C’est l’affaire qui a bouleversé la France en ce début d’année 2025. Devant la cour d’assises de l’Hérault, une mère de famille vient d’être condamnée à la réclusion criminelle à perpétuité assortie de 20 ans de sûreté pour actes de torture et de barbarie ayant entraîné la mort. La victime est sa propre fille âgée seulement de 13 ans : Amandine Florès. Le 6 août 2020, la jeune fille succombe à un arrêt cardiaque causé par une privation extrême de nourriture : elle ne pesait alors que 28 kilos pour 1 mètre 55. Depuis son plus jeune âge, l’adolescente est la cible de maltraitances infligées par sa mère, Sandrine Pissara. Cette dernière aurait développé une véritable haine envers sa fille, dont le seul tort aurait été de ressembler à son père. Quelques mois plus tôt, alors que débute la pandémie de Covid-19, l’annonce du confinement scelle le sort d’Amandine. Juste avant d’être contrainte de revenir vivre chez sa mère, la collégienne, alors scolarisée en internat, aurait fait à une surveillante une déclaration glaçante : « Je vais mourir. » Et en effet, de retour au domicile familial, Amandine aurait été enfermée dans un cagibi, sans nourriture, et subi violences et humiliations sans que personne ne lui vienne en aide. Sa mère avait même installé une caméra pour pouvoir la surveiller. Mais alors comment une mère de famille a-t-elle pu autant s’acharner sur sa propre fille ? Et comment a-t-elle pu lui faire endurer de telles horreurs pendant toutes ces années sans jamais être inquiétée ? Pourquoi, malgré plusieurs signalements, Sandrine Pissara est-elle parvenue à tromper les services sociaux ? Pour « Enquêtes criminelles », Frédéric Florès, le père d’Amandine, prend la parole. Dévasté par ce qui est arrivé à sa fille, il veut aujourd’hui se battre pour qu’un tel drame ne se reproduise plus jamais.
C’est l’affaire qui a bouleversé la France en ce début d’année 2025. Devant la cour d’assises de l’Hérault, une mère de famille vient d’être condamnée à la réclusion criminelle à perpétuité assortie de 20 ans de sûreté pour actes de torture et de barbarie ayant entraîné la mort. La victime est sa propre fille âgée seulement de 13 ans : Amandine Florès. Le 6 août 2020, la jeune fille succombe à un arrêt cardiaque causé par une privation extrême de nourriture : elle ne pesait alors que 28 kilos pour 1 mètre 55. Depuis son plus jeune âge, l’adolescente est la cible de maltraitances infligées par sa mère, Sandrine Pissara. Cette dernière aurait développé une véritable haine envers sa fille, dont le seul tort aurait été de ressembler à son père. Quelques mois plus tôt, alors que débute la pandémie de Covid-19, l’annonce du confinement scelle le sort d’Amandine. Juste avant d’être contrainte de revenir vivre chez sa mère, la collégienne, alors scolarisée en internat, aurait fait à une surveillante une déclaration glaçante : « Je vais mourir. » Et en effet, de retour au domicile familial, Amandine aurait été enfermée dans un cagibi, sans nourriture, et subi violences et humiliations sans que personne ne lui vienne en aide. Sa mère avait même installé une caméra pour pouvoir la surveiller. Mais alors comment une mère de famille a-t-elle pu autant s’acharner sur sa propre fille ? Et comment a-t-elle pu lui faire endurer de telles horreurs pendant toutes ces années sans jamais être inquiétée ? Pourquoi, malgré plusieurs signalements, Sandrine Pissara est-elle parvenue à tromper les services sociaux ? Pour « Enquêtes criminelles », Frédéric Florès, le père d’Amandine, prend la parole. Dévasté par ce qui est arrivé à sa fille, il veut aujourd’hui se battre pour qu’un tel drame ne se reproduise plus jamais.
Est-il imaginable qu’une grand-mère décide de tuer ses petits-enfants ? C’est pourtant le scénario ahurissant de l’affaire criminelle qui s’est déroulée à Habas, dans les Landes, en 2021. Pour les vacances de Pâques, Joël et Caroline ont confié leurs deux fils de 10 et 12 ans à leur grand-mère, Marie-France Lacazedieu. Les deux garçons sont aux anges, d’autant qu’ils s’entendent très bien avec le compagnon de Marie-France, qu’ils considèrent comme leur « tonton ». Mais dans la nuit du 14 au 15 avril, un terrible incendie se déclenche au domicile du couple. Alertés à temps, les pompiers arrivent in extremis à extraire la petite famille. Marie-France, 60 ans, est à demi-consciente. Mais pour ses deux petits-fils et son compagnon, c’est beaucoup plus grave : transférés à l’hôpital en urgence absolue, ils vont s’en sortir mais garderont de lourdes séquelles… Comment un tel brasier a-t-il pu se déclencher en pleine nuit ? Au chevet de ses enfants, Caroline va bientôt apprendre que l’incendie serait volontaire ! En effet, trois départs de feu sont recensés : la chambre conjugale et celle des deux petits garçons ont été aspergées d’essence. Pire, pour les enquêteurs, l’auteur de cette tentative de meurtre ne serait autre que la grand-mère ! Marie-France aurait-elle tenté de tuer son conjoint et ses petits-fils, la chair de sa chair, en les empoisonnant et en les faisant brûler vifs ? Et si oui, pourquoi ? Plongée dans un fait divers hors norme, un drame intra-familial totalement insensé, que les acteurs eux-mêmes racontent en exclusivité pour « Enquêtes Criminelles ».
Un double crime sanglant, un suspect que tout semble accuser et un procès qui n’aura peut-être jamais lieu. Cela paraît inconcevable, et pourtant c’est l’éventualité à laquelle se préparent Mélissa, Kim et Julie, les trois filles de Karine Teboul. Cette maman solo de 50 ans et son compagnon Frédéric, 46 ans, ont été sauvagement assassinés dans la nuit du 9 au 10 octobre 2021 au domicile de ce dernier à Allauch, une petite commune des environs de Marseille (Bouches-du-Rhône). « Bonne nuit, je t’aime, je t’envoie un message demain matin ». Après ce SMS envoyé à l’une de ses filles, Karine ne donnera plus aucun signe de vie. Inquiète, l’aînée de la fratrie se rend à l’adresse où la mère de famille passe tous ses week-ends. Dès qu’elle franchit le seuil de l’appartement, la jeune femme découvre les corps meurtris du couple, grossièrement dissimulés sous un drap. Sidérée, Julie ressort et crie à l’aide. Deux voisins viennent à son secours. L’un d’eux, Alexis M., se montre très prévenant à l’égard de la jeune femme traumatisée. Impossible alors d’imaginer que l’homme en train de la réconforter pourrait en réalité être le meurtrier. Seulement, aiguillés par un résident de l’immeuble, les enquêteurs soupçonnent rapidement Alexis M., le voisin. Mais le suspect, qui nie les faits et invoque une abolition du discernement, sort rapidement de prison et doit se plier à un simple suivi psychiatrique. Un scandale pour la famille de Karine Teboul : ses trois filles, ses frères Ludovic et Stéphane ainsi que sa belle-sœur Magali Berdah, la célèbre agente d’influenceurs. Tous les six prennent la parole dans « Enquêtes criminelles » pour réclamer justice et dénoncer ce qu’ils estiment être un dysfonctionnement du système judiciaire. À la suite, « Enquêtes criminelles » s’intéressera au meurtre insensé de Kévin Sellier, 19 ans, retrouvé violemment poignardé, ses dents brisées et son corps brûlé en mai 2012 dans l’Ariège. L’une de ses amies passe vite aux aveux : Cindy Pereira, 20 ans. Mais pour les gendarmes, un détail ne colle pas. Comment cette frêle jeune femme, qui mesure à peine 1 mètre 55, a-t-elle pu asséner seule autant de coups à Kévin qui, lui, mesurait 1 mètre 90 ? Protège-t-elle un complice ?
Rien ne pouvait préparer les filles de Sylviane et Jean-Claude Muller à ce qu’elles allaient vivre. Le 15 décembre 2019, Margaux, 24 ans, se rend chez ses parents à Izon, une banlieue pavillonnaire à une vingtaine de kilomètres de Bordeaux (Gironde). À son arrivée, la jeune femme découvre les corps suppliciés de ses parents dans leur chambre à coucher. Jean-Claude, 58 ans, et Sylviane, 50 ans, ont été tués de plusieurs coups de couteau. Et comble de l’horreur : la mère de famille porte aussi tous les stigmates d’une agression sexuelle. Pendant près de quatre ans, Margaux et sa sœur de 28 ans, Natacha, vont devoir endurer le calvaire d’une enquête qui s’enlise. Crime crapuleux, règlement de compte… les gendarmes explorent toutes les pistes. Sauf qu’en fait, il ne fallait pas chercher bien loin. En novembre 2023, trahi par son ADN retrouvé sous les ongles de Sylviane Muller, David Daouphars passe aux aveux. L’homme de 53 ans n’est pas un inconnu : il était sous le nez des enquêteurs depuis le début, de l’autre côté de la route départementale. Tel un voisin prévenant, il avait même proposé à Natacha d’utiliser sa salle de bain, le jour de la terrible découverte, pour qu’elle reprenne ses esprits. Pour brouiller les pistes, il avait même répondu face caméra aux questions d’un journaliste de la télévision régionale ! Pourquoi ce père de famille a priori au-dessus de tout soupçon aurait-il commis un crime aussi atroce ? Le suspect, qui reconnaît le double meurtre, affirme qu’il entretenait une relation sentimentale avec Sylviane Muller. Une liaison découverte ce soir-là par son mari Jean-Claude, provoquant une bagarre qui aurait dégénéré. Mais dit-il vraiment toute la vérité ? À la suite de ce document, retour sur la mort de Véronique Duchesne, en octobre 2010 sur une plage au nord de Saint-Quay-Portrieux (Côtes-d’Armor). Alors qu'après sa disparition, deux jours plus tôt, Thierry Meunier, son mari, évoque un probable suicide, l’autopsie va déterminer qu’en réalité, la victime âgée de 47 ans a été frappée et étranglée. Alors, l’époux a-t-il tout simplement tiré des conclusions hâtives ? Ou aurait-il cherché à orienter les enquêteurs sur une fausse piste ? Avant sa mise en examen et son placement en détention provisoire en décembre dernier, Thierry Meunier clamait son innocence devant les caméras d’« Enquêtes criminelles ».
Rien ne pouvait préparer les filles de Sylviane et Jean-Claude Muller à ce qu’elles allaient vivre. Le 15 décembre 2019, Margaux, 24 ans, se rend chez ses parents à Izon, une banlieue pavillonnaire à une vingtaine de kilomètres de Bordeaux (Gironde). À son arrivée, la jeune femme découvre les corps suppliciés de ses parents dans leur chambre à coucher. Jean-Claude, 58 ans, et Sylviane, 50 ans, ont été tués de plusieurs coups de couteau. Et comble de l’horreur : la mère de famille porte aussi tous les stigmates d’une agression sexuelle. Pendant près de quatre ans, Margaux et sa sœur de 28 ans, Natacha, vont devoir endurer le calvaire d’une enquête qui s’enlise. Crime crapuleux, règlement de compte… les gendarmes explorent toutes les pistes. Sauf qu’en fait, il ne fallait pas chercher bien loin. En novembre 2023, trahi par son ADN retrouvé sous les ongles de Sylviane Muller, David Daouphars passe aux aveux. L’homme de 53 ans n’est pas un inconnu : il était sous le nez des enquêteurs depuis le début, de l’autre côté de la route départementale. Tel un voisin prévenant, il avait même proposé à Natacha d’utiliser sa salle de bain, le jour de la terrible découverte, pour qu’elle reprenne ses esprits. Pour brouiller les pistes, il avait même répondu face caméra aux questions d’un journaliste de la télévision régionale ! Pourquoi ce père de famille a priori au-dessus de tout soupçon aurait-il commis un crime aussi atroce ? Le suspect, qui reconnaît le double meurtre, affirme qu’il entretenait une relation sentimentale avec Sylviane Muller. Une liaison découverte ce soir-là par son mari Jean-Claude, provoquant une bagarre qui aurait dégénéré. Mais dit-il vraiment toute la vérité ? À la suite de ce document, retour sur la mort de Véronique Duchesne, en octobre 2010 sur une plage au nord de Saint-Quay-Portrieux (Côtes-d’Armor). Alors qu'après sa disparition, deux jours plus tôt, Thierry Meunier, son mari, évoque un probable suicide, l’autopsie va déterminer qu’en réalité, la victime âgée de 47 ans a été frappée et étranglée. Alors, l’époux a-t-il tout simplement tiré des conclusions hâtives ? Ou aurait-il cherché à orienter les enquêteurs sur une fausse piste ? Avant sa mise en examen et son placement en détention provisoire en décembre dernier, Thierry Meunier clamait son innocence devant les caméras d’« Enquêtes criminelles ».
Le 13 mai 2019, un homme a priori au-dessus de tout soupçon participe à l’un des jeux télévisés les plus regardés de France. Sur le plateau de « Tout le monde veut prendre sa place » Nagui accueille François Vérove, ancien policier et membre de la garde républicaine. Devant leur écran les téléspectateurs sont loin d’imaginer que le souriant retraité, qui s’affiche en totale décontraction à la télévision, est en fait l’un des tueurs en série les plus recherchés de France ! C’est l’une des plus grandes énigmes criminelles françaises de ces 40 dernières années. Une traque qui commence à Paris en 1986, par la découverte du corps sans vie d’une fillette de 11 ans, Cécile Bloch. Le sort de cette enfant, abusée sexuellement avant d’être assassinée, émeut autant qu’il terrifie… Et ce n’est que le début : en 10 ans, le tueur commet quatre meurtres et au moins six viols. Surnommé « le Grêlé » en raison d’importantes marques d’acné sur le visage, il ne sera identifié que 35 ans plus tard, en 2021. Lorsque son identité est enfin connue, « le Grêlé » mène une vie paisible à La Grande-Motte (Hérault). Mari aimant, père et grand-père modèle, ancien gendarme serviable et dévoué : François Vérove n’a pas vraiment le profil attendu. Pourtant, juste avant d’être interpellé, l’homme laisse une brève lettre d’aveux et se donne la mort. Qui était vraiment François Vérove ? Comment, tel un « Docteur Jekyll et Mister Hyde » a-t-il réussi à tromper tout son monde aussi longtemps ? Pourrait-il être l’auteur d’autres crimes jusqu’ici non résolus ? À travers des vidéos personnelles et des témoignages inédits, enquêteurs, victimes, voisins et collègues ont accepté de nous dévoiler le double visage du tueur en série… À la suite, retour sur la disparition d’Estelle Veneut. Une nuit de février 2018, cette jeune femme de 34 ans devait passer la nuit chez sa mère mais elle n’est jamais arrivée… Les proches de la disparue soupçonnent son compagnon, Badr Smati, car en privé, il serait tyrannique, d’une jalousie maladive. Estelle avait confié à ses collègues qu’il lui faisait vivre un enfer : il la géolocalisait grâce à une application sur son téléphone et l'enfermait à clef quand il s’absentait. Trois semaines plus tôt, Estelle avait décidé de rompre et la situation avait encore empiré. Alors, malgré des appels à l’aide déchirants sur les réseaux sociaux, le compagnon jaloux aurait-il fait disparaître Estelle ? Les gendarmes vont pouvoir compter sur un témoignage providentiel accablant : celui de la propre fille du couple, qui aurait tout vu de ce qui se serait passé ce soir-là…
Le 13 mai 2019, un homme a priori au-dessus de tout soupçon participe à l’un des jeux télévisés les plus regardés de France. Sur le plateau de « Tout le monde veut prendre sa place » Nagui accueille François Vérove, ancien policier et membre de la garde républicaine. Devant leur écran les téléspectateurs sont loin d’imaginer que le souriant retraité, qui s’affiche en totale décontraction à la télévision, est en fait l’un des tueurs en série les plus recherchés de France ! C’est l’une des plus grandes énigmes criminelles françaises de ces 40 dernières années. Une traque qui commence à Paris en 1986, par la découverte du corps sans vie d’une fillette de 11 ans, Cécile Bloch. Le sort de cette enfant, abusée sexuellement avant d’être assassinée, émeut autant qu’il terrifie… Et ce n’est que le début : en 10 ans, le tueur commet quatre meurtres et au moins six viols. Surnommé « le Grêlé » en raison d’importantes marques d’acné sur le visage, il ne sera identifié que 35 ans plus tard, en 2021. Lorsque son identité est enfin connue, « le Grêlé » mène une vie paisible à La Grande-Motte (Hérault). Mari aimant, père et grand-père modèle, ancien gendarme serviable et dévoué : François Vérove n’a pas vraiment le profil attendu. Pourtant, juste avant d’être interpellé, l’homme laisse une brève lettre d’aveux et se donne la mort. Qui était vraiment François Vérove ? Comment, tel un « Docteur Jekyll et Mister Hyde » a-t-il réussi à tromper tout son monde aussi longtemps ? Pourrait-il être l’auteur d’autres crimes jusqu’ici non résolus ? À travers des vidéos personnelles et des témoignages inédits, enquêteurs, victimes, voisins et collègues ont accepté de nous dévoiler le double visage du tueur en série… À la suite, retour sur la disparition d’Estelle Veneut. Une nuit de février 2018, cette jeune femme de 34 ans devait passer la nuit chez sa mère mais elle n’est jamais arrivée… Les proches de la disparue soupçonnent son compagnon, Badr Smati, car en privé, il serait tyrannique, d’une jalousie maladive. Estelle avait confié à ses collègues qu’il lui faisait vivre un enfer : il la géolocalisait grâce à une application sur son téléphone et l'enfermait à clef quand il s’absentait. Trois semaines plus tôt, Estelle avait décidé de rompre et la situation avait encore empiré. Alors, malgré des appels à l’aide déchirants sur les réseaux sociaux, le compagnon jaloux aurait-il fait disparaître Estelle ? Les gendarmes vont pouvoir compter sur un témoignage providentiel accablant : celui de la propre fille du couple, qui aurait tout vu de ce qui se serait passé ce soir-là…
Le 29 mars 2023, la baronne Myriam Ullens est criblée de balles au volant de sa voiture alors qu’elle quittait sa luxueuse propriété des environs de Bruxelles (Belgique). À ses côtés, son mari Guy, un riche entrepreneur retiré des affaires, assiste impuissant au meurtre. L’affaire fait grand bruit dans toute l’aristocratie européenne. Car, grâce à leur fortune estimée à plusieurs centaines de millions d’euros, Guy et Myriam Ullens reçoivent le gotha et même des têtes couronnées, à l’occasion de soirées mondaines, d’excursions sur leur yacht ou de séjours dans leur chalet en Suisse. Alors, qui a voulu briser cette image de bonheur et de réussite ? Comment la prestigieuse famille Ullens a-t-elle fini à la une de la rubrique « faits divers » ? Contre toute attente, cette exécution sommaire aurait été perpétrée par le propre fils de Guy, le beau-fils de la victime ! Depuis que son père s’est remarié, Nicolas Ullens, 57 ans, semble nourrir une haine féroce à l’encontre de sa belle-mère. Selon lui, Myriam serait une femme diabolique qui l’aurait humilié et privé de l’affection de son père. Mais pire encore, la baronne serait une arriviste machiavélique qui dilapiderait la fortune familiale. Mais ces déclarations reflètent-elles la réalité ou ne sont-elles que pur fantasme ? Dans la seconde partie de l’émission, retour sur le meurtre de Lionel Véronèse. Le 30 avril 2012, le corps sans vie de ce Savoyard de 39 ans est découvert à 300 kilomètres de chez lui, à Carry-le-Rouet (Bouches-du-Rhône). Il a été exécuté d’une balle en pleine tête. Célibataire et sportif accompli, Lionel Véronèse collectionnait les conquêtes… Parmi ses relations récentes : une femme mariée, l’épouse d’un riche viticulteur. Et, troublante coïncidence, le mari bafoué est justement filmé sur une autoroute en direction du sud de la France la veille de la découverte du corps… Aurait-il découvert l’infidélité de sa femme et décidé d’éliminer son rival ?
Le 29 mars 2023, la baronne Myriam Ullens est criblée de balles au volant de sa voiture alors qu’elle quittait sa luxueuse propriété des environs de Bruxelles (Belgique). À ses côtés, son mari Guy, un riche entrepreneur retiré des affaires, assiste impuissant au meurtre. L’affaire fait grand bruit dans toute l’aristocratie européenne. Car, grâce à leur fortune estimée à plusieurs centaines de millions d’euros, Guy et Myriam Ullens reçoivent le gotha et même des têtes couronnées, à l’occasion de soirées mondaines, d’excursions sur leur yacht ou de séjours dans leur chalet en Suisse. Alors, qui a voulu briser cette image de bonheur et de réussite ? Comment la prestigieuse famille Ullens a-t-elle fini à la une de la rubrique « faits divers » ? Contre toute attente, cette exécution sommaire aurait été perpétrée par le propre fils de Guy, le beau-fils de la victime ! Depuis que son père s’est remarié, Nicolas Ullens, 57 ans, semble nourrir une haine féroce à l’encontre de sa belle-mère. Selon lui, Myriam serait une femme diabolique qui l’aurait humilié et privé de l’affection de son père. Mais pire encore, la baronne serait une arriviste machiavélique qui dilapiderait la fortune familiale. Mais ces déclarations reflètent-elles la réalité ou ne sont-elles que pur fantasme ? Dans la seconde partie de l’émission, retour sur le meurtre de Lionel Véronèse. Le 30 avril 2012, le corps sans vie de ce Savoyard de 39 ans est découvert à 300 kilomètres de chez lui, à Carry-le-Rouet (Bouches-du-Rhône). Il a été exécuté d’une balle en pleine tête. Célibataire et sportif accompli, Lionel Véronèse collectionnait les conquêtes… Parmi ses relations récentes : une femme mariée, l’épouse d’un riche viticulteur. Et, troublante coïncidence, le mari bafoué est justement filmé sur une autoroute en direction du sud de la France la veille de la découverte du corps… Aurait-il découvert l’infidélité de sa femme et décidé d’éliminer son rival ?
Lorsque le 12 janvier 2018, Joséphine Bernard, 27 ans, est retrouvée morte dans son appartement de Bailly-Romainvilliers (Seine-et-Marne), les enquêteurs concluent sans nul doute au suicide. Pourtant, Sylvie, sa mère, est quant à elle convaincue qu’il s’agit d’un meurtre… Pour « Enquêtes criminelles », et pour la première fois, Sylvie Bernard raconte son combat pour la vérité. Pendant des mois, épaulée par son mari Richard, elle a enquêté sur la mort de sa fille et découvert que les investigations sont truffées d’incohérences, voire, pire, de négligences. L’ordinateur et le téléphone de Joséphine n’ont pas été étudiés, pas plus qu’un podomètre qui indiquerait pourtant que la victime avait reçu de la visite le soir du drame. Et, plus effarant encore, deux couteaux saisis sur les lieux ont mystérieusement disparu… Une somme d’erreurs aujourd’hui reconnue par la justice. Cinq ans après le décès de Joséphine Bernard, l’affaire, classée en suicide, est désormais rouverte pour homicide. Il faut dire que la position dans laquelle elle a été retrouvée pose question : Joséphine était pendue à une patère murale à 1 mètre 50 seulement du sol, en position semi-assise. Et puis professionnellement tout allait bien pour la jeune femme : à Disneyland Paris où elle travaillait, elle était épanouie. En revanche, sa relation sentimentale avec un homme marié et père de famille inquiétait ses proches… et aurait été découverte par l’épouse bafouée. Alors, le couple serait-il mêlé à la mort de la jeune femme ? Fait troublant : dans le téléphone de l’homme à la double vie, tous les échanges avec sa femme et sa maîtresse ont été effacés… Simple coïncidence ? En seconde partie d’émission, « Enquêtes criminelles » reviendra sur la dernière soirée de Laëtitia Hemery, une mère de famille de 31 ans tuée le 1er janvier 2020 à Toulon (Var). Quelques heures plus tôt, la jeune femme a dit à tout le monde qu’elle était sortie avec des amies. En réalité, elle a rejoint son ancien compagnon, Mickaël Reynaud, qu’elle fréquente depuis trois ans. Trois ans de menaces et de violences… Laëtitia Hemery sera la première femme de l’année 2020 à décéder sous les coups de son conjoint. Et fait rare : l’intégralité de la soirée a été filmée par des caméras de vidéosurveillance ! Des enregistrements accablants pour Mickaël Reynaud…
Son temps libre, Badr Smati le passe sur les routes du Maine-et-Loire à pédaler : l’homme de 33 ans est un coureur cycliste chevronné. Comment imaginer que cet entraînement de champion ait pu lui servir à dissimuler un meurtre ?
Pont-Saint-Esprit (Gard), le 19 avril 2001. Louis Moulin et son épouse Bernadette s’apprêtent à se coucher lorsqu’ils sentent une odeur inhabituelle. Inquiet, le couple inspecte la maison et fait une découverte stupéfiante : sous le lit, une bombe artisanale est reliée à 50 litres d’essence. L’explosion était programmée à 2h45 du matin… De quoi les brûler vifs pendant leur sommeil et réduire en cendres toute la maison. Qui peut en vouloir au paisible couple au point de vouloir les faire exploser ? Louis et Bernadette n’avaient aucun conflit… Sauf avec leur fille aînée Delphine, 24 ans, et leur gendre, Vincent, professeur de musique. Depuis 4 ans, contre l’avis de sa famille, la jeune femme entretenait une relation passionnelle avec cet homme de 9 ans son aîné. Et les rapports avec les beaux-parents étaient tendus ! Alors, Delphine et Vincent seraient-ils impliqués ? Pour Louis et Bernadette, comment imaginer Delphine, enfant modèle, participer à un complot criminel qu’on croirait sortir d’une série télé ? Pourtant, coïncidence troublante : depuis la tentative de meurtre ratée, les deux amants sont introuvables, comme s’ils étaient en cavale… Et justement, un mois plus tard, coup de théâtre : les deux fugitifs sont interpellés au Portugal ! Mais pas pour la tentative d’assassinat : cette fois-ci, le jeune couple est soupçonné d’avoir délibérément tué deux touristes hollandais pour leur voler leur camping-car et leur carte bancaire. Comment la jeune fille de bonne famille aurait-elle basculé dans une folie criminelle à la Bonnie & Clyde ? La jeune femme aurait-elle été manipulée ? Qui tire vraiment les ficelles ? À la suite, « Enquêtes criminelles » reviendra sur la tentative de meurtre sur Isabelle Goncalves, une professeure de français de 34 ans, le 4 juin 2017 à Champs-sur-Marne, près de Paris. Terrifié, son mari Philippe explique aux policiers qu’il avait organisé un pique-nique en amoureux mais que la sortie a mal tourné. Au moment d’offrir un magnifique bijou à sa femme, un inconnu les aurait attaqués… Lorsqu’il a repris conscience, Isabelle était étendue dans l’herbe, touchée d’une balle dans la tête, et tous leurs objets de valeur avaient disparu. Une version confirmée par l’épouse qui, comme par miracle, a survécu ! Seulement, les policiers ont des doutes. Car malgré les apparences, tout n’était pas rose au sein du couple : le mari, chef d’entreprise, était tombé sous le charme de sa jeune secrétaire. Mais pourquoi Philippe Goncalves aurait-il mis au point un plan diabolique pour éliminer son épouse et maquiller le meurtre en agression ?
Pont-Saint-Esprit (Gard), le 19 avril 2001. Louis Moulin et son épouse Bernadette s’apprêtent à se coucher lorsqu’ils sentent une odeur inhabituelle. Inquiet, le couple inspecte la maison et fait une découverte stupéfiante : sous le lit, une bombe artisanale est reliée à 50 litres d’essence. L’explosion était programmée à 2h45 du matin… De quoi les brûler vifs pendant leur sommeil et réduire en cendres toute la maison. Qui peut en vouloir au paisible couple au point de vouloir les faire exploser ? Louis et Bernadette n’avaient aucun conflit… Sauf avec leur fille aînée Delphine, 24 ans, et leur gendre, Vincent, professeur de musique. Depuis 4 ans, contre l’avis de sa famille, la jeune femme entretenait une relation passionnelle avec cet homme de 9 ans son aîné. Et les rapports avec les beaux-parents étaient tendus ! Alors, Delphine et Vincent seraient-ils impliqués ? Pour Louis et Bernadette, comment imaginer Delphine, enfant modèle, participer à un complot criminel qu’on croirait sortir d’une série télé ? Pourtant, coïncidence troublante : depuis la tentative de meurtre ratée, les deux amants sont introuvables, comme s’ils étaient en cavale… Et justement, un mois plus tard, coup de théâtre : les deux fugitifs sont interpellés au Portugal ! Mais pas pour la tentative d’assassinat : cette fois-ci, le jeune couple est soupçonné d’avoir délibérément tué deux touristes hollandais pour leur voler leur camping-car et leur carte bancaire. Comment la jeune fille de bonne famille aurait-elle basculé dans une folie criminelle à la Bonnie & Clyde ? La jeune femme aurait-elle été manipulée ? Qui tire vraiment les ficelles ? À la suite, « Enquêtes criminelles » reviendra sur la tentative de meurtre sur Isabelle Goncalves, une professeure de français de 34 ans, le 4 juin 2017 à Champs-sur-Marne, près de Paris. Terrifié, son mari Philippe explique aux policiers qu’il avait organisé un pique-nique en amoureux mais que la sortie a mal tourné. Au moment d’offrir un magnifique bijou à sa femme, un inconnu les aurait attaqués… Lorsqu’il a repris conscience, Isabelle était étendue dans l’herbe, touchée d’une balle dans la tête, et tous leurs objets de valeur avaient disparu. Une version confirmée par l’épouse qui, comme par miracle, a survécu ! Seulement, les policiers ont des doutes. Car malgré les apparences, tout n’était pas rose au sein du couple : le mari, chef d’entreprise, était tombé sous le charme de sa jeune secrétaire. Mais pourquoi Philippe Goncalves aurait-il mis au point un plan diabolique pour éliminer son épouse et maquiller le meurtre en agression ?
À la veille d’une étape judiciaire décisive dans l’affaire Dany Leprince, W9 propose le documentaire-événement où l’homme que la presse a surnommé le « boucher de la Sarthe » raconte comment il aurait été accusé à tort d’un quadruple meurtre. Sa version des faits, l’acharnement des journalistes, les éléments du dossier qui pèsent sur lui, et même ses doutes quant à l’identité du véritable meurtrier : il s’exprime sans tabou sur l’un des dossiers criminels les plus médiatisés de ces 30 dernières années. Thorigné-sur-Dué (Sarthe), le 5 septembre 1994. Christian Leprince, sa femme Brigitte et deux de leurs filles sont retrouvés à leur domicile, massacrés à l’arme blanche. Seule la benjamine de la famille, Solène, âgée de deux ans et demi, a été épargnée. Très vite, Dany, le propre frère et voisin de Christian, fait office de suspect idéal. À la suite de la découverte d’une reconnaissance de dette signée de sa main (10 000 francs, l’équivalent de 2300 euros à l’époque), les gendarmes l’imaginent tuant son frère cadet dont il jalousait la réussite professionnelle et financière. Pour Dany Leprince, c’est le début de la descente aux enfers, d’autant qu’il est aussi mis en cause par sa fille Célia, son épouse Martine ainsi que Solène, la petite rescapée. Placé en garde à vue quelques jours après le drame, Dany Leprince passe aux aveux. Des aveux qu’il estime aujourd’hui avoir été extorqués et sur lesquels il reviendra une semaine plus tard, sans que personne ne l’écoute. En décembre 1997, il est condamné à la prison à perpétuité assortie d’une période de sûreté de 22 ans. Une décision de justice aujourd’hui, près de 30 ans après, sous le coup d’une demande de révision… Alors, Dany Leprince aurait-il vraiment été condamné sans réelles preuves matérielles et scientifiques, comme il le prétend ? Et s’il était la victime d’une des plus grandes erreurs judiciaires que la France ait connue ? Accompagné des meilleurs spécialistes de l’affaire, il revient lui-même sur les étapes marquantes et les zones d’ombre de ce feuilleton judiciaire aux multiples rebondissements. Saura-t-il vous convaincre de son innocence ?
Notre-Dame de Fontgombault, une abbaye traditionaliste de l’Indre. Un cadre bien inhabituel pour un interrogatoire de police… Pourtant, le 27 novembre 2020, des enquêteurs y débarquent dans l’espoir de résoudre un mystère qui les hante depuis plus de 10 ans : où est Xavier Dupont de Ligonnès ? Ce père de famille est l’homme le plus recherché de France. Il est suspecté d’avoir méthodiquement assassiné à Nantes en avril 2011 son épouse Agnès et leurs quatre enfants Arthur, Thomas, Anne et Benoît, avant de disparaître. Depuis sa dernière trace de vie, captée à l’autre bout de la France par la caméra de vidéosurveillance d’un hôtel du Var, les rumeurs les plus folles circulent à son sujet. A-t-il mis fin à ses jours ? Est-il toujours en vie ? Dans ce cas… où se cache-t-il ? Depuis qu’il s’est évanoui dans la nature, les enquêteurs ont reçu près de 1 800 signalements. Dans le lot, un témoin évoque la possible présence de Xavier Dupont de Ligonnès dans un lieu religieux situé entre Poitiers et Châteauroux, Notre-Dame de Fontgombault. C’est au sein de cette communauté monastique qu’est installé depuis 2019 un pensionnaire sulfureux : un certain Jean-Claude Romand. Condamné à la perpétuité en 1996 pour les meurtres de son épouse, de leurs deux enfants et de ses parents, ce faux médecin est désormais en libération conditionnelle. Jean-Claude Romand aurait-il pu aider Xavier Dupont de Ligonnès dans sa fuite ? La piste semble incroyable… Seulement, du mensonge à leur famille, à leur fuite, en passant par la préparation des assassinats, les points communs entre les deux hommes sont nombreux et troublants, à tel point qu’on pourrait imaginer que Xavier Dupont de Ligonnès aurait pu s’inspirer de l’histoire de Jean-Claude Romand, voire le solliciter pour échapper au mandat d’arrêt lancé contre lui. C’est en tout cas ce qui a trotté dans la tête des enquêteurs… À la suite, « Enquêtes criminelles » reviendra sur les soupçons qui pèsent actuellement sur Marie-Thérèse Garcia dans l’enquête sur la mort de Corinne Di Dio, une mère de famille de 37 ans, dont le corps démembré a été retrouvé dans une valise flottant sur la Seine en 1995. À l’époque, les deux femmes se connaissaient bien : elles partageaient la vie de deux frères et elles auraient eu un différend amoureux… Depuis son placement en détention provisoire, la famille de Marie-Thérèse Garcia se déchire. D’un côté, Nancy, la fille cadette est persuadée de la culpabilité de sa mère. Face à elle, Kathy, l’aînée, défend bec et ongles l’honneur de sa mère.
Notre-Dame de Fontgombault, une abbaye traditionaliste de l’Indre. Un cadre bien inhabituel pour un interrogatoire de police… Pourtant, le 27 novembre 2020, des enquêteurs y débarquent dans l’espoir de résoudre un mystère qui les hante depuis plus de 10 ans : où est Xavier Dupont de Ligonnès ? Ce père de famille est l’homme le plus recherché de France. Il est suspecté d’avoir méthodiquement assassiné à Nantes en avril 2011 son épouse Agnès et leurs quatre enfants Arthur, Thomas, Anne et Benoît, avant de disparaître. Depuis sa dernière trace de vie, captée à l’autre bout de la France par la caméra de vidéosurveillance d’un hôtel du Var, les rumeurs les plus folles circulent à son sujet. A-t-il mis fin à ses jours ? Est-il toujours en vie ? Dans ce cas… où se cache-t-il ? Depuis qu’il s’est évanoui dans la nature, les enquêteurs ont reçu près de 1 800 signalements. Dans le lot, un témoin évoque la possible présence de Xavier Dupont de Ligonnès dans un lieu religieux situé entre Poitiers et Châteauroux, Notre-Dame de Fontgombault. C’est au sein de cette communauté monastique qu’est installé depuis 2019 un pensionnaire sulfureux : un certain Jean-Claude Romand. Condamné à la perpétuité en 1996 pour les meurtres de son épouse, de leurs deux enfants et de ses parents, ce faux médecin est désormais en libération conditionnelle. Jean-Claude Romand aurait-il pu aider Xavier Dupont de Ligonnès dans sa fuite ? La piste semble incroyable… Seulement, du mensonge à leur famille, à leur fuite, en passant par la préparation des assassinats, les points communs entre les deux hommes sont nombreux et troublants, à tel point qu’on pourrait imaginer que Xavier Dupont de Ligonnès aurait pu s’inspirer de l’histoire de Jean-Claude Romand, voire le solliciter pour échapper au mandat d’arrêt lancé contre lui. C’est en tout cas ce qui a trotté dans la tête des enquêteurs… À la suite, « Enquêtes criminelles » reviendra sur les soupçons qui pèsent actuellement sur Marie-Thérèse Garcia dans l’enquête sur la mort de Corinne Di Dio, une mère de famille de 37 ans, dont le corps démembré a été retrouvé dans une valise flottant sur la Seine en 1995. À l’époque, les deux femmes se connaissaient bien : elles partageaient la vie de deux frères et elles auraient eu un différend amoureux… Depuis son placement en détention provisoire, la famille de Marie-Thérèse Garcia se déchire. D’un côté, Nancy, la fille cadette est persuadée de la culpabilité de sa mère. Face à elle, Kathy, l’aînée, défend bec et ongles l’honneur de sa mère.
Lorsque Sébastien Megraud disparaît en mai 2013, son ex-compagne Vanessa a tout de suite compris que c’était grave. Jamais ce père de famille n’aurait abandonné ses deux filles, alors âgées de 8 et 10 ans.
La dernière fois que Céline Gaborieau a vu sa mère, elle avait 18 ans. Depuis le 10 juin 1999, Michèle Gaborieau, 56 ans, n’est jamais réapparue, ni elle, ni la citadine de couleur blanche qu’elle conduisait. Mais alors que les policiers imaginent au mieux un départ volontaire, au pire un suicide, Céline est convaincue que sa mère a en réalité été tuée. Au fil des années, avec l’aide d’enquêteurs privés, elle a amassé les témoignages et les indices. Et tout convergerait vers un seul homme : Jean-Michel, l’époux de Michèle et surtout… son propre père ! Dans l’espoir que la justice entende enfin son appel à rouvrir le dossier, Céline a accepté de livrer dans « Enquêtes criminelles » ses terribles soupçons. Mais pourquoi ce libraire a priori sans histoire est-il dans le viseur de sa fille ? D’abord parce qu’il est le dernier à l’avoir vue vivante. Le soir de sa disparition, Michèle Gaborieau a dîné dans le 13e arrondissement de Paris avec son époux Jean-Michel, dont elle était séparée depuis quelques mois. La mère de famille, toujours amoureuse, espérait recoller les morceaux avec ce mari pourtant volage, joueur et porté sur la boisson. Certes, ces défauts ne font pas de Jean-Michel Gaborieau un meurtrier. Mais son attitude alors que sa femme demeurait introuvable a de quoi surprendre : l’homme ne semble pas vraiment inquiet et surtout il va tout de suite lorgner sur la fortune personnelle de Michèle quitte à entrer en conflit avec ses enfants… À la suite, « Enquêtes criminelles » s’intéressera à la mort d’Alexandre Dubrunfaut, 29 ans, retrouvé carbonisé dans les restes d’une voiture incendiée le 7 décembre 2016 non loin de Valenciennes (Nord). Un mois plus tard, son frère David, 32 ans, est interpellé. L’homme a beau nier toute implication, il est pourtant le seul à avoir un mobile convaincant : depuis des mois, sa femme Julie le trompe avec son frère Alexandre ! Une double trahison que la police le soupçonne de ne pas avoir supporté.
La dernière fois que Céline Gaborieau a vu sa mère, elle avait 18 ans. Depuis le 10 juin 1999, Michèle Gaborieau, 56 ans, n’est jamais réapparue, ni elle, ni la citadine de couleur blanche qu’elle conduisait. Mais alors que les policiers imaginent au mieux un départ volontaire, au pire un suicide, Céline est convaincue que sa mère a en réalité été tuée. Au fil des années, avec l’aide d’enquêteurs privés, elle a amassé les témoignages et les indices. Et tout convergerait vers un seul homme : Jean-Michel, l’époux de Michèle et surtout… son propre père ! Dans l’espoir que la justice entende enfin son appel à rouvrir le dossier, Céline a accepté de livrer dans « Enquêtes criminelles » ses terribles soupçons. Mais pourquoi ce libraire a priori sans histoire est-il dans le viseur de sa fille ? D’abord parce qu’il est le dernier à l’avoir vue vivante. Le soir de sa disparition, Michèle Gaborieau a dîné dans le 13e arrondissement de Paris avec son époux Jean-Michel, dont elle était séparée depuis quelques mois. La mère de famille, toujours amoureuse, espérait recoller les morceaux avec ce mari pourtant volage, joueur et porté sur la boisson. Certes, ces défauts ne font pas de Jean-Michel Gaborieau un meurtrier. Mais son attitude alors que sa femme demeurait introuvable a de quoi surprendre : l’homme ne semble pas vraiment inquiet et surtout il va tout de suite lorgner sur la fortune personnelle de Michèle quitte à entrer en conflit avec ses enfants… À la suite, « Enquêtes criminelles » s’intéressera à la mort d’Alexandre Dubrunfaut, 29 ans, retrouvé carbonisé dans les restes d’une voiture incendiée le 7 décembre 2016 non loin de Valenciennes (Nord). Un mois plus tard, son frère David, 32 ans, est interpellé. L’homme a beau nier toute implication, il est pourtant le seul à avoir un mobile convaincant : depuis des mois, sa femme Julie le trompe avec son frère Alexandre ! Une double trahison que la police le soupçonne de ne pas avoir supporté.
Mercredi 16 octobre 2024, à l’occasion des 40 ans de l’affaire Grégory, « Enquêtes criminelles » propose un regard inédit sur ce fait divers qui a marqué l’histoire judiciaire française : le scénario du drame comme on ne l’a jamais raconté. Même si aucune preuve ne permet aujourd’hui encore d’affirmer avec certitude ce qu’il se serait passé le jour où le fils de Jean-Marie et Christine Villemin a été retrouvé flottant pieds et mains liés dans la Vologne, à quelques kilomètres de son domicile de Lépanges (Vosges), nombre d’experts et de protagonistes du dossier ont une intime conviction sur la façon dont l’enfant de 4 ans a trouvé la mort. Un scénario machiavélique que nous allons reconstituer dans ses moindres détails. L’ex-commandant de gendarmerie Étienne Sesmat, le premier directeur d’enquête dépêché sur les lieux, a accepté exceptionnellement d’être le narrateur de ce documentaire.