Alors que les carnets de commandes sont pleins, l’artisanat n’a jamais eu autant de difficultés à recruter ! Horaires à rallonge, désaffection pour le travail manuel, ces métiers n’intéressent plus les jeunes.
De la Méditerranée à l’Atlantique, en passant par la Manche, en France, les côtes séduisent. Un Français sur deux rêve même de s’y installer pour y vivre. L’engouement pour le littoral est tel qu’il déclenche, partout dans le pays, des batailles entre ceux qui veulent se l’accaparer et ceux qui souhaitent le préserver. Entre les deux camps, la guerre est déclarée. À l’origine de la discorde : la loi littoral de 1986, censée protéger les espaces naturels. Une loi face à laquelle tout le monde n’est pas logé à la même enseigne… À la Grande-Motte (Hérault), c’est la survie d’une paillote mythique qui est menacée. Située sur un espace que l’on appelle « remarquable », La Voile bleue, établissement emblématique de la ville depuis près de trente ans, est en sursis. Le tribunal administratif de Toulouse (Haute-Garonne) veut empêcher son propriétaire d’ouvrir cet été. Avec un chiffre d’affaires de plus de trois millions d’euros par saison, l’enjeu financier est énorme. Le combat s’annonce acharné. Sur une même zone protégée, certains peuvent construire et d’autres pas. En Corse, c’est cet arbitraire de la loi Littoral que subit Julien, le propriétaire d’une bergerie déclarée illégale. Le tribunal lui ordonne de démolir sa maison qu’il a entièrement rénovée sur le terrain familial. Pourtant, à quelques mètres, des permis de construire sont encore délivrés. Le jeune homme crie sa colère. Dans la baie du Mont Saint-Michel (Manche), François est condamné à détruire sa bergerie où il élève des agneaux de prés-salés. Sa localisation est la condition requise pour bénéficier de son AOP. Mais une association écologiste est bien décidée à faire appliquer la loi littoral à la lettre. Le combat dure depuis plus de dix ans. François va-t-il réussir à sauver son exploitation ? Et que faire quand la loi se complique, évolue et lèse les particuliers ? En Charente-Maritime, deux cents familles ont acheté des terrains qui sont aujourd'hui devenus inconstructibles car situés sur une « zone loi littoral ». Résultat, le prix de leur maison s’est effondré. Mais ces habitants n’ont pas dit leur dernier mot et ont déclaré la guerre au maire du village.
Chaque année, plus d’un million de tonnes de matériaux de construction neufs ou en parfait état sont jetés à la benne par le secteur du BTP !
Notre système hospitalier a longtemps eu une réputation d’excellence. Sur tout le territoire, il offre à 68 millions de Français des soins gratuits et de qualité. Mais aujourd’hui, l’hôpital est à bout de souffle.
C’est la ville de France où l’on rencontre le plus de communautés différentes de gens du voyage. A Marseille (Bouches du Rhône), Gitans espagnols, Tziganes ou Manouches ont chacun leur quartier où ils perpétuent des traditions ancestrales. Durant près de six mois, nous avons partagé le quotidien de quatre familles de la Cité Phocéenne. Vie en caravane, débrouille, entraide, liberté, un quotidien hors norme où chaque événement de la vie est l’occasion de fêtes fastueuses. Vous découvrirez l’incroyable solidarité qui règne au sein de ces communautés qui ont accepté de nous révéler certains de leurs secrets ! Leur extravagance les a rendus célèbres. Dans les mariages gitans, rien n’est jamais trop beau pour célébrer la vie et l’amour. Mais celui de Carmen et Tony ne se présente pas forcément sous les meilleurs auspices. Car Carmen n’a que 16 ans et en tombant amoureuse, elle a désobéi à ses parents. Pour éviter un conflit entre les deux familles, les parents du jeune homme ont organisé au pied levé une grande cérémonie. Mais une question brûle toutes les lèvres : les parents de Carmen, qui s’estiment déshonorés, viendront-ils à la fête ? Chez les gens du voyage, les enfants sont rois. Alors même si Tony et Graziella ne roulent pas sur l’or, ils vont tout faire pour offrir à leur fille Ozana une fête d’anniversaire inoubliable avec tous les enfants du quartier ! La famille, d’origine manouche, vit dans le lieu-dit de Ruisseau Mirabeau, dans le 15ème arrondissement de Marseille. Très religieuse, leur communauté appartient aux chrétiens évangéliques. Chaque semaine, tous se réunissent autour d'un prêcheur afin d’expier leurs péchés. L’appel de la liberté était trop fort ! Yuri, sa femme et leurs 3 enfants étaient jusqu’ à présent des Gitans sédentarisés. Mais le jeune homme de 22 ans et sa famille avaient besoin de renouer avec leurs racines. Alors ils ont décidé de quitter le confortable appartement qu’ils occupaient depuis 3 ans pour renouer avec le mode de vie traditionnel de leur communauté. Ils s’apprêtent à emménager dans un mobil-home au sein d’un camp où vivent 150 familles. Un retour aux sources qui va leur révéler quelques surprises ! Si beaucoup de familles gitanes doivent faire face à un quotidien précaire, certaines ont réussi à construire de véritables success-story ! C'est le cas de José et Isabelle et de leurs trois fils. A force de travail, cette famille marseillaise sédentarisée se retrouve aujourd’hui à la tête de plusieurs entreprises florissantes. Un des fils, Juan, s’apprête aujourd’hui à ouvrir un restaurant dans la plus grande zone commerciale d'Europe à une trentaine de kilomètres de la Cité Phocéenne. Toute la famille est soudée autour de cet évènement qu’elle va célébrer comme il se doit !
C’est la ville de France où l’on rencontre le plus de communautés différentes de gens du voyage. A Marseille (Bouches du Rhône), Gitans espagnols, Tziganes ou Manouches ont chacun leur quartier où ils perpétuent des traditions ancestrales. Durant près de six mois, nous avons partagé le quotidien de quatre familles de la Cité Phocéenne. Vie en caravane, débrouille, entraide, liberté, un quotidien hors norme où chaque événement de la vie est l’occasion de fêtes fastueuses. Vous découvrirez l’incroyable solidarité qui règne au sein de ces communautés qui ont accepté de nous révéler certains de leurs secrets ! Leur extravagance les a rendus célèbres. Dans les mariages gitans, rien n’est jamais trop beau pour célébrer la vie et l’amour. Mais celui de Carmen et Tony ne se présente pas forcément sous les meilleurs auspices. Car Carmen n’a que 16 ans et en tombant amoureuse, elle a désobéi à ses parents. Pour éviter un conflit entre les deux familles, les parents du jeune homme ont organisé au pied levé une grande cérémonie. Mais une question brûle toutes les lèvres : les parents de Carmen, qui s’estiment déshonorés, viendront-ils à la fête ? Chez les gens du voyage, les enfants sont rois. Alors même si Tony et Graziella ne roulent pas sur l’or, ils vont tout faire pour offrir à leur fille Ozana une fête d’anniversaire inoubliable avec tous les enfants du quartier ! La famille, d’origine manouche, vit dans le lieu-dit de Ruisseau Mirabeau, dans le 15ème arrondissement de Marseille. Très religieuse, leur communauté appartient aux chrétiens évangéliques. Chaque semaine, tous se réunissent autour d'un prêcheur afin d’expier leurs péchés. L’appel de la liberté était trop fort ! Yuri, sa femme et leurs 3 enfants étaient jusqu’ à présent des Gitans sédentarisés. Mais le jeune homme de 22 ans et sa famille avaient besoin de renouer avec leurs racines. Alors ils ont décidé de quitter le confortable appartement qu’ils occupaient depuis 3 ans pour renouer avec le mode de vie traditionnel de leur communauté. Ils s’apprêtent à emménager dans un mobil-home au sein d’un camp où vivent 150 familles. Un retour aux sources qui va leur révéler quelques surprises ! Si beaucoup de familles gitanes doivent faire face à un quotidien précaire, certaines ont réussi à construire de véritables success-story ! C'est le cas de José et Isabelle et de leurs trois fils. A force de travail, cette famille marseillaise sédentarisée se retrouve aujourd’hui à la tête de plusieurs entreprises florissantes. Un des fils, Juan, s’apprête aujourd’hui à ouvrir un restaurant dans la plus grande zone commerciale d'Europe à une trentaine de kilomètres de la Cité Phocéenne. Toute la famille est soudée autour de cet évènement qu’elle va célébrer comme il se doit !
C’est l’emblème culinaire de la France, un morceau de notre patrimoine qui croustille sous la dent. Les Français ne peuvent pas s’en passer : 95 % en consomment quotidiennement !
C’est la ville de France où l’on rencontre le plus de communautés différentes de gens du voyage. A Marseille (Bouches du Rhône), Gitans espagnols, Tziganes ou Manouches ont chacun leur quartier où ils perpétuent des traditions ancestrales. Durant près de six mois, nous avons partagé le quotidien de quatre familles de la Cité Phocéenne. Vie en caravane, débrouille, entraide, liberté, un quotidien hors norme où chaque événement de la vie est l’occasion de fêtes fastueuses. Vous découvrirez l’incroyable solidarité qui règne au sein de ces communautés qui ont accepté de nous révéler certains de leurs secrets ! Leur extravagance les a rendus célèbres. Dans les mariages gitans, rien n’est jamais trop beau pour célébrer la vie et l’amour. Mais celui de Carmen et Tony ne se présente pas forcément sous les meilleurs auspices. Car Carmen n’a que 16 ans et en tombant amoureuse, elle a désobéi à ses parents. Pour éviter un conflit entre les deux familles, les parents du jeune homme ont organisé au pied levé une grande cérémonie. Mais une question brûle toutes les lèvres : les parents de Carmen, qui s’estiment déshonorés, viendront-ils à la fête ? Chez les gens du voyage, les enfants sont rois. Alors même si Tony et Graziella ne roulent pas sur l’or, ils vont tout faire pour offrir à leur fille Ozana une fête d’anniversaire inoubliable avec tous les enfants du quartier ! La famille, d’origine manouche, vit dans le lieu-dit de Ruisseau Mirabeau, dans le 15ème arrondissement de Marseille. Très religieuse, leur communauté appartient aux chrétiens évangéliques. Chaque semaine, tous se réunissent autour d'un prêcheur afin d’expier leurs péchés. L’appel de la liberté était trop fort ! Yuri, sa femme et leurs 3 enfants étaient jusqu’ à présent des Gitans sédentarisés. Mais le jeune homme de 22 ans et sa famille avaient besoin de renouer avec leurs racines. Alors ils ont décidé de quitter le confortable appartement qu’ils occupaient depuis 3 ans pour renouer avec le mode de vie traditionnel de leur communauté. Ils s’apprêtent à emménager dans un mobil-home au sein d’un camp où vivent 150 familles. Un retour aux sources qui va leur révéler quelques surprises ! Si beaucoup de familles gitanes doivent faire face à un quotidien précaire, certaines ont réussi à construire de véritables success-story ! C'est le cas de José et Isabelle et de leurs trois fils. A force de travail, cette famille marseillaise sédentarisée se retrouve aujourd’hui à la tête de plusieurs entreprises florissantes. Un des fils, Juan, s’apprête aujourd’hui à ouvrir un restaurant dans la plus grande zone commerciale d'Europe à une trentaine de kilomètres de la Cité Phocéenne. Toute la famille est soudée autour de cet évènement qu’elle va célébrer comme il se doit !
C’est une passion bien française : la restauration des trésors oubliés de notre patrimoine.
C’est la ville de France où l’on rencontre le plus de communautés différentes de gens du voyage. A Marseille (Bouches du Rhône), Gitans espagnols, Tziganes ou Manouches ont chacun leur quartier où ils perpétuent des traditions ancestrales. Durant près de six mois, nous avons partagé le quotidien de quatre familles de la Cité Phocéenne. Vie en caravane, débrouille, entraide, liberté, un quotidien hors norme où chaque événement de la vie est l’occasion de fêtes fastueuses. Vous découvrirez l’incroyable solidarité qui règne au sein de ces communautés qui ont accepté de nous révéler certains de leurs secrets ! Leur extravagance les a rendus célèbres. Dans les mariages gitans, rien n’est jamais trop beau pour célébrer la vie et l’amour. Mais celui de Carmen et Tony ne se présente pas forcément sous les meilleurs auspices. Car Carmen n’a que 16 ans et en tombant amoureuse, elle a désobéi à ses parents. Pour éviter un conflit entre les deux familles, les parents du jeune homme ont organisé au pied levé une grande cérémonie. Mais une question brûle toutes les lèvres : les parents de Carmen, qui s’estiment déshonorés, viendront-ils à la fête ? Chez les gens du voyage, les enfants sont rois. Alors même si Tony et Graziella ne roulent pas sur l’or, ils vont tout faire pour offrir à leur fille Ozana une fête d’anniversaire inoubliable avec tous les enfants du quartier ! La famille, d’origine manouche, vit dans le lieu-dit de Ruisseau Mirabeau, dans le 15ème arrondissement de Marseille. Très religieuse, leur communauté appartient aux chrétiens évangéliques. Chaque semaine, tous se réunissent autour d'un prêcheur afin d’expier leurs péchés. L’appel de la liberté était trop fort ! Yuri, sa femme et leurs 3 enfants étaient jusqu’ à présent des Gitans sédentarisés. Mais le jeune homme de 22 ans et sa famille avaient besoin de renouer avec leurs racines. Alors ils ont décidé de quitter le confortable appartement qu’ils occupaient depuis 3 ans pour renouer avec le mode de vie traditionnel de leur communauté. Ils s’apprêtent à emménager dans un mobil-home au sein d’un camp où vivent 150 familles. Un retour aux sources qui va leur révéler quelques surprises ! Si beaucoup de familles gitanes doivent faire face à un quotidien précaire, certaines ont réussi à construire de véritables success-story ! C'est le cas de José et Isabelle et de leurs trois fils. A force de travail, cette famille marseillaise sédentarisée se retrouve aujourd’hui à la tête de plusieurs entreprises florissantes. Un des fils, Juan, s’apprête aujourd’hui à ouvrir un restaurant dans la plus grande zone commerciale d'Europe à une trentaine de kilomètres de la Cité Phocéenne. Toute la famille est soudée autour de cet évènement qu’elle va célébrer comme il se doit !
Rungis (Val-de-Marne), le plus grand marché de produits frais au monde, est en train de vivre sa révolution. Cette institution, créée en 1969, doit aujourd’hui s’adapter aux nouveaux modes de consommation des Français.
La SNCF, c’est 156 millions de passagers transportés chaque année, près de 280 000 salariés, 28 000 km de voies ferrées. Elle affiche des bénéfices depuis trois ans.
Face aux prix qui augmentent et aux fins de mois toujours plus difficiles, de nombreuses familles cherchent des solutions pour s’en sortir. Et s’il fallait passer au système D ?