Le chef Etchebest se rend à Thoissey pour tenter d’aider Alexis qui, après 28 années en tant qu’employé en restauration, a repris un établissement il y a tout juste un an. Au quotidien, il est épaulé par sa serveuse Élodie. Si les débuts étaient plutôt positifs, au fil des mois la situation s’est dégradée et les clients ont déserté l’établissement. Résultat, les huissiers sont devant la porte et les impayés s’accumulent. Une situation d’autant plus difficile que, si le chef a souvent eu de mauvaises surprises dans l’émission, lors de sa venue dans cet établissement, il a été confronté à la totale : problème d’hygiène, grosses lacunes en cuisine, service complètement raté : la situation est catastrophique ! Face à ce triste état des lieux, pour la première fois dans Cauchemar en cuisine, Philippe Etchebest s’est retrouvé complètement démuni… Va-t-il néanmoins réussir à venir en aide à Alexis ?
C’est à Plougonver en Bretagne que Jessica a fait appel au chef Philippe Etchebest pour lui venir en aide : le restaurant où elle travaille avec son patron Vincent rencontre depuis plusieurs mois une grosse baisse de clientèle. Leur situation financière est au plus mal et leur moral aussi. Lors de sa visite, le Chef a rapidement découvert que Jessica manquait cruellement de professionnalisme. Elle oscillait entre bonne humeur… et gaffes à répétition ! Pourtant, malgré les quelques erreurs du cuisinier, pour la première fois dans Cauchemar en cuisine, Philippe Etchebest s’est retrouvé dans une impasse : impossible pour lui d’expliquer, avec ce qu’il a constaté, une telle baisse de clientèle ! Or, selon Jessica, il semble que le Chef n’ait pas tout vu : le caractère explosif de son patron ferait partie intégrante du problème ! Alors comment va réagir Philippe Etchebest quand il va découvrir le pot aux roses ? Ce qui est sûr c’est que la confrontation avec Vincent sera haute en couleurs, et les nerfs du Chef vont être mis à rude épreuve.
C’est à Plougonver en Bretagne que Jessica a fait appel au chef Philippe Etchebest pour lui venir en aide : le restaurant où elle travaille avec son patron Vincent rencontre depuis plusieurs mois une grosse baisse de clientèle. Leur situation financière est au plus mal et leur moral aussi. Lors de sa visite, le Chef a rapidement découvert que Jessica manquait cruellement de professionnalisme. Elle oscillait entre bonne humeur… et gaffes à répétition ! Pourtant, malgré les quelques erreurs du cuisinier, pour la première fois dans Cauchemar en cuisine, Philippe Etchebest s’est retrouvé dans une impasse : impossible pour lui d’expliquer, avec ce qu’il a constaté, une telle baisse de clientèle ! Or, selon Jessica, il semble que le Chef n’ait pas tout vu : le caractère explosif de son patron ferait partie intégrante du problème ! Alors comment va réagir Philippe Etchebest quand il va découvrir le pot aux roses ? Ce qui est sûr c’est que la confrontation avec Vincent sera haute en couleurs, et les nerfs du Chef vont être mis à rude épreuve.
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Cette semaine dans Turbo, Safet Rastoder, Etienne Bruet, Simon Potée-Gallini, et Cyril Drevet vous invitent à leur Cars&Coffee dans le Cotentin, l’occasion pour eux de partager leur passion avec nos téléspectateurs.
Cette semaine dans Turbo, Safet Rastoder, Etienne Bruet, Simon Potée-Gallini, et Cyril Drevet vous invitent à leur Cars&Coffee dans le Cotentin, l’occasion pour eux de partager leur passion avec nos téléspectateurs.
Cette semaine, Dominique Chapatte vous emmène à la 46ème édition du salon Epoqu’Auto, l’évènement devenu incontournable pour les passionnés de véhicules anciens et youngtimers. Également au programme ce dimanche : les essais des nouveaux Grandis de Mitsubishi et Audi Q3. Porsche à la conquête d’un nouveau territoire. Vous découvrirez aussi que parfois, vouloir payer moins cher, peut coûter finalement, beaucoup plus cher… Passion, proximité et partage : bienvenue dans Turbo !
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Familles, pouvoir d’achat, évasion… « Un jour, un doc week-end » propose une grande variété de documentaires et de sujets au cœur des préoccupations des Français. Découvrez le quotidien de ces personnes qui nous livrent leurs histoires.
Familles, pouvoir d’achat, évasion… « Un jour, un doc week-end » propose une grande variété de documentaires et de sujets au cœur des préoccupations des Français. Découvrez le quotidien de ces personnes qui nous livrent leurs histoires.
Familles, pouvoir d’achat, évasion… « Un jour, un doc week-end » propose une grande variété de documentaires et de sujets au cœur des préoccupations des Français. Découvrez le quotidien de ces personnes qui nous livrent leurs histoires.
Familles, pouvoir d’achat, évasion… « Un jour, un doc week-end » propose une grande variété de documentaires et de sujets au cœur des préoccupations des Français. Découvrez le quotidien de ces personnes qui nous livrent leurs histoires.
Permis de conduire : pourquoi coûte-t-il si cher ? C’est censé être un premier pas vers l’autonomie. Mais pour les familles, le permis de conduire vire au cauchemar financier. En moyenne, il coûte 1 300 euros. Entre heures supplémentaires et délais à rallonge, la facture grimpe vite. Résultat : des parents qui paient et qui doivent jouer les chauffeurs. Faute de place à l’examen, les cours s’accumulent et les frais explosent. Certaines familles n’hésitent plus à sortir la carte bleue pour obtenir une date garantie. Comment faire baisser la facture ? Certains ont déjà trouvé la solution. Sardines : bientôt un produit de luxe ? (Cartel Presse) Elles évoquent les vacances, les repas simples, les bons petits plats à prix mini. Avec leurs recettes variées – grillées, à l’huile ou à la tomate – les sardines en boîte sont devenues un incontournable dans les placards des Français. Chaque année, ce sont plus de 16 000 tonnes de conserves qui s’écoulent dans les rayons. Un succès populaire indissociable d’un argument clé : le prix. Mais ce champion du pouvoir d’achat est menacé. Pollution, surpêche, réchauffement climatique, les eaux marocaines, d’où proviennent deux tiers des sardines vendues en France, s’appauvrissent. Résultat : des pénuries en rayons et des prix en forte hausse. Cauchemar au camping : où sont passés les bungalows ? Il avait le bagout, l’accent chantant et le sourire facile. Jean-Noël Medus, promoteur de mobile homes haut de gamme, promettait des vacances de rêve et des revenus locatifs alléchants. À la clé : une résidence secondaire à prix accessible. Un concept séduisant, vendu comme une opportunité en or. Mais derrière le discours rassurant, l’homme est accusé d’avoir monté une véritable machine à escroquer. Mobile homes bas de gamme, campings fictifs, promesses non tenues : tout s’est effondré lorsque les premiers investisseurs ont voulu récupérer leur mise. Aujourd’hui des familles sont ruinées, parfois jusqu’à leur dernier euro. Pendant ce temps, Medus menait grand train, entre villas luxueuses et voitures de collection. Mais l’homme se défend d’avoir commis la moindre faute. Coupable ou innocent, la justice va bientôt trancher. Bonne paye et liberté : et si vous deveniez routiers ? Besoin d’air ? Et si vous deveniez chauffeur routier ! C’est le grand virage professionnel que choisissent de plus en plus de Français en quête de sens, de liberté et de stabilité. Car ce métier, longtemps boudé, coche désormais toutes les cases : il recrute massivement, paie bien – souvent plus de 2 500 euros net par mois – et offre une autonomie rare. Fini les journées enfermées, les réunions sans fin, les chefs sur le dos… Sur la route, le chauffeur est seul maître à bord. Chaque trajet devient une évasion. Des kilomètres avalés, des paysages qui défilent, une playlist choisie, des arrêts au gré des envies, de quoi faire oublier les contraintes du métier.
1 000 exposants, 100 000 visiteurs en quatre jours, le Salon du Made in France 2025 a de nouveau battu des records à Paris. Derrière les stands, une même ambition : prouver qu’on peut encore produire local, vendre à prix juste et séduire les consommateurs. Textile, électroménager, accessoires, alimentation : toutes les filières étaient représentées, portées par des entrepreneurs qui veulent croire à une autre façon de consommer. Des marques en quête de visibilité, des géants venus défendre leur ancrage local, et surtout une foule curieuse de découvrir des produits utiles, beaux, et fabriqués ici. Malgré la hausse des coûts, le Made in France séduit et 75 % des Français se disent prêts à payer un peu plus pour consommer local. Bons plans, innovations, engagements forts : ce salon prouve qu’acheter français peut aussi rimer avec plaisir, qualité et fierté.
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Le journal de M6.
Anne-Sophie Lapix propose une interview exclusive d’une dizaine de minutes avec une personnalité marquante de la semaine. Qu’il s’agisse d’une figure connue ou d’un visage anonyme, les invités viennent de tous horizons : société, culture, sport, politique, international, etc.
Mousses et champignons : de petits organismes dotés de pouvoirs étonnants ! / Forêts : des mondes mystérieux et vivants qui évoluent sans cesse !
Produits locaux, MDD terroir : la tradition, le bon filon des hypermarchés ? Saucisson de l’Aveyron, fromages du Pays basque, yaourt fermier des Alpes : aujourd’hui plus besoin de traverser la France pour dénicher ces bons produits locaux, vos hypermarchés les proposent en rayons. Et ils les fabriquent même sous marque distributeur : « Nos régions ont du talent » chez Leclerc, « Reflets de France » chez Carrefour. Comment produisent-ils à si grande échelle un produit au départ artisanal et régional ? Surtout quand il devient un best-seller, comme la galette bretonne avec 3,6 millions de paquets vendus par an chez Leclerc ! Mais les petits producteurs locaux n’ont pas dit leur dernier mot. Pâtes Grand-mère, eau Carola, café Sati : personne ne connaît ces marques hors d’Alsace. Pourtant elles s’y vendent plus que les marques nationales ! Derrière ce marketing qui fleure bon la tradition, paye-t-on plus cher notre goût pour les saveurs d’antan ? Cocottes, plats et bocaux : les vieux pots ont une nouvelle jeunesse ! Une belle cocotte en fonte ou un plat en verre incassable pour cuire des gratins : les plats de mamie n’ont jamais été aussi tendance ! Pyrex, Le Creuset, Le Parfait : ces entreprises ont beau être centenaire, elles reviennent en force. Plat pour Airfryer, recettes ultra-rapides et nouveaux matériaux : vous allez découvrir leurs nouveautés. Chez Pyrex, à Châteauroux (Indre), le plat à gratin incassable reste le best-seller, présent dans huit foyers sur dix. Mais un petit nouveau connaît une croissance spectaculaire : un mini-plat pour Airfryer ! Dans les Ardennes, chez Invicta, on travaille la fonte depuis plus de cent ans. Mais les cocottes d’hier ne sont plus tout à fait celles d’aujourd’hui. Comment composer avec le prix des matériaux qui explose ? Sur le marché de la cocotte, un challenger vient défier les historiques en appuyant là où ça fait mal. Cookut a inventé la cocotte la plus légère qui soit, un argument qui fait mouche auprès des jeunes. Les ventes ont explosé, le chiffre d’affaires a doublé en deux ans pour atteindre 40 millions d’euros. Fort de leur succès, les créateurs s’apprêtent à dégainer leur prochaine nouveauté. Et elle pourrait bien faire fureur. Bistrots, bouillons, bouchons : le rétro à toutes les sauces Plats régressifs, nappes à carreaux et surtout petit prix, les bouillons cochent toutes les cases du moment. Dans les assiettes, les stars d'aujourd'hui sont celles d'hier : saucisse-purée et œufs-mayo. À Metz (Moselle), David Michel a tout plaqué pour se lancer dans le business des bouillons. Son secret ? Du volume, des marges confortables et des ventes additionnelles. Un système tellement efficace qu’il s’apprête à ouvrir son quatrième restaurant. Mais sur le marché de la cuisine rétro, la concurrence est rude. Charles Perez et Victor Dubillot, deux jeunes entrepreneurs sont en train de révolutionner le marché avec un concept de brasseries ultra-performant. Armés de logiciels dernières générations, les patrons savent tout des habitudes de leurs clients, technique imparable pour les fidéliser. Ils viennent de débarquer dans la capitale de la gastronomie à Lyon (Rhône), où ils commencent à faire de l’ombre aux fameux bouchons. Ces restaurants traditionnels n'ont jamais eu aucun mal à se remplir, portés par un label distribué au compte-goutte. Quenelles et saucissons briochés attirent les locaux et les touristes par milliers, mais la promesse d’une cuisine de grand-mère est-elle toujours respectée ?
En France, il suffit d’un clic pour acheter une relation sexuelle avec une mineure. Un phénomène qui a triplé en dix ans : 20 000 mineures prostituées, un chiffre sous-évalué. Pour comprendre les mécanismes de ce trafic, nous avons créé un faux profil sur un site d'annonces de prostitution en ligne. En moins de 24 heures, 758 messages ont été reçus. Avoir des relations sexuelles avec une adolescente de 16 ans est illégal, mais les clients n’en ont cure. Nos journalistes ont confronté l’un d’entre eux, au pied d'un hôtel parisien : « Vous savez que c'est illégal d'avoir des rapports tarifés avec une mineure ? ». Sous notre caméra, l'homme d’âge mûr tentera de s'enfuir en effaçant la conversation de son téléphone. Ces clients favorisent un business sordide et lucratif dont les adolescentes de tous les milieux sont aujourd’hui victimes. Cécilia avait 15 ans quand elle a été séquestrée pendant un mois par un proxénète : droguée aux médicaments antidouleurs, elle subissait dix à quinze passes par jour. « je me voyais mourir. C’étaient des viols. Des rapports non consentis », confie-t-elle. À Metz (Moselle), son proxénète a exploité vingt jeunes filles âgées de 13 à 17 ans, toutes placées dans un foyer de l'aide sociale à l'enfance. L’homme a écopé de 4 ans ferme et a fui avant son incarcération. Si 80 % des adolescentes exploitées sexuellement sont des enfants placées, les familles aisées sont aussi touchées. Caroline, cadre supérieure mariée a un dentiste, témoigne : « Ne pensez pas que vous êtes à l'abri. À partir du moment où vous laissez votre fille avec un téléphone portable et l'accès aux réseaux sociaux, vous laissez la possibilité à un proxénète de rentrer dans sa chambre. » Une sociologue spécialisée confirme : « Plus les jeunes sont issues de familles hautes socialement, plus elles sont revendues cher par les réseaux. » Certaines passes atteignent 1 500 euros la nuit pour ces jeunes filles issues de la bourgeoisie, classées « catégorie gold » par les proxénètes. Nous avons réussi à rencontrer des membres d'un réseau actif. Leur aveu est glaçant : « En une journée, tu peux gagner bien plus qu'avec la drogue. Par semaine, si on ne fait pas 10 000 euros, c'est que ça n’a pas bien bossé. » Ces réseaux de proxénétisme « de cité » sont désormais la principale forme de traite en France. Le commissaire Christophe Molmy, chef de la Brigade des Mineurs de Paris, confirme l'explosion du phénomène : sa brigade traitait une douzaine d'affaires par an il y a dix ans, elle en a traité une centaine en 2024. Derrière ces annonces en ligne se cachent des empires du e-proxénétisme. Nous avons décrypté l’un d’entre eux, qui brasse vingt millions d'euros par an et compte huit millions de visiteurs par mois. Son dirigeant, pourtant condamné, continue d'opérer en toute impunité. Face à ce fléau, les autorités semblent dépassées. L'aide sociale à l'enfance est particulièrement mise en cause. Un avocat marseillais a décidé de porter plainte contre cinq présidents de département pour manquement à la protection de l'enfance : « Sur les 20 000 enfants qui se prostituent, il y en a quasi 18 000 qui sont placés. Le premier fournisseur de réseaux de pédocriminalité, c'est le département. » Pire encore, certaines organisations criminelles, comme la DZ Mafia de Marseille, n'hésitent plus à venir chercher les filles jusque dans les foyers ; des hommes armés menaçant les éducateurs. Enquête sur la prédation organisée qui menace nos enfants.