Zone Interdite est depuis trente ans le magazine qui documente et décrypte les bouleversements de la société française. Réalisées sur la durée, les enquêtes diffusées dans l’émission révèlent les tabous, les passions et les combats des Français au cœur de l’actualité.
C’est un lieu mythique, symbole du savoir-faire industriel français et du mythe des paquebots de croisières.
Accéder à la propriété, c'est le rêve de tous les Français. Posséder sa maison, dans laquelle on se sent en sécurité, apaisé en famille, est devenu encore plus important en cette période de confinement sanitaire. Pendant un an, nous avons suivi quatre familles qui se sont lancées dans l'aventure de leur vie : construire leur maison. Pour tous, le rêve sera riche en rebondissements et rien ne viendra à bout de leur détermination… pas même l'épidémie. Il y a trois ans, Fréderic et Corinne ont acheté la maison dont ils rêvaient depuis longtemps, pour y voir grandir leurs trois enfants. Pour 150 000 euros, ils sont devenus propriétaires d'un mas de 135 m², près de Béziers (Hérault) avec six hectares de terrain pour que Corinne lance sa petite exploitation agricole bio. Une occasion inespérée pour un budget raisonnable. Mais très vite, le couple découvre de multiples malfaçons : des murs sans fondations, une charpente fragilisée, des infiltrations d'eau. Ils vont devoir tout rénover avec 60 000 euros, le reste de leurs économies. Le couple a prévu de tout réaliser en deux mois seulement. Un défi qu'ils vont avoir bien du mal à réaliser entre retards de chantier, aléas climatiques et…Covid-19. Louis et Cécile vivent près de Lyon (Rhône) dans une belle maison de plain-pied avec leurs deux enfants de 11 et 14 ans. Achetée il y a cinq ans, la maison ne répond plus à leurs besoins d'aujourd'hui. Alors ils ont opté pour la surélévation, une technique spectaculaire et très en vogue. Elle permet de gagner un étage grâce à un procédé unique. Pour 90 000 euros, la famille va agrandir sa maison de 60 m². Mais ce n'est pas tout, Louis et Cécile ont décidé de réaménager, eux-mêmes, tout leur rez-de-chaussée. Entre le télétravail, les enfants à gérer et le chantier colossal, la famille va devoir se serrer les coudes. Et ce qu'ils n'avaient pas prévu évidemment, c'est le confinement qui va compliquer la fin de leurs travaux. Mickael et Aurélien sont en couple depuis deux ans et se sont lancés dans l'aventure de leur vie : faire construire leur maison. Avec un budget total de 280 000 euros, ils disposent d'un terrain de 3 400 m². Le couple fait construire en Normandie, après avoir quitté la capitale pour offrir un meilleur cadre de vie au fils de 8 ans de Mickaël. En attendant, ils vivent à trois dans un petit appartement de 50 m². Leur quotidien devenant de plus en plus difficile, et même si la pandémie va retarder la fin du chantier, les deux hommes feront tout pour emménager le plus rapidement possible dans leur nouveau nid. Il y a trois ans, Sophie et Pascal, 50 ans, pensaient accéder à leur rêve : construire leur maison à la Seyne-sur-Mer près de Toulon, dans le Var, sur un terrain de 1 500 m² avec vue sur la mer... un petit paradis sur terre. Mais une erreur de l'architecte bloque complètement le chantier pendant plus d'un an. Aujourd'hui, le couple doit détruire sa maison pour la reconstruire dans les règles. Sans logement, ils sont obligés de vivre avec leurs enfants dans un logement prêté par la famille en attendant d'emménager dans leur nouvelle maison. Mais avec l'arrivée du Covid-19, Sophie enchaîne les gardes de nuit en tant qu'infirmière et, sur le chantier, les ouvriers sont à l'arrêt… Parviendront-ils à voir le bout du tunnel ?
Après deux ans d’absence, c’est le retour du plus grand salon de France : la très populaire Foire de Paris. 1 250 exposants investissent les 200 000 m² du parc des expositions de la porte de Versailles.
C’est un projet fou sorti de terre au cœur de la Provence, entre le Luberon, la Camargue et les Alpilles. Vianney d’Alençon, jeune entrepreneur de 35 ans n’a peur de rien !
Grâce à ses multiples sites à couper le souffle, la France est de loin la première destination touristique mondiale. 75 millions de visiteurs en 2023. Problème, pendant les vacances, le pays est envahi et certaines régions saturent. Villages pris d’assaut, nuisances sonores et sites naturels saccagés… parfois les locaux vivent un enfer. Et chaque été ils se battent pour défendre leur territoire. À Argelès-sur-Mer (Pyrénées-Orientales), une station balnéaire au sud de Perpignan, c’est le bruit qui fait craquer les habitants. Tous les étés, 700 000 vacanciers débarquent pour profiter du bord de mer mais aussi des dizaines de bars ouverts toute la nuit. Les riverains sont à bout de nerfs, impossible de dormir. Pire, trente kilomètres plus au nord, au Barcarès, c’est carrément un festival de musique techno et ses 100 000 festivaliers qui leur font vivre un cauchemar pendant trois jours et trois nuits. Et toutes les régions sont concernées par la déferlante du tourisme de masse. Même les coins les plus reculés sont touchés. Chaque été, les Gorges de l’Ardèche voient défiler deux millions de visiteurs, six fois la population du département ! La rivière se transforme en gigantesque autoroute pour kayakistes. Pollution, incivilités, camping sauvage… les gendarmes sont sur tous les fronts pour tenter de ramener le calme. Quand le tourisme échappe à tout contrôle, les conséquences peuvent aller encore plus loin. Sur le littoral certains habitants sont chassés de chez eux ! Poussés vers la sortie par la pression immobilière. Dans le sud-ouest de la France, les prix à l’achat ont augmenté de 40 % en quelques années. Conséquence : les petits salaires ne peuvent plus se loger. Notre enquête révèle aussi comment certains propriétaires peu scrupuleux se débarrassent de leurs locataires pendant les mois d’été pour louer leur bien quatre fois plus cher aux vacanciers. Alors pour essayer de limiter ce surtourisme, des municipalités prennent des mesures radicales. Dans les Côtes d’Armor, sur la minuscule île de Bréhat où 6 000 vacanciers débarquent tous les jours, le maire a instauré un quota : il limite la fréquentation à 400 personnes par jour pendant l’été. Une mesure qui crée la polémique sur l’île.
Décider soi-même de son salaire, ne plus rendre de comptes à un patron, travailler tout en parcourant le monde ou encore profiter chaque semaine d’un week-end de trois jours… Qui n’en a jamais rêvé ? Eux en ont fait une réalité. Durant plusieurs mois, nous sommes partis à la rencontre de Français qui ont trouvé la solution pour vivre mieux en travaillant moins, ou bien tout autrement. Alors que le travail est au cœur de leurs préoccupations, comment s’y prennent-ils pour trouver un meilleur équilibre entre vie professionnelle et vie de famille ? Quelles sont ces entreprises qui cassent tous les codes en donnant parfois une autonomie totale à leurs salariés ? Leur quotidien ne manquera pas de vous inspirer ! C’est la dernière révolution en date dans le monde du travail : la semaine de quatre jours. À quelques kilomètres de Grenoble, Ophélie est directrice de production dans une PME du secteur industriel qui a décidé d’expérimenter ce dispositif. Cadres et ouvriers peuvent désormais profiter d’un week-end de 3 jours sans perdre un euro de salaire. Mais en contrepartie, ils doivent travailler une heure de plus par jour pour réussir à condenser toutes leurs tâches de la semaine en quatre jours au lieu de cinq. Ophélie et ses équipes vont devoir s’adapter à ce nouveau rythme sans faire chuter leur productivité, sous peine de devoir revenir à la semaine de cinq jours ! Cumuler deux emplois par plaisir, ils seraient quatre millions en France à avoir fait ce choix. Près d’Aix-en-Provence (Bouches-du-Rhône), Sandra a beau adorer son métier de peintre en bâtiment, à 43 ans elle avait besoin d’un nouveau défi. Alors elle a décidé d’épouser en parallèle une seconde carrière comme agent immobilier. Elle partage aujourd’hui ses journées entre le bleu de travail et les pinceaux et les estimations de biens. Mais comment concilier quotidiennement ces deux activités très intenses tout en remplissant son rôle de jeune maman ? Adieu la routine ! Dans le Finistère, Julie et Mickael ont tout plaqué pour travailler à bord de leur camping-car tout en parcourant l’Europe avec leurs deux enfants. Ancienne agent immobilier, Julie va gérer à distance les réseaux sociaux de différentes entreprises, tandis que Mickael, qui tenait des chambres d’hôtes, va tenter de décrocher un maximum de contrats comme développeur de sites internet. Leur voyage va leur réserver des découvertes inoubliables. Mais pour gagner les 2 500 euros mensuels dont ils ont besoin pour vivre, ils vont devoir s’organiser sur la route tout en faisant chaque jour, eux-mêmes, l’école aux enfants. Il y a des entreprises qui feraient rêver n’importe quel salarié, où l’on peut décider seul du nombre de jours pour ses congés et même du montant de ses augmentations ! C’est ainsi dans l’entreprise de Clément, à Paris. L’an dernier, cet architecte de 31 ans a choisi de prendre 9 semaines de vacances et s’est octroyé une augmentation de salaire de plus de 3 000 euros par an… sans avoir à demander l’aval de son patron ! La direction de la société laisse ainsi sa trentaine de salariés organiser elle-même son temps de travail et son évolution de carrière. Mais avec la tentation des vacances à volonté, est-ce toujours si simple de mener ses chantiers à bien ?
Arrondir ses fins de mois. Augmenter son pouvoir d’achat. Qui n’en rêve pas ? Alors qu’un Français sur cinq affirme être à découvert quasiment tous les mois, certains sont passés maîtres dans l’art d’améliorer le quotidien grâce à la débrouille. Faire baisser la facture au supermarché, réaliser des travaux à moindre coût ou encore s’offrir des vacances quasiment gratuites… Durant plusieurs mois, nous avons partagé le quotidien de Français qui font preuve d’une imagination sans limite pour lutter contre les fins de mois difficiles. En cumulant les bons plans, ils parviennent à faire des économies et même à s’offrir de jolis compléments de revenus ! Leurs solutions ne manqueront pas de vous inspirer. Près de Strasbourg (Bas-Rhin), Faïza est la reine du troc ! Confrontée à des fins de mois difficiles, cette maman solo de 46 ans s’est lancée dans cette pratique ancestrale à laquelle reviennent de plus en plus de Français. Aujourd’hui, Faïza ne se contente plus de troquer des objets du quotidien. Elle s’est également lancée dans l’échange de services qui lui permet de remplir son frigo et même de se faire plaisir en s’offrant des sorties au restaurant et des vacances. Mais réussira-t-elle à convertir ses deux enfants, encore très réticents à son nouveau mode de vie ? À Perpignan (Pyrénées-Orientales), une fois déduites toutes ses charges, Dominique n’a que 150 euros pour vivre tous les mois. Mais cette énergique retraitée n’est pas du genre à se laisser abattre et elle multiplie les idées pour trouver des compléments de revenus. Avec ses petits boulots tous plus étonnants les uns que les autres, elle gagne ainsi 1 000 euros tous les mois. Et elle pense avoir peut-être trouvé la solution pour devenir riche ! Mais les promesses de la formation à laquelle elle s’est inscrite sur internet ne sont-elles pas un peu trop belles pour être honnêtes ? À 23 ans, Yohanie et Quentin gagnent tous les deux le SMIC. Contraints de vivre encore chez leurs parents, ils rêvent d’un logement rien qu’à eux. Alors le jeune couple, qui vit près de Poitiers (Vienne), a acheté une maison à petit prix. Mais il faut maintenant entièrement la retaper ! Pour financer leurs travaux, ils comptent sur une application qui leur permet de trouver chaque mois des compléments de revenus. Mais également sur l’entraide grâce à laquelle Yohanie et Quentin pourraient réaliser de sacrées économies ! Face aux difficultés d’accès au logement, de plus en plus de Français ont recours à une solution qu’on pensait réservée aux étudiants : la colocation ! Myriam et sa fille de 3 ans doivent emménager à Paris, la ville de France où les loyers sont les plus élevés. Pour faire des économies, la psychologue de 28 ans va partager un appartement de trois pièces avec Marie, une hôtesse de l’air de 52 ans, et sa fille. Les deux femmes, qui ne se connaissaient pas il y a quelques semaines, se sont rencontrées sur internet. Mais réussiront-elles au quotidien à concilier leurs modes de vie très différents ?
Zone Interdite est depuis trente ans le magazine qui documente et décrypte les bouleversements de la société française. Réalisées sur la durée, les enquêtes diffusées dans l’émission révèlent les tabous, les passions et les combats des Français au cœur de l’actualité.
Zone Interdite est depuis trente ans le magazine qui documente et décrypte les bouleversements de la société française. Réalisées sur la durée, les enquêtes diffusées dans l’émission révèlent les tabous, les passions et les combats des Français au cœur de l’actualité.
Rungis (Val-de-Marne), le plus grand marché de produits frais au monde, est en train de vivre sa révolution. Cette institution, créée en 1969, doit aujourd’hui s’adapter aux nouveaux modes de consommation des Français.
Recréer une jungle équatoriale sous un gigantesque dôme de verre, c'est le nouveau défi du ZooParc de Beauval (Loir-et-Cher), le plus fréquenté en France. Après avoir fait sensation avec sa famille de pandas, Rodolphe Delord, le patron du ZooParc de Beauval, espère frapper fort cette année grâce à cette incroyable cathédrale de verre bioclimatique de 10 000m² peuplée d'animaux tropicaux et qui a coûté plus de 40 millions d'euros. Les équipes de Zone Interdite ont suivi ce chantier pharaonique qui a duré deux ans et demi, une prouesse technologique inédite en France. La serre est constituée de plaques de verre de 70 m², la taille d'un appartement, qu'il faut soulever à 40 mètres au-dessus du sol. Toute la structure est soutenue par d'immenses arches qu'il faut emboiter au millimètre. Livrer ce chantier dans les temps va se révéler un défi colossal. Peupler ce dôme XXL est une autre aventure ! En tout plus de 24 000 poissons, 200 oiseaux, 600 invertébrés, 150 reptiles vont emménager dans la serre. Parmi eux, les lamantins, des mammifères herbivores de trois mètres de long et de plus d'une tonne, et les arapaïmas, les plus gros poissons d'eau douce d'Amérique du Sud, qui peuvent atteindre jusqu'à quatre mètres. Pour approvisionner le dôme en espèces incroyables, Rodolphe Delord et ses équipes vont parcourir le monde. À Hong Kong, avec Éric, le responsable des collections animalières du parc, le patron du zoo capture dans une réserve onze tomistomas, des crocodiles aux longs nez pointus. Une mission dangereuse qu'ils sont les seuls de l'équipe à pouvoir accomplir. Pendant les travaux, la vie du zoo continue car Beauval est ouvert toute l'année. Entre la naissance exceptionnelle de Kimia, le premier girafon à voir le jour dans le parc, des opérations rarissimes comme une greffe de bec en résine sur un perroquet cacatoès et l'arrivée d'un couple de diables de Tasmanie, des marsupiaux carnivores plutôt agressifs, le rythme des soigneurs est intense. Enfin, Rodolphe et Manon, l'une des soigneuses du parc, vivront une aventure extraordinaire. Dans le cadre de la lutte contre la disparition des animaux sauvages, ils vont partir au Gabon, avec Kuimba et Mayombe, deux femelles gorilles nées au zoo qu'ils vont remettre en liberté sur leurs terres d'origine.
Chaque année, à l’approche des fêtes, ils mettent des étoiles dans les yeux de millions de Français. Illuminations féériques, sapins monumentaux, gastronomie, artisanat… Depuis une trentaine d’années, les marchés de Noël ont conquis toute la France. Le plus grand et le plus ancien d’entre eux, celui de Strasbourg, a désormais des challengers. L’an dernier, la capitale alsacienne a attiré 3,3 millions de visiteurs durant les fêtes. Un record ! Un succès qui donne des idées à d’autres communes en Alsace, mais également dans le Nord, et même sur les rives de la Méditerranée. Nous vous ferons vivre la féérie de Noël au cœur de ces villes qui, chaque année, investissent des millions d’euros afin de rendre leur marché de Noël incontournable. À 80 kilomètres de Strasbourg (Bas-Rhin), le petit village de Kaysersberg compte un peu plus de 2 800 habitants. Mais en décembre, ce sont 300 000 personnes qui se pressent dans les allées de son marché de Noël. Des tour-opérateurs affrètent même des autobus entiers pour y amener leurs clients ! Pour se démarquer, les organisateurs ont tout misé sur la tradition avec quarante artisans et quinze restaurateurs triés sur le volet. Des biscuits traditionnels alsaciens de Patrick Loewert aux luxueuses boules de Noël confectionnées par Pascal Philibert, un maître-verrier, certains espèrent réaliser en un mois le tiers de leur chiffre d’affaires de l’année ! Arras (Pas-de-Calais) ambitionne de faire de son marché de Noël le plus grand des Hauts-de-France. Pour cela, la ville voit toujours plus grand avec toujours plus de chalets : 140 cette année ! Et pour booster sa fréquentation, elle compte sur Thomas Delforge. Ce Belge de 39 ans représente la huitième génération d’une famille de forains. Il a investi lui-même plus d’un million d’euros dans un spectaculaire sapin de 25 mètres illuminé par 40 000 ampoules, une immense patinoire et un bar éphémère doté d’un rooftop. Arras a ainsi mis la barre haute cette année : battre son record de plus d’un million de visiteurs ! À l’autre bout de la France, dans les Pyrénées-Orientales, Barcarès a bien l’intention de prouver que le Sud a lui aussi une vraie tradition de Noël. Cette station balnéaire d’à peine 6 000 habitants a investi, cette année encore, plus de six millions d’euros pour créer l’un des marchés les plus spectaculaires de France. Illuminations, parc d’attractions géant et même banquise artificielle, la ville ne recule devant rien pour attirer les visiteurs. Mais les commerçants vont devoir faire face, cette année, à un défi inédit. Quelques jours avant l’ouverture, une partie du marché a été ravagée par un incendie. Mickaël Casas, le plus important restaurateur du marché, va devoir faire sans le gigantesque chalet de 400 places assises sur lequel il s’appuyait les années précédentes. Comme les 150 autres exposants du marché, il va devoir rapidement se réinventer. Tous auront six semaines à peine pour faire de cette nouvelle édition un succès.
Zone Interdite est depuis trente ans le magazine qui documente et décrypte les bouleversements de la société française. Réalisées sur la durée, les enquêtes diffusées dans l’émission révèlent les tabous, les passions et les combats des Français au cœur de l’actualité.