plus recherché de France. Il est suspecté d’avoir méthodiquement assassiné à Nantes en avril 2011 son épouse Agnès et leurs quatre enfants Arthur, Thomas, Anne et Benoît, avant de disparaître. Depuis sa dernière trace de vie, captée à l’autre bout de la France par la caméra de vidéosurveillance d’un hôtel du Var, les rumeurs les plus folles circulent à son sujet. A-t-il mis fin à ses jours ? Est-il toujours en vie ? Dans ce cas… où se cache-t-il ? Depuis qu’il s’est évanoui dans la nature, les enquêteurs ont reçu près de 1 800 signalements. Dans le lot, un témoin évoque la possible présence de Xavier Dupont de Ligonnès dans un lieu religieux situé entre Poitiers et Châteauroux, Notre-Dame de Fontgombault. C’est au sein de cette communauté monastique qu’est installé depuis 2019 un pensionnaire sulfureux : un certain Jean-Claude Romand. Condamné à la perpétuité en 1996 pour les meurtres de son épouse, de leurs deux enfants et de ses parents, ce faux médecin est désormais en libération conditionnelle. Jean-Claude Romand aurait-il pu aider Xavier Dupont de Ligonnès dans sa fuite ? La piste semble incroyable… Seulement, du mensonge à leur famille, à leur fuite, en passant par la préparation des assassinats, les points communs entre les deux hommes sont nombreux et troublants, à tel point qu’on pourrait imaginer que Xavier Dupont de Ligonnès aurait pu s’inspirer de l’histoire de Jean-Claude Romand, voire le solliciter pour échapper au mandat d’arrêt lancé contre lui. C’est en tout cas ce qui a trotté dans la tête des enquêteurs… À la suite, « Enquêtes criminelles » reviendra sur les soupçons qui pèsent actuellement sur Marie-Thérèse Garcia dans l’enquête sur la mort de Corinne Di Dio, une mère de famille de 37 ans, dont le corps démembré a été retrouvé dans une valise flottant sur la Seine en 1995. À l’époque, les deux femmes se connaissaient bien : elles partageaient la vie de deux frères et elles auraient eu un différend amoureux… Depuis son placement en détention provisoire, la famille de Marie-Thérèse Garcia se déchire. D’un côté, Nancy, la fille cadette est persuadée de la culpabilité de sa mère. Face à elle, Kathy, l’aînée, défend bec et ongles l’honneur de sa mère.

  • 01:30

    Enquêtes criminelles

    Yves Chatain : un tueur en série en liberté ? (1/2)

    C’est l’histoire d’un crime résolu de façon inattendue, presque inespérée, après trente-six ans de mystère. Le 8 mai 2022, Yves Chatain, un chauffeur routier de 56 ans, avoue le meurtre de Marie-Thérèse Bonfanti, une jeune mère de famille disparue à Pontcharra (Isère) le 22 mai 1986. Pour les proches de la mère de famille, cette révélation a un goût amer. Car le suspect pourrait bien ne jamais aller en prison ! En effet, pour la justice, le crime serait prescrit. C’est d’autant plus cruel et frustrant que le suspect était dans le dossier depuis le début : la maison devant laquelle Marie-Thérèse s’est volatilisée appartenait en effet à Yves Chatain, et plusieurs témoignages, dont celui du mari de la disparue, attestent de la présence du propriétaire sur les lieux ce jour-là ! Comment est-il possible que l’homme n’ait pas vraiment été inquiété alors qu’à l’époque il avait déjà été condamné pour des faits de violence ? Et ce n’est pas tout : l’affaire Bonfanti ne serait pas un cas isolé. Yves Chatain est aujourd’hui suspecté dans plusieurs autres affaires criminelles… À la suite, « Enquêtes criminelles » reviendra sur l’affaire Sophie Le Tan, une jeune femme de 20 ans disparue en septembre 2018 près de Strasbourg (Bas-Rhin) et dont des ossements ont été retrouvés un an plus tard dans une forêt à une quarantaine de kilomètres de là. À quelques jours de la rentrée universitaire, l’étudiante avait répondu à une offre très intéressante sur un site de petites annonces gratuites : un studio pas trop cher à Schiltigheim. Seulement, elle n’est jamais revenue du rendez-vous. Serait-elle tombée dans un piège ? En étudiant les communications passées dans le secteur, les policiers sont parvenus à remonter jusqu’à un homme de 58 ans au profil particulièrement inquiétant : Jean-Marc Reiser. Déjà condamné pour viol, il habite justement dans l’immeuble où Sophie Le Tan devait se rendre…

  • 06:00

    Enquêtes criminelles

    La mamie qui jouait avec le feu (1/2)

    Est-il imaginable qu’une grand-mère décide de tuer ses petits-enfants ? C’est pourtant le scénario ahurissant de l’affaire criminelle qui s’est déroulée à Habas, dans les Landes, en 2021. Pour les vacances de Pâques, Joël et Caroline ont confié leurs deux fils de 10 et 12 ans à leur grand-mère, Marie-France Lacazedieu. Les deux garçons sont aux anges, d’autant qu’ils s’entendent très bien avec le compagnon de Marie-France, qu’ils considèrent comme leur « tonton ». Mais dans la nuit du 14 au 15 avril, un terrible incendie se déclenche au domicile du couple. Alertés à temps, les pompiers arrivent in extremis à extraire la petite famille. Marie-France, 60 ans, est à demi-consciente. Mais pour ses deux petits-fils et son compagnon, c’est beaucoup plus grave : transférés à l’hôpital en urgence absolue, ils vont s’en sortir mais garderont de lourdes séquelles… Comment un tel brasier a-t-il pu se déclencher en pleine nuit ? Au chevet de ses enfants, Caroline va bientôt apprendre que l’incendie serait volontaire ! En effet, trois départs de feu sont recensés : la chambre conjugale et celle des deux petits garçons ont été aspergées d’essence. Pire, pour les enquêteurs, l’auteur de cette tentative de meurtre ne serait autre que la grand-mère ! Marie-France aurait-elle tenté de tuer son conjoint et ses petits-fils, la chair de sa chair, en les empoisonnant et en les faisant brûler vifs ? Et si oui, pourquoi ? Plongée dans un fait divers hors norme, un drame intra-familial totalement insensé, que les acteurs eux-mêmes racontent en exclusivité pour « Enquêtes Criminelles ».

  • 06:55

    Enquêtes criminelles

    Louise, 11 ans : la mort au coin de la rue (1/2)

    « On nous a arraché notre fille, notre petite princesse. Nous avons vécu et vivons la pire tragédie que peuvent vivre tous les parents : la perte de son enfant chérie. » Ces mots déchirants sont ceux des parents de Louise, poignardée à mort à seulement 11 ans, le 7 février dernier, alors qu’elle rentrait simplement chez elle. Pour la collégienne d’Épinay-sur-Orge (Essonne), cela aurait dû être un trajet tout ce qu’il y a de plus banal. Seulement, elle a croisé la route d’un mystérieux jeune homme en doudoune noire… Sur les images de vidéosurveillance, plusieurs voisins reconnaissent Owen L., 23 ans, un jeune homme au profil troublant : fils « de bonne famille » au visage d’ange, cet accro aux jeux vidéo est en réalité connu des services de police pour des faits de violence et de vol. Après 30 heures de garde à vue, confronté aux résultats ADN qui l’accablent, le suspect craque et passe aux aveux. Il explique qu’après avoir été mis en colère par une altercation en ligne avec un autre gamer, il serait sorti « racketter pour se calmer. » C’est alors qu’il aurait jeté son dévolu sur Louise et l’aurait attirée dans le bois des Templiers, un parc tout proche, où son corps sera retrouvé quelques heures plus tard. En effet, lorsque l’adolescente a compris la supercherie, elle se serait mise à crier et Owen, pour la faire taire, lui aurait asséné plusieurs coups de couteau. Comment un tel drame, gratuit et cruel, a-t-il bien pu se passer ? Et qui est vraiment ce jeune homme, désormais mis en examen pour meurtre et placé en détention provisoire ? « Enquêtes criminelles » lève le voile sur cette affaire qui a provoqué une vague d’émotion et d’indignation à travers tout le pays. À la suite, « Enquêtes criminelles » s’intéressera à l’assassinat de Vanessa Mayor, 27 ans, dont le corps est retrouvé criblé de neuf balles le 30 août 2014 à Agde (Hérault). Le même jour, un homme se présente hagard au commissariat. Au policier qui le reçoit, Angel Valcarcel, 54 ans, fait une déclaration glaçante : « J’ai tué ma belle-fille. Mon fils est vengé. » Les enquêteurs comprennent vite que la mort de Vanessa est le tragique épilogue d’une histoire d’amour qui a tourné au cauchemar.

  • 07:50

    Enquêtes criminelles

    Victorine 18 ans : la mort au bout du chemin (1/2)

    Son meurtre a bouleversé la France entière… C’était le 26 septembre 2020 dans la petite commune de Villefontaine, en Isère. Après avoir raté son bus, Victorine Dartois, une jeune femme âgée de 18 ans à peine, décide de passer par les bois pour rentrer chez elle à pied. Elle n’arrivera jamais à destination : son corps sera retrouvé deux jours plus tard dans le lit d’un ruisseau, dissimulé par la végétation. C’est à la faveur d’un témoignage providentiel que, deux semaines après le drame, un suspect est arrêté. Il s’appelle Ludovic Bertin, il a 25 ans et habite à 800 mètres à peine du domicile familial de la victime. Face aux enquêteurs, le jeune homme prétend avoir étranglé Victorine à la suite d’une simple bousculade ! Des explications qui laissent les enquêteurs perplexes, d’autant que dans la version du suspect, un détail cloche. En effet, Ludovic Bertin affirme avoir croisé la jeune femme en faisant du footing. Or il avait été lourdement blessé à la jambe quelques semaines plus tôt… Alors, quel serait le véritable mobile de Ludovic Bertin ? Nous avons voulu percer à jour le mystère. Et nous avons obtenu des informations capitales pour comprendre ce qui s’est réellement passé dans cette affaire qui a profondément marqué les Français. À la suite de ce premier document, retour sur la disparition de Marie-Pascale Sidolle le 14 avril 2019 à Avignon (Vaucluse). Vers 7 heures ce matin-là, une caméra de vidéosurveillance filme cette aide-soignante de 54 ans à bord de son véhicule quittant le parking de l’hôpital. Des images qui laissent perplexes car la victime venait d’arriver sur place pour prendre son service. Plus troublant encore, en repartant on la voit assise côté passager. C’est un homme qui conduit sa voiture. Pour Stéphanie, la fille de la disparue, le conducteur ne serait pas n’importe qui. Il s’agirait de Fabrice Poncet… son propre père !

  • 08:45

    Enquêtes criminelles

    Qui a tué la belle-sœur de l’influenceuse Magali Berdah ? (1/2)

    Un double crime sanglant, un suspect que tout semble accuser et un procès qui n’aura peut-être jamais lieu. Cela paraît inconcevable, et pourtant c’est l’éventualité à laquelle se préparent Mélissa, Kim et Julie, les trois filles de Karine Teboul. Cette maman solo de 50 ans et son compagnon Frédéric, 46 ans, ont été sauvagement assassinés dans la nuit du 9 au 10 octobre 2021 au domicile de ce dernier à Allauch, une petite commune des environs de Marseille (Bouches-du-Rhône). « Bonne nuit, je t’aime, je t’envoie un message demain matin ». Après ce SMS envoyé à l’une de ses filles, Karine ne donnera plus aucun signe de vie. Inquiète, l’aînée de la fratrie se rend à l’adresse où la mère de famille passe tous ses week-ends. Dès qu’elle franchit le seuil de l’appartement, la jeune femme découvre les corps meurtris du couple, grossièrement dissimulés sous un drap. Sidérée, Julie ressort et crie à l’aide. Deux voisins viennent à son secours. L’un d’eux, Alexis M., se montre très prévenant à l’égard de la jeune femme traumatisée. Impossible alors d’imaginer que l’homme en train de la réconforter pourrait en réalité être le meurtrier. Seulement, aiguillés par un résident de l’immeuble, les enquêteurs soupçonnent rapidement Alexis M., le voisin. Mais le suspect, qui nie les faits et invoque une abolition du discernement, sort rapidement de prison et doit se plier à un simple suivi psychiatrique. Un scandale pour la famille de Karine Teboul : ses trois filles, ses frères Ludovic et Stéphane ainsi que sa belle-sœur Magali Berdah, la célèbre agente d’influenceurs. Tous les six prennent la parole dans « Enquêtes criminelles » pour réclamer justice et dénoncer ce qu’ils estiment être un dysfonctionnement du système judiciaire. À la suite, « Enquêtes criminelles » s’intéressera au meurtre insensé de Kévin Sellier, 19 ans, retrouvé violemment poignardé, ses dents brisées et son corps brûlé en mai 2012 dans l’Ariège. L’une de ses amies passe vite aux aveux : Cindy Pereira, 20 ans. Mais pour les gendarmes, un détail ne colle pas. Comment cette frêle jeune femme, qui mesure à peine 1 mètre 55, a-t-elle pu asséner seule autant de coups à Kévin qui, lui, mesurait 1 mètre 90 ? Protège-t-elle un complice ?

  • 09:35

    Enquêtes criminelles

    Qui a tué la belle-sœur de l’influenceuse Magali Berdah ? (2/2)

    Un double crime sanglant, un suspect que tout semble accuser et un procès qui n’aura peut-être jamais lieu. Cela paraît inconcevable, et pourtant c’est l’éventualité à laquelle se préparent Mélissa, Kim et Julie, les trois filles de Karine Teboul. Cette maman solo de 50 ans et son compagnon Frédéric, 46 ans, ont été sauvagement assassinés dans la nuit du 9 au 10 octobre 2021 au domicile de ce dernier à Allauch, une petite commune des environs de Marseille (Bouches-du-Rhône). « Bonne nuit, je t’aime, je t’envoie un message demain matin ». Après ce SMS envoyé à l’une de ses filles, Karine ne donnera plus aucun signe de vie. Inquiète, l’aînée de la fratrie se rend à l’adresse où la mère de famille passe tous ses week-ends. Dès qu’elle franchit le seuil de l’appartement, la jeune femme découvre les corps meurtris du couple, grossièrement dissimulés sous un drap. Sidérée, Julie ressort et crie à l’aide. Deux voisins viennent à son secours. L’un d’eux, Alexis M., se montre très prévenant à l’égard de la jeune femme traumatisée. Impossible alors d’imaginer que l’homme en train de la réconforter pourrait en réalité être le meurtrier. Seulement, aiguillés par un résident de l’immeuble, les enquêteurs soupçonnent rapidement Alexis M., le voisin. Mais le suspect, qui nie les faits et invoque une abolition du discernement, sort rapidement de prison et doit se plier à un simple suivi psychiatrique. Un scandale pour la famille de Karine Teboul : ses trois filles, ses frères Ludovic et Stéphane ainsi que sa belle-sœur Magali Berdah, la célèbre agente d’influenceurs. Tous les six prennent la parole dans « Enquêtes criminelles » pour réclamer justice et dénoncer ce qu’ils estiment être un dysfonctionnement du système judiciaire. À la suite, « Enquêtes criminelles » s’intéressera au meurtre insensé de Kévin Sellier, 19 ans, retrouvé violemment poignardé, ses dents brisées et son corps brûlé en mai 2012 dans l’Ariège. L’une de ses amies passe vite aux aveux : Cindy Pereira, 20 ans. Mais pour les gendarmes, un détail ne colle pas. Comment cette frêle jeune femme, qui mesure à peine 1 mètre 55, a-t-elle pu asséner seule autant de coups à Kévin qui, lui, mesurait 1 mètre 90 ? Protège-t-elle un complice ?

  • 10:25

    Enquêtes criminelles

    Grégory : le scénario du drame comme on ne vous l’a jamais raconté (1/2)

    Mercredi 16 octobre 2024, à l’occasion des 40 ans de l’affaire Grégory, « Enquêtes criminelles » propose un regard inédit sur ce fait divers qui a marqué l’histoire judiciaire française : le scénario du drame comme on ne l’a jamais raconté. Même si aucune preuve ne permet aujourd’hui encore d’affirmer avec certitude ce qu’il se serait passé le jour où le fils de Jean-Marie et Christine Villemin a été retrouvé flottant pieds et mains liés dans la Vologne, à quelques kilomètres de son domicile de Lépanges (Vosges), nombre d’experts et de protagonistes du dossier ont une intime conviction sur la façon dont l’enfant de 4 ans a trouvé la mort. Un scénario machiavélique que nous allons reconstituer dans ses moindres détails. L’ex-commandant de gendarmerie Étienne Sesmat, le premier directeur d’enquête dépêché sur les lieux, a accepté exceptionnellement d’être le narrateur de ce documentaire.

  • 11:25

    Enquêtes criminelles

    Grégory : le scénario du drame comme on ne vous l’a jamais raconté (2/2)

    Mercredi 16 octobre 2024, à l’occasion des 40 ans de l’affaire Grégory, « Enquêtes criminelles » propose un regard inédit sur ce fait divers qui a marqué l’histoire judiciaire française : le scénario du drame comme on ne l’a jamais raconté. Même si aucune preuve ne permet aujourd’hui encore d’affirmer avec certitude ce qu’il se serait passé le jour où le fils de Jean-Marie et Christine Villemin a été retrouvé flottant pieds et mains liés dans la Vologne, à quelques kilomètres de son domicile de Lépanges (Vosges), nombre d’experts et de protagonistes du dossier ont une intime conviction sur la façon dont l’enfant de 4 ans a trouvé la mort. Un scénario machiavélique que nous allons reconstituer dans ses moindres détails. L’ex-commandant de gendarmerie Étienne Sesmat, le premier directeur d’enquête dépêché sur les lieux, a accepté exceptionnellement d’être le narrateur de ce documentaire.

  • 11:55

    Enquêtes criminelles

    Amandine, morte de faim à 13 ans (1/2)

    C’est l’affaire qui a bouleversé la France en ce début d’année 2025. Devant la cour d’assises de l’Hérault, une mère de famille vient d’être condamnée à la réclusion criminelle à perpétuité assortie de 20 ans de sûreté pour actes de torture et de barbarie ayant entraîné la mort. La victime est sa propre fille âgée seulement de 13 ans : Amandine Florès. Le 6 août 2020, la jeune fille succombe à un arrêt cardiaque causé par une privation extrême de nourriture : elle ne pesait alors que 28 kilos pour 1 mètre 55. Depuis son plus jeune âge, l’adolescente est la cible de maltraitances infligées par sa mère, Sandrine Pissara. Cette dernière aurait développé une véritable haine envers sa fille, dont le seul tort aurait été de ressembler à son père. Quelques mois plus tôt, alors que débute la pandémie de Covid-19, l’annonce du confinement scelle le sort d’Amandine. Juste avant d’être contrainte de revenir vivre chez sa mère, la collégienne, alors scolarisée en internat, aurait fait à une surveillante une déclaration glaçante : « Je vais mourir. » Et en effet, de retour au domicile familial, Amandine aurait été enfermée dans un cagibi, sans nourriture, et subi violences et humiliations sans que personne ne lui vienne en aide. Sa mère avait même installé une caméra pour pouvoir la surveiller. Mais alors comment une mère de famille a-t-elle pu autant s’acharner sur sa propre fille ? Et comment a-t-elle pu lui faire endurer de telles horreurs pendant toutes ces années sans jamais être inquiétée ? Pourquoi, malgré plusieurs signalements, Sandrine Pissara est-elle parvenue à tromper les services sociaux ? Pour « Enquêtes criminelles », Frédéric Florès, le père d’Amandine, prend la parole. Dévasté par ce qui est arrivé à sa fille, il veut aujourd’hui se battre pour qu’un tel drame ne se reproduise plus jamais.

  • 12:50

    Enquêtes criminelles

    Amandine, morte de faim à 13 ans (2/2)

    C’est l’affaire qui a bouleversé la France en ce début d’année 2025. Devant la cour d’assises de l’Hérault, une mère de famille vient d’être condamnée à la réclusion criminelle à perpétuité assortie de 20 ans de sûreté pour actes de torture et de barbarie ayant entraîné la mort. La victime est sa propre fille âgée seulement de 13 ans : Amandine Florès. Le 6 août 2020, la jeune fille succombe à un arrêt cardiaque causé par une privation extrême de nourriture : elle ne pesait alors que 28 kilos pour 1 mètre 55. Depuis son plus jeune âge, l’adolescente est la cible de maltraitances infligées par sa mère, Sandrine Pissara. Cette dernière aurait développé une véritable haine envers sa fille, dont le seul tort aurait été de ressembler à son père. Quelques mois plus tôt, alors que débute la pandémie de Covid-19, l’annonce du confinement scelle le sort d’Amandine. Juste avant d’être contrainte de revenir vivre chez sa mère, la collégienne, alors scolarisée en internat, aurait fait à une surveillante une déclaration glaçante : « Je vais mourir. » Et en effet, de retour au domicile familial, Amandine aurait été enfermée dans un cagibi, sans nourriture, et subi violences et humiliations sans que personne ne lui vienne en aide. Sa mère avait même installé une caméra pour pouvoir la surveiller. Mais alors comment une mère de famille a-t-elle pu autant s’acharner sur sa propre fille ? Et comment a-t-elle pu lui faire endurer de telles horreurs pendant toutes ces années sans jamais être inquiétée ? Pourquoi, malgré plusieurs signalements, Sandrine Pissara est-elle parvenue à tromper les services sociaux ? Pour « Enquêtes criminelles », Frédéric Florès, le père d’Amandine, prend la parole. Dévasté par ce qui est arrivé à sa fille, il veut aujourd’hui se battre pour qu’un tel drame ne se reproduise plus jamais.

  • 13:40

    Enquêtes criminelles

    Le meurtrier vivait dans leur maison (1/2)

    Ils avaient offert un toit à Fabien. Un gîte et un couvert pour cet adolescent de 14 ans dont les parents ne pouvaient plus s’occuper. Alain et Marie-Christine Marmignon sont famille d’accueil depuis des années à Mairieux (Nord). En 2015, ils tendent les bras à Fabien, qui a 11 ans, sans imaginer une seconde qu’ils ont fait entrer le loup dans la bergerie. Le 21 mai 2018, ce couple de retraités garde leur petite-fille Léa, 2 ans et demi. Elle joue dans le jardin, Alain la surveille du coin de l'œil. Un instant d’inattention, il n'entend plus Léa. Elle a disparu. La fillette est retrouvée dénudée dans un ruisseau, tout près de la maison de ses grands-parents. Elle a été poignardée à 22 reprises. Pour les Marmignon, c’est un cataclysme d’autant que le meurtrier n’est autre que Fabien. Le jeune homme est interpellé quelques heures plus tard après avoir pris la fuite. L’adolescent avoue l’impensable. Condamné à 13 ans de prison, Fabien a été libéré en octobre 2024 après 6 ans et 4 mois de détention. Une épreuve de plus pour les proches de Léa qui vivent aujourd’hui dans la peur. Car depuis sa sortie de prison, le jeune homme, qui a désormais 20 ans, aurait promis de se venger. Alain et Marie-Christine craignent donc qu’il revienne et commette un nouveau crime. Ce qui est incroyable dans ce dossier judiciaire, c’est que la mort de Léa aurait pu être évitée. En effet, Fabien s’était déjà montré violent et dangereux. Il a commencé par se mutiler et à voler dans les magasins. Plus tard, il a mis le feu aux draps de son lit avec un briquet et ouvert le robinet de gaz… La famille d’accueil a eu beau multiplier les alertes, les dizaines de lettres envoyées aux services sociaux de leur département sont restées sans réponse ! Pour « Enquêtes Criminelles », la famille de Léa a accepté de témoigner, mais aussi le père du meurtrier. À la suite, « Enquêtes criminelles » reviendra sur un drame qui a bouleversé la France entière : l’affaire de la petite Fiona. Le 12 mai 2013, Cécile Bourgeon signale la disparition de Fiona, sa fille de 5 ans, lors d’une promenade dans un parc de Clermont-Ferrand. Seulement, après plusieurs mois de mensonges, la mère de famille passe aux aveux : ce serait son compagnon qui aurait tué accidentellement Fiona. Mais dit-elle enfin toute la vérité ?

  • 14:35

    Enquêtes criminelles

    Le meurtrier vivait dans leur maison (2/2)

    Ils avaient offert un toit à Fabien. Un gîte et un couvert pour cet adolescent de 14 ans dont les parents ne pouvaient plus s’occuper. Alain et Marie-Christine Marmignon sont famille d’accueil depuis des années à Mairieux (Nord). En 2015, ils tendent les bras à Fabien, qui a 11 ans, sans imaginer une seconde qu’ils ont fait entrer le loup dans la bergerie. Le 21 mai 2018, ce couple de retraités garde leur petite-fille Léa, 2 ans et demi. Elle joue dans le jardin, Alain la surveille du coin de l'œil. Un instant d’inattention, il n'entend plus Léa. Elle a disparu. La fillette est retrouvée dénudée dans un ruisseau, tout près de la maison de ses grands-parents. Elle a été poignardée à 22 reprises. Pour les Marmignon, c’est un cataclysme d’autant que le meurtrier n’est autre que Fabien. Le jeune homme est interpellé quelques heures plus tard après avoir pris la fuite. L’adolescent avoue l’impensable. Condamné à 13 ans de prison, Fabien a été libéré en octobre 2024 après 6 ans et 4 mois de détention. Une épreuve de plus pour les proches de Léa qui vivent aujourd’hui dans la peur. Car depuis sa sortie de prison, le jeune homme, qui a désormais 20 ans, aurait promis de se venger. Alain et Marie-Christine craignent donc qu’il revienne et commette un nouveau crime. Ce qui est incroyable dans ce dossier judiciaire, c’est que la mort de Léa aurait pu être évitée. En effet, Fabien s’était déjà montré violent et dangereux. Il a commencé par se mutiler et à voler dans les magasins. Plus tard, il a mis le feu aux draps de son lit avec un briquet et ouvert le robinet de gaz… La famille d’accueil a eu beau multiplier les alertes, les dizaines de lettres envoyées aux services sociaux de leur département sont restées sans réponse ! Pour « Enquêtes Criminelles », la famille de Léa a accepté de témoigner, mais aussi le père du meurtrier. À la suite, « Enquêtes criminelles » reviendra sur un drame qui a bouleversé la France entière : l’affaire de la petite Fiona. Le 12 mai 2013, Cécile Bourgeon signale la disparition de Fiona, sa fille de 5 ans, lors d’une promenade dans un parc de Clermont-Ferrand. Seulement, après plusieurs mois de mensonges, la mère de famille passe aux aveux : ce serait son compagnon qui aurait tué accidentellement Fiona. Mais dit-elle enfin toute la vérité ?

  • 15:30

    Enquêtes criminelles

    Tu ne convoiteras pas la femme de ton frère

    Le 7 décembre 2016, Alexandre Dubrunfaut, 29 ans, est retrouvé mort carbonisé dans les restes d’une voiture incendiée non loin de Valenciennes (Nord). Un mois plus tard, son frère David, 32 ans, est interpellé.

  • 17:10

    Enquêtes criminelles

    Rapt parental : Camille, 5 ans, portée disparue (1/2)

    Février 2022, sur les bords du Lac Léman. C’est à la faveur d’un simple contrôle routier que va se résoudre l’une des affaires les plus mystérieuses de ces dernières années. Alors qu’elle est recherchée depuis 2011 pour l’enlèvement de sa fille Camille, alors âgée de 5 ans, Priscilla Majani est arrêtée par la police suisse. À 500 kilomètres de là, dans le sud de la France, l’ex-mari de la fugitive, Alain Chauvet, retrouve l’espoir de revoir la fillette. Jamais, pendant 11 ans, il n’a cessé de remuer ciel et terre pour retrouver Camille. Seulement, les retrouvailles ne vont pas du tout se passer comme prévu. En effet, d’anciennes accusations refont surface : le père de famille aurait violé sa très jeune fille à de multiples reprises. Des faits que l’enquête de police réalisée à l’époque n’a pas permis de démontrer mais qui ont poussé Priscilla Majani à tout mettre en œuvre pour que Camille ne revoie plus son père. Avant de s’évanouir dans la nature, la mère et la fillette ont été en contact avec un personnage sulfureux : un certain Stan Maillaud. L’homme, ancien gendarme et figure du milieu complotiste, se serait spécialisé dans les kidnappings d’enfants abusés par leurs pères. Mais ensuite, que s’est-il passé ? Comment Priscilla Majani et la petite Camille ont-elles pu vivre si longtemps dans la clandestinité sans éveiller le moindre soupçon ? À la suite, « Enquêtes criminelles » s’intéressera à la disparition de la petite Marion Wagon, 10 ans, le 14 novembre 1996 en plein centre d’Agen (Lot-et-Garonne). Son histoire a profondément marqué les Français. Jamais auparavant une disparition d’enfant n’avait été autant relayée : tout le monde se souvient du visage de la fillette imprimé sur dix millions de briques de lait. Près de 30 ans plus tard, la vérité est peut-être enfin à portée de main. Car deux pistes ont peut-être été négligées. D’abord, celle de François Vérove, alias « le Grêlé » : le mode opératoire du kidnappeur de Marion rappelle ce prédateur sexuel qui s’est suicidé en septembre 2021. Et puis il y a cet autre suspect, interrogé dès le début de l’enquête : les enquêteurs disposaient d’un témoignage l’incriminant mais une décision inattendue avait éloigné les soupçons qui pesaient sur lui…

  • 18:05

    Enquêtes criminelles

    Rapt parental : Camille, 5 ans, portée disparue (2/2)

    Février 2022, sur les bords du Lac Léman. C’est à la faveur d’un simple contrôle routier que va se résoudre l’une des affaires les plus mystérieuses de ces dernières années. Alors qu’elle est recherchée depuis 2011 pour l’enlèvement de sa fille Camille, alors âgée de 5 ans, Priscilla Majani est arrêtée par la police suisse. À 500 kilomètres de là, dans le sud de la France, l’ex-mari de la fugitive, Alain Chauvet, retrouve l’espoir de revoir la fillette. Jamais, pendant 11 ans, il n’a cessé de remuer ciel et terre pour retrouver Camille. Seulement, les retrouvailles ne vont pas du tout se passer comme prévu. En effet, d’anciennes accusations refont surface : le père de famille aurait violé sa très jeune fille à de multiples reprises. Des faits que l’enquête de police réalisée à l’époque n’a pas permis de démontrer mais qui ont poussé Priscilla Majani à tout mettre en œuvre pour que Camille ne revoie plus son père. Avant de s’évanouir dans la nature, la mère et la fillette ont été en contact avec un personnage sulfureux : un certain Stan Maillaud. L’homme, ancien gendarme et figure du milieu complotiste, se serait spécialisé dans les kidnappings d’enfants abusés par leurs pères. Mais ensuite, que s’est-il passé ? Comment Priscilla Majani et la petite Camille ont-elles pu vivre si longtemps dans la clandestinité sans éveiller le moindre soupçon ? À la suite, « Enquêtes criminelles » s’intéressera à la disparition de la petite Marion Wagon, 10 ans, le 14 novembre 1996 en plein centre d’Agen (Lot-et-Garonne). Son histoire a profondément marqué les Français. Jamais auparavant une disparition d’enfant n’avait été autant relayée : tout le monde se souvient du visage de la fillette imprimé sur dix millions de briques de lait. Près de 30 ans plus tard, la vérité est peut-être enfin à portée de main. Car deux pistes ont peut-être été négligées. D’abord, celle de François Vérove, alias « le Grêlé » : le mode opératoire du kidnappeur de Marion rappelle ce prédateur sexuel qui s’est suicidé en septembre 2021. Et puis il y a cet autre suspect, interrogé dès le début de l’enquête : les enquêteurs disposaient d’un témoignage l’incriminant mais une décision inattendue avait éloigné les soupçons qui pesaient sur lui…

  • 18:55

    Enquêtes criminelles

    Meurtre des époux Muller : le suspect habitait juste en face (1/2)

    Rien ne pouvait préparer les filles de Sylviane et Jean-Claude Muller à ce qu’elles allaient vivre. Le 15 décembre 2019, Margaux, 24 ans, se rend chez ses parents à Izon, une banlieue pavillonnaire à une vingtaine de kilomètres de Bordeaux (Gironde). À son arrivée, la jeune femme découvre les corps suppliciés de ses parents dans leur chambre à coucher. Jean-Claude, 58 ans, et Sylviane, 50 ans, ont été tués de plusieurs coups de couteau. Et comble de l’horreur : la mère de famille porte aussi tous les stigmates d’une agression sexuelle. Pendant près de quatre ans, Margaux et sa sœur de 28 ans, Natacha, vont devoir endurer le calvaire d’une enquête qui s’enlise. Crime crapuleux, règlement de compte… les gendarmes explorent toutes les pistes. Sauf qu’en fait, il ne fallait pas chercher bien loin. En novembre 2023, trahi par son ADN retrouvé sous les ongles de Sylviane Muller, David Daouphars passe aux aveux. L’homme de 53 ans n’est pas un inconnu : il était sous le nez des enquêteurs depuis le début, de l’autre côté de la route départementale. Tel un voisin prévenant, il avait même proposé à Natacha d’utiliser sa salle de bain, le jour de la terrible découverte, pour qu’elle reprenne ses esprits. Pour brouiller les pistes, il avait même répondu face caméra aux questions d’un journaliste de la télévision régionale ! Pourquoi ce père de famille a priori au-dessus de tout soupçon aurait-il commis un crime aussi atroce ? Le suspect, qui reconnaît le double meurtre, affirme qu’il entretenait une relation sentimentale avec Sylviane Muller. Une liaison découverte ce soir-là par son mari Jean-Claude, provoquant une bagarre qui aurait dégénéré. Mais dit-il vraiment toute la vérité ? À la suite de ce document, retour sur la mort de Véronique Duchesne, en octobre 2010 sur une plage au nord de Saint-Quay-Portrieux (Côtes-d’Armor). Alors qu'après sa disparition, deux jours plus tôt, Thierry Meunier, son mari, évoque un probable suicide, l’autopsie va déterminer qu’en réalité, la victime âgée de 47 ans a été frappée et étranglée. Alors, l’époux a-t-il tout simplement tiré des conclusions hâtives ? Ou aurait-il cherché à orienter les enquêteurs sur une fausse piste ? Avant sa mise en examen et son placement en détention provisoire en décembre dernier, Thierry Meunier clamait son innocence devant les caméras d’« Enquêtes criminelles ».

  • 19:50

    Enquêtes criminelles

    Affaire Estelle Veneut : un enfant témoin du meurtre de sa mère

    Son temps libre, Badr Smati le passe sur les routes du Maine-et-Loire à pédaler : l’homme de 33 ans est un coureur cycliste chevronné. Comment imaginer que cet entraînement de champion ait pu lui servir à dissimuler un meurtre ?

  • 21:30

    Enquêtes criminelles

    Compte à rebours mortel (1/2)

    Pont-Saint-Esprit (Gard), le 19 avril 2001. Louis Moulin et son épouse Bernadette s’apprêtent à se coucher lorsqu’ils sentent une odeur inhabituelle. Inquiet, le couple inspecte la maison et fait une découverte stupéfiante : sous le lit, une bombe artisanale est reliée à 50 litres d’essence. L’explosion était programmée à 2h45 du matin… De quoi les brûler vifs pendant leur sommeil et réduire en cendres toute la maison. Qui peut en vouloir au paisible couple au point de vouloir les faire exploser ? Louis et Bernadette n’avaient aucun conflit… Sauf avec leur fille aînée Delphine, 24 ans, et leur gendre, Vincent, professeur de musique. Depuis 4 ans, contre l’avis de sa famille, la jeune femme entretenait une relation passionnelle avec cet homme de 9 ans son aîné. Et les rapports avec les beaux-parents étaient tendus ! Alors, Delphine et Vincent seraient-ils impliqués ? Pour Louis et Bernadette, comment imaginer Delphine, enfant modèle, participer à un complot criminel qu’on croirait sortir d’une série télé ? Pourtant, coïncidence troublante : depuis la tentative de meurtre ratée, les deux amants sont introuvables, comme s’ils étaient en cavale… Et justement, un mois plus tard, coup de théâtre : les deux fugitifs sont interpellés au Portugal ! Mais pas pour la tentative d’assassinat : cette fois-ci, le jeune couple est soupçonné d’avoir délibérément tué deux touristes hollandais pour leur voler leur camping-car et leur carte bancaire. Comment la jeune fille de bonne famille aurait-elle basculé dans une folie criminelle à la Bonnie & Clyde ? La jeune femme aurait-elle été manipulée ? Qui tire vraiment les ficelles ? À la suite, « Enquêtes criminelles » reviendra sur la tentative de meurtre sur Isabelle Goncalves, une professeure de français de 34 ans, le 4 juin 2017 à Champs-sur-Marne, près de Paris. Terrifié, son mari Philippe explique aux policiers qu’il avait organisé un pique-nique en amoureux mais que la sortie a mal tourné. Au moment d’offrir un magnifique bijou à sa femme, un inconnu les aurait attaqués… Lorsqu’il a repris conscience, Isabelle était étendue dans l’herbe, touchée d’une balle dans la tête, et tous leurs objets de valeur avaient disparu. Une version confirmée par l’épouse qui, comme par miracle, a survécu ! Seulement, les policiers ont des doutes. Car malgré les apparences, tout n’était pas rose au sein du couple : le mari, chef d’entreprise, était tombé sous le charme de sa jeune secrétaire. Mais pourquoi Philippe Goncalves aurait-il mis au point un plan diabolique pour éliminer son épouse et maquiller le meurtre en agression ?

  • 22:25

    Enquêtes criminelles

    Meurtre des époux Muller : le suspect habitait juste en face (2/2)

    Rien ne pouvait préparer les filles de Sylviane et Jean-Claude Muller à ce qu’elles allaient vivre. Le 15 décembre 2019, Margaux, 24 ans, se rend chez ses parents à Izon, une banlieue pavillonnaire à une vingtaine de kilomètres de Bordeaux (Gironde). À son arrivée, la jeune femme découvre les corps suppliciés de ses parents dans leur chambre à coucher. Jean-Claude, 58 ans, et Sylviane, 50 ans, ont été tués de plusieurs coups de couteau. Et comble de l’horreur : la mère de famille porte aussi tous les stigmates d’une agression sexuelle. Pendant près de quatre ans, Margaux et sa sœur de 28 ans, Natacha, vont devoir endurer le calvaire d’une enquête qui s’enlise. Crime crapuleux, règlement de compte… les gendarmes explorent toutes les pistes. Sauf qu’en fait, il ne fallait pas chercher bien loin. En novembre 2023, trahi par son ADN retrouvé sous les ongles de Sylviane Muller, David Daouphars passe aux aveux. L’homme de 53 ans n’est pas un inconnu : il était sous le nez des enquêteurs depuis le début, de l’autre côté de la route départementale. Tel un voisin prévenant, il avait même proposé à Natacha d’utiliser sa salle de bain, le jour de la terrible découverte, pour qu’elle reprenne ses esprits. Pour brouiller les pistes, il avait même répondu face caméra aux questions d’un journaliste de la télévision régionale ! Pourquoi ce père de famille a priori au-dessus de tout soupçon aurait-il commis un crime aussi atroce ? Le suspect, qui reconnaît le double meurtre, affirme qu’il entretenait une relation sentimentale avec Sylviane Muller. Une liaison découverte ce soir-là par son mari Jean-Claude, provoquant une bagarre qui aurait dégénéré. Mais dit-il vraiment toute la vérité ? À la suite de ce document, retour sur la mort de Véronique Duchesne, en octobre 2010 sur une plage au nord de Saint-Quay-Portrieux (Côtes-d’Armor). Alors qu'après sa disparition, deux jours plus tôt, Thierry Meunier, son mari, évoque un probable suicide, l’autopsie va déterminer qu’en réalité, la victime âgée de 47 ans a été frappée et étranglée. Alors, l’époux a-t-il tout simplement tiré des conclusions hâtives ? Ou aurait-il cherché à orienter les enquêteurs sur une fausse piste ? Avant sa mise en examen et son placement en détention provisoire en décembre dernier, Thierry Meunier clamait son innocence devant les caméras d’« Enquêtes criminelles ».

  • 23:15

    Enquêtes criminelles

    Joséphine Bernard : vrai ou faux suicide ? Sa mère cherche la vérité

    Lorsque le 12 janvier 2018, Joséphine Bernard, 27 ans, est retrouvée morte dans son appartement de Bailly-Romainvilliers (Seine-et-Marne), les enquêteurs concluent sans nul doute au suicide. Pourtant, Sylvie, sa mère, est quant à elle convaincue qu’il s’agit d’un meurtre… Pour « Enquêtes criminelles », et pour la première fois, Sylvie Bernard raconte son combat pour la vérité. Pendant des mois, épaulée par son mari Richard, elle a enquêté sur la mort de sa fille et découvert que les investigations sont truffées d’incohérences, voire, pire, de négligences. L’ordinateur et le téléphone de Joséphine n’ont pas été étudiés, pas plus qu’un podomètre qui indiquerait pourtant que la victime avait reçu de la visite le soir du drame. Et, plus effarant encore, deux couteaux saisis sur les lieux ont mystérieusement disparu… Une somme d’erreurs aujourd’hui reconnue par la justice. Cinq ans après le décès de Joséphine Bernard, l’affaire, classée en suicide, est désormais rouverte pour homicide. Il faut dire que la position dans laquelle elle a été retrouvée pose question : Joséphine était pendue à une patère murale à 1 mètre 50 seulement du sol, en position semi-assise. Et puis professionnellement tout allait bien pour la jeune femme : à Disneyland Paris où elle travaillait, elle était épanouie. En revanche, sa relation sentimentale avec un homme marié et père de famille inquiétait ses proches… et aurait été découverte par l’épouse bafouée. Alors, le couple serait-il mêlé à la mort de la jeune femme ? Fait troublant : dans le téléphone de l’homme à la double vie, tous les échanges avec sa femme et sa maîtresse ont été effacés… Simple coïncidence ? En seconde partie d’émission, « Enquêtes criminelles » reviendra sur la dernière soirée de Laëtitia Hemery, une mère de famille de 31 ans tuée le 1er janvier 2020 à Toulon (Var). Quelques heures plus tôt, la jeune femme a dit à tout le monde qu’elle était sortie avec des amies. En réalité, elle a rejoint son ancien compagnon, Mickaël Reynaud, qu’elle fréquente depuis trois ans. Trois ans de menaces et de violences… Laëtitia Hemery sera la première femme de l’année 2020 à décéder sous les coups de son conjoint. Et fait rare : l’intégralité de la soirée a été filmée par des caméras de vidéosurveillance ! Des enregistrements accablants pour Mickaël Reynaud…