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Vinted, Backmarket, Easycash : les nouvelles promesses des rois de l’occasion

Magazine qui aborde des thèmes économiques, financiers et sociaux au plan national ou international. © C PRODUCTIONS

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Magazine | Economie | Reportage

Les dernières émissions

  • Vinted, Backmarket, Easycash : les nouvelles promesses des rois de l’occasion
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    Vinted, Backmarket, Easycash : les nouvelles promesses des rois de l’occasion
    1:45:00Il y a une semaine
    Magazine | Economie | ReportageVinted : quand l’occasion rapporte des millions Vêtements, jouets, électroménager : sur Vinted, tout s’achète et tout se vend à des prix imbattables. Avec plus d’un million et demi de visiteurs chaque jour sur son site, le géant de la seconde-main est incontournable pour de nombreuses familles, surtout à l’approche des fêtes pour trouver des cadeaux dernier cri à petit prix. Mais avec 400 000 nouveaux articles mis en vente chaque jour, Vinted est surtout devenu un incroyable business qui peut rapporter gros. Particuliers, professionnels, jeunes loups du e-commerce : qui profite aujourd’hui de l’or qui dort dans vos placards ? Et jusqu’à combien pouvez-vous gagner grâce à cette plateforme ? Entre pièges et bonnes affaires, enquête sur les téléphones reconditionnés Un smartphone sur quatre vendu aujourd’hui est reconditionné ! Alors que les prix des téléphones neufs ont explosé et frôlent les mille euros, le reconditionné permet de s’offrir des smartphones récents, au prix moyen de quatre-cents euros. La promesse : un appareil comme neuf, testé et réparé. Les vendeurs se sont multipliés, et ils affichent toujours plus de garanties pour vous séduire. Mais que valent ces belles promesses ? Ils rachètent vos objets à prix d’or : la révolution du dépôt-vente Acheter d’occasion pour payer moins cher, plus de six Français sur dix l’ont fait l’an passé. Et les amateurs de produits de seconde main ont désormais leurs boutiques spécialisées. Ils s’appellent Easy Cash, Happy Cash ou Cash Converters. Avec des milliers de références en magasin et des prix cassés sur des produits garantis, ils ont bâti de véritables empires de l’occasion avec des ouvertures de magasins qui s'enchaînent à un rythme effréné. Dans un marché qui ne cesse de croître, comment ces enseignes sont-elles devenues les nouveaux temples des bonnes affaires ?
  • Cocorico : à qui profite la marque Made in France ?
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    Cocorico : à qui profite la marque Made in France ?
    1:44:22Il y a 3 semaines
    Magazine | Economie | ReportageAlimentation : comment être sûr de manger 100 % français ? « Fabriqué en France », « Élaboré en France », « Ingrédients de nos régions » : dans les rayons de nos hypermarchés, la promesse de consommer bien de chez nous est partout. Des plats préparés au rayon épicerie en passant par les produits frais, sur les emballages, impossible de louper les drapeaux bleu-blanc-rouge. Il faut dire que le made in France fait vendre : plus de six consommateurs sur dix affirment que l’origine nationale est un critère déterminant pour leurs achats. Mais cet affichage tricolore garantit-il vraiment la provenance de nos produits ? Vous allez découvrir comment certains industriels trichent pour créer la confusion et induire le consommateur en erreur… Une pratique marketing qui a nom : le french-washing. Pire, prêts à tout pour augmenter leurs marges, des grossistes en fruits et légumes maquillent carrément la provenance de produits importés en falsifiant les étiquettes. Une fraude massive qui peut leur rapporter des centaines de milliers d’euros ! Sephora : l'incroyable succès de la beauté à la française Comment un modeste magasin de Limoges (Haute-Vienne), né il y a 55 ans, est-il devenu la référence mondiale incontestée de la beauté ? Sephora, c’est aujourd’hui un concept star qui s’exporte dans le monde entier, en emportant dans ses valises des dizaines de marques françaises qui ont explosé. 3 000 boutiques dans 35 pays, 12 milliards d’euros de chiffre d’affaires : quelles sont les clés d’un tel succès ? En magasin, elles n’ont pas leur pareil pour vous sublimer et faire chauffer le tiroir-caisse. De la « Sephora Academy » aux allées des magasins, vous allez découvrir les techniques surprenantes des conseillères beauté pour vous faire acheter. Un des coups de génie de l’enseigne, c’est l’invention des « bars » en magasin. Maquillage, cheveux, sourcils : il y en a pour tout le monde. Et si vous vous asseyez, les conseillères sont sûres de remplir votre panier ! Pour proposer des petits prix très attractifs, l’enseigne a même inventé sa propre marque, à l’image des marques distributeurs en supermarché. « Sephora Collection », c’est le secret le mieux gardé de l’enseigne et une formidable source de rentabilité : près d’un quart de son chiffre d’affaires. Comment est-elle parvenue à rivaliser avec les plus grands noms du secteur ? Pour beaucoup de jeunes marques françaises de cosmétique, être vendue chez Sephora est un graal. A la clé, jackpot assuré. Alors qui seront les prochains heureux élus ? Du « Made in France » à prix cassé : impossible n’est pas français ! Une brosse à dent « Made in Picardie » à moins d’1 euro, le Slip Français qui casse ses prix et des produits d’entretiens normands ultra-compétitifs et écolo : chez les industriels stars du Made in France, c’est opération branle-bas-de-combat. S’ils veulent sauver leur peau, les entrepreneurs qui ont fait le pari de produire chez nous doivent désormais gagner la bataille du prix ! Pendant plusieurs mois, nous avons suivi Le Slip Français, mais aussi le géant français de la brosse à dent et une nouvelle entreprise de produits ménagers dans leur combat pour produire en France mais moins cher. Quelles méthodes originales vont-ils déployer ? Changement de modèle, nouvelle usine et systèmes de financement originaux : relèveront-ils le pari du Made in France à prix accessible ?
  • IKEA : le géant suédois est-il toujours le champion de votre maison ?
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    IKEA : le géant suédois est-il toujours le champion de votre maison ?
    1:37:17Il y a un mois
    Magazine | Economie | ReportageQui ne possède pas au moins un meuble IKEA ? Le géant suédois a bouleversé nos habitudes et colonisé tous nos intérieurs. Les étagères Billy, les cubes Kallax ou leurs fameux range-chaussures sont des best-sellers qui s’écoulent chacun a plus d’un million d’exemplaires par an ! En France, leurs trente-six magasins affichent des performances impressionnantes : quatre milliards d’euros de chiffre d’affaires annuel, de quoi faire pâlir tous les concurrents. Quelles sont leurs stratégies pour s’imposer dans toutes les maisons ? Nous avons enquêté sur leurs méthodes commerciales redoutables, à commencer par leurs magasins. Une succession de coups de génie avec un parcours client ultra-étudié, ponctué de grands sacs cabas qui ne demandent qu’à être remplis jusqu’au fameux restaurant à prix plancher, tout est fait pour retenir les clients et les convaincre d’ouvrir leur portefeuille. En Suède, nous avons eu accès au cœur de la machine IKEA, là où les designers cherchent à anticiper nos besoins et nos envies. Quelles sont les nouveautés qui vont bientôt débarquer ? Et comment inventent-ils les produits qui séduiront le monde entier, à petit prix ? Leur défi du moment : trouver enfin un moyen de faciliter le montage des meubles. Moins de vis, de nouvelles notices, la promesse d’un montage plus rapide et sans crise de nerf est-elle tenue ? En Alsace, l’un des sous-traitants d’IKEA nous a ouvert les portes de son usine. Chaque jour, plus de 9 000 armoires Pax sortent des lignes de fabrication. Une production ultra-optimisée où chaque centime est traqué. Mais alors qu’IKEA a construit son succès sur les prix bas, son meilleur argument est mis à mal par des hausses de tarifs sans précédent depuis quatre ans. Et ses concurrents français s’engouffrent dans la brèche. BUT et Leroy Merlin passent à l’attaque. Et à chacun sa stratégie. BUT se positionne sur la literie, un de ses points forts avec une armée de vendeurs en magasin prêts à faire l’article. Leroy Merlin innove dans le domaine du rangement, avec des dressings à bas prix. Pour redorer son image, IKEA a annoncé une grande baisse de prix, en investissant 200 millions d’euros. Mais sur quels produits ? Et la promesse est-elle tenue ?
  • Débrouille, combines et fortune : révélations sur l’argent des gens du voyage
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    Débrouille, combines et fortune : révélations sur l’argent des gens du voyage
    1:34:42Il y a 2 mois
    Magazine | Economie | ReportageC’est une communauté secrète qui fascine autant qu’elle dérange. Surtout quand on parle d’argent. Ils sont Gitans, Tsiganes ou Manouches et sont près de 300 000 hommes et femmes qui font partie de la grande famille des gens du voyage. Qu’ils soient forains, ferrailleurs ou auto-entrepreneurs, tous ont une façon intrigante de gagner leur vie et une manière bien à eux de dépenser leur argent. Une économie fondée sur l’itinérance, avec ses propres codes et ses galères. Certains brassent des fortunes, mais la plupart navigue entre débrouille et combines pour boucler leurs fins de mois. Exceptionnellement, la communauté des gens du voyage a ouvert ses portes aux équipes de Capital. Enquête sur les secrets de leur économie. À 49 ans, Joseph, ancien haltérophile et fan de Harley-Davidson est un pilier de la communauté, un homme qui fait sa fortune dans le business des métaux. Il achète et revend tous les jours des centaines de kilos de laiton, de cuivre et d’acier. Impossible de l’arnaquer, il détecte la qualité et la valeur des métaux en un coup d’œil. Etonnamment, malgré des revenus très confortables, il mène toujours une vie simple dans un mobil-home entouré de son clan. Ses seules folies : une passion pour les flacons de parfum XXL et surtout, les fêtes familiales. Pour l’anniversaire de sa fille de neuf ans, il prépare une soirée grandiose. Rien n’est jamais trop beau pour épater les membres du clan. Fêtes extravagantes, repas gargantuesques où l’alcool coule à flot : les gens du voyage dépensent sans compter et font appel à des entrepreneurs qui ne font pas partie de la communauté. Traiteurs, pâtissiers ou encore vendeurs de caravanes : tous ont appris les codes pour faire du business avec les gens du voyage. Première règle : ne pas négocier ! À Gruissan (Pyrénées-Orientales), Éric et Jérôme Lanaret sont les propriétaires du parc d’attraction « Pirat’Parc » : quarante manèges qui leur rapportent gros. Systèmes de jetons, attractions à sensations et jeu de hasard, ils savent vous divertir mais aussi vous faire dépenser beaucoup d’argent et avec le sourire ! Quel est le secret du business des fêtes foraines ? Révélations sur les jeux de hasard les plus rentables. Mais au sein de cette immense communauté, de nombreuses familles peinent à joindre les deux bouts. La plupart des Gitans sont auto-entrepreneurs, des travailleurs « couteaux-suisses » qui exercent des métiers dont personne ne veut. « DonBran », alias Brandon, 32 ans, enchaîne les petits boulots de récupération de déchets. Et dans ce métier, il doit sans cesse ruser pour s’imposer et se faire payer ! Kevin, dit « Don Niglo » est un pro des petits travaux à domicile, il se déplace dans toute la France. Mais gagner sa vie n’est pas simple. Il faut se faire accepter et aussi rentabiliser son activité. Comment fidéliser une clientèle, établir le meilleur circuit ? L’itinérance est un vrai savoir-faire. Carburant, tarifs des aires d’accueil, coût de l’électricité : s’il veut gagner sa vie, il doit tout étudier précisément. La tâche se complique quand il fait face à des municipalités qui ont déclaré la guerre aux gens du voyage. C’est le cas de Saint-Molf (Loire-Atlantique), où le terrain de football a été envahi par des dizaines de famille la veille de la fête du village. Le maire va tout tenter pour les déloger.
  • Guerre des prix : révélation sur la face cachée des étiquettes
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    Guerre des prix : révélation sur la face cachée des étiquettes
    1:45:27Il y a 2 mois
    Magazine | Economie | ReportageSupermarchés : enquête sur la grande injustice des écarts de prix En matière de prix, nous ne sommes pas tous logés à la même enseigne. Loin de là ! Saviez-vous que vos courses seront beaucoup plus chères si vous habitez à Dijon (Côte d’Or) plutôt qu’à Saint-Jean-de-Monts (Vendée) ? Pour un même panier, la différence de prix peut atteindre 25 %, soit 1 300 euros de dépenses supplémentaires par an avec un panier hebdomadaire de 100 euros. Mais qu’est-ce qui justifie de telles différences de prix ? Nous avons mené l’enquête et remonté toutes les pistes : enseignes de la grande distribution, directeurs de magasins, fabricants ou transporteurs… Qui sont les responsables de ces inégalités territoriales du pouvoir d’achat ? Comment les prix des produits que nous achetons au quotidien sont-ils fixés ? Vous découvrirez que c’est loin d’être le fruit du hasard : nous sommes tous observés de près ! Industriels et commerçants scrutent et analysent nos revenus, nos situations professionnelles et même familiales pour nous faire payer parfois plus… parfois moins ! Mais alors, comment tirer profit de cette valse des étiquettes ? Rassurez-vous, nul besoin de déménager, Capital vous dévoilera les bonnes astuces à connaitre pour déjouer les pièges de ces écarts de prix. Marques distributeurs : les secrets des nouvelles stars des rayons Ce sont les grands gagnants de la bataille du pouvoir d’achat. Et dans les hypermarchés plus aucun rayon n’y échappe : les produits de marques distributeurs (MDD) se font de plus en plus de place. Pâtes, viande, conserves, plus d’un article sur trois est désormais vendu sous le pavillon des enseignes de distributions. Aujourd’hui, toutes les chaînes d’hypermarchés possèdent leur gamme : Pâturages, Monique Ranou ou Chabrior chez Intermarché, Marque repère chez Leclerc ou encore Reflets de France chez Carrefour. Et elles ont toujours plus d’appétit : Carrefour ambitionne de faire passer ses MDD de 33 % à 40 % des ventes en 2026 ; Auchan veut monter à 50 % ! Quant aux discounters Lidl et Aldi, c’est même sur ce modèle que s’est bâti leur succès : 80 % des produits vendus dans leurs rayons sont des MDD ! Il faut dire qu’avec ces prix attractifs, environs 30 % moins chers que les grandes marques, les MDD ont de quoi séduire des clients au pouvoir d’achat sous pression. Mais comment sont-ils conçus ? S’agit-il de création ou de simple copie de produits de grandes marques ? Et qui les fabrique ? Des petits producteurs, aux géants de l’agro-alimentaire, en passant par les distributeurs, Capital a enquêté sur l’incroyable succès de ces produits qui boostent votre pouvoir d’achat. Formats XXL, achats groupés : faut-il craquer pour les gros lots ? Céréales format XXL, lots de paquets de chips « 4 + 1 gratuit », ou promo jambon à -68 % sur la 2e barquette… Dans les rayons, vous avez sans doute repéré ces offres de maxi formats ou d’achat en gros qui se multiplient ces derniers temps. Avec une même promesse : vous faire payer moins cher les produits au kilo ! Depuis la vague d’inflation qui a déferlé sur les Français, cette arme anti-inflation bien connue a été remise au goût du jour par les fabricants et les grandes surfaces. Des distributeurs étrangers en ont même fait leur spécialité comme les magasins-entrepôts de Costco, ou d’Atacadao que le groupe Carrefour vient de lancer en France. Quelles bonnes affaires peut-on trouver dans tous ces réseaux… mais aussi à quels pièges faut-il veiller ? Autre piste d’économies : les achats groupés via des associations ou des coopératives de producteurs. Est-ce un meilleur moyen de concilier qualité et petits prix ? Parmi toutes ces méthodes d’achat en gros, lesquelles s’avèrent gagnantes ? Acheter en grande quantité quitte à stocker des réserves peut-il devenir votre nouvelle façon de faire les courses ?
  • Danone, AirFryer, Seb : bataille de nouveautés dans nos cuisines !
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    Danone, AirFryer, Seb : bataille de nouveautés dans nos cuisines !
    1:34:32Il y a 2 mois
    Magazine | Economie | ReportageDanone, Yoplait : comment les géants des yaourts innovent à plein pot ! En vingt ans, les linéaires des rayons yaourt ont explosé ! Il n’y a jamais eu autant de choix, ni autant d’innovations : des dizaines de nouvelles références sont lancées chaque année ! Si l’offre explose, c’est bien parce que l’appétit des Français semble insatiable : huit Français sur dix consomment des yaourts chaque jour. De quoi générer des ventes record : près de trois milliards d’euros en 2023, +16 % en un an ! Mais si le prix du traditionnel yaourt nature reste toujours très accessible, les grandes marques, Danone et Yoplait en tête, inventent sans cesse de nouvelles recettes et de nouveaux packagings. Et pour les nouveautés, les prix s’envolent ! Recettes gourmandes, yaourts exotiques devenus familiers comme le Skyr ou formules hyper protéinées avec argument santé, comment les géants innovent-ils pour se faire une place dans votre réfrigérateur et garder une longueur d’avance sur les versions MDD des hypermarchés ? Les promesses alléchantes valent-elles leur coût , Quelles nouveautés allez-vous découvrir prochainement dans vos supermarchés ? Nouveaux goûts, nouvelles marques : le grand business de la patate Dire qu’il y a encore trente ans, on la voyait encore comme le plat du pauvre… un produit de base un peu fade. Aujourd’hui, c’est tout le contraire ! La bonne vieille patate est devenue tendance et le rayon déborde de variétés. Les filets premier prix à 1 euro le kilo ont été relégués au ras du sol, chassés par les pommes de terre de marques ! Comment s’y retrouver ? Et comment expliquer que les prix varient de 1 à 8 euros le kilo ? Pour booster les ventes, la filière avait déjà inventé les fameux filets « spécial raclette », « vapeur » ou « sautées ». Mais depuis peu, les stars ce sont les marques. Vous avez peut-être déjà craqué pour la Princesse Amandine, l’Oziris ou la Pompadour. Nous avons enquêté sur ces nouvelles variétés de pommes de terre sous licence. Pour les produire, les agriculteurs doivent payer des royalties. Vendues en moyenne deux fois plus chères, sont-elles de meilleure qualité ? Dernière invention en date : le sachet micro-ondable. Des petites pommes de terre calibrées, lavées, prêtes à consommer : comment sont-elles sélectionnées ? Des champs aux usines de conditionnement jusqu’à votre assiette, nous avons enquêté sur la filière de la pomme de terre qui cherche à vendre ses bonnes vieilles patates toujours plus chères ! Qui gagnera la bataille de l'AirFryer ? C’est le dernier appareil électroménager à la mode et il est en train de coloniser toutes nos cuisines. L’année dernière, les ventes d’AirFryer ont été multipliées par trois. Sa promesse : moins de calories et de grosses économies. Ce nouveau robot compact frit et dore presque tous les aliments sans matière grasse et en consommant beaucoup moins d’électricité qu’un four traditionnel. Aujourd’hui tous les fabricants s’y sont mis et côté prix c’est le grand écart : de 40 à 230 euros. Que cachent ces différences ? Et comment font les géants Philips, Seb et Ninja pour se différencier des concurrents comme Tristar, le roi des petits prix ? Derrière le succès fulgurant de cet appareil se cache une incroyable bataille industrielle. Capital a retrouvé son duo d'inventeurs, aux Pays-Bas. Grâce à leur persévérance et leur culot, ils ont vendu le brevet à Philips qui en a fait un best-seller. Son Airfryer a depuis été massivement imité par la concurrence. La nouvelle star des cuisines tient-elle toutes ses promesses ? Révélation sur un business ultra-croustillant.

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